Le quadrille en vitesse de croisière
2 décembre 2023Camille, le pauvre, ou plutôt le chanceux, n’était pas au bout de ses surprises. Avec trois jolies demoiselles folles du sexe rien qu’à lui.
Clara, Naïma et Juliette viennent d’emménager dans leur nouveau petit nid tout proche de leur université. Les demoiselles ont demandé l’aide d’un voisin pour peaufiner leur installation. Une occasion toute trouvée pour nos trois coquines de tester la solidité du canapé qu’elles viennent d’acquérir.Voici notre histoire de sexe.
Il faisait un temps superbe en cette fin août, Clara, Naïma et Juliette étaient surexcitées par la situation, que de premières ! Premier appartement, première décoration, à leurs goûts à elles, sans avoir à tenir compte des parents, première co-location, synonyme de liberté, de folie et … de sexe à volonté ! Elles se fréquentaient depuis le lycée et, sur ce plan, n’en étaient pas à leur coup d’essai. Leurs premières expériences sensuelles, elles les avaient connues ensemble. D’abord Clara et Juliette, un soir des vacances de Noël, au coin d’un feu de cheminée, elles s’étaient rapprochées, échangeant de doux baisers, comparant leur poitrine et bientôt révélant leur minou, écartant les lèvres de leur sexe, chacune éblouie par la beauté de la chatte de l’autre avant de vouloir y goûter. Une veillée mémorable où elles s’étaient découvertes totalement bisexuelles. Puis ce fut la rencontre avec Naïma, moitié thaïlandaise, moitié marocaine, un sacré métissage pour une fille sublime, aussi drôle que délurée et affichant un corps de rêve, parfaitement proportionné et souple. Ce fut en premier lieu un coup de foudre amical,rapidement complété par un trio sensuel qui avait fait des étincelles. Naïma avait la peau incroyablement douce, un regard de braise et un appétit au lit qui dépassait l’entendement. L’opportunité de loger ensemble, toutes les trois, fut donc une vraie promesse de plaisir. Non seulement elles allaient pouvoir s’en donner à cœur joie autant qu’elles le désiraient, mais également pouvoir partir en chasse au mâle ! Et cela tombait bien, la première proie habitait juste en face de leur palier. Camille était jeune, étudiant comme elles, bien bâti et leur plaisait à toutes les trois !
Elles prétextèrent avoir besoin d’un coup de main pour déballer le canapé qui venait d’être livré, le beau gosse accouru au secours de ces gentes dames qui ne le laissaient pas indifférent, loin de là. Après s’être un peu moqué de ses improbables chaussons « souris » et avoir installé le grand sofa d’angle, elles lui proposèrent un rafraîchissement. Camille, sagement assis, ne s’attendait certainement pas à ce qui allait suivre. Les trois Grâces se rapprochèrent subrepticement et il fut littéralement assailli par six mains caressantes et intrépides. Les effleurements se posèrent sur ses cuisses, ses bras et ses épaules avant de se perdre sous son tee-shirt qui s’envola bientôt. Les filles le convièrent à se lever pour le libérer plus facilement de son bermuda qu’il portait sans rien en dessous. Le cochon était déjà en érection et sa queue était tout à fait au goût du trio féminin, ni trop large, ni trop grande, elle était totalement glabre, du pubis aux belles couilles serrées dans leurs bourses protectrices.
Invité à se laisser faire, le prélude de leur petite affaire commença par une pipe pour trois bouches et une main. Chacune branlait le long manche alors que le vit passait de lèvres en lèvres, découvrant les jeux de langues différents de Clara, de Julie et de Naïma. L’une frétillait sur son méat ou agaçait son frein, la seconde avalait son chibre loin au fond de sa gorge, tandis que la dernière lui léchait les boules et la hampe comme s’il s’était agi d’une glace !
La nouvelle sensation de Camille
Camille, le pauvre, ou plutôt le chanceux, n’était pas au bout de ses surprises. Naïma, la première, le poussa dans le canapé et vint s’installer à califourchon sur lui. Il aida à la pénétration en guidant sa queue au centre de la fente baveuse de mouille, la belle métisse se laissa coulisser jusqu’à sentir les testicules s’écraser sous ses fesses, son vagin était serré à l’extrême, il allait falloir mobiliser toute sa volonté pour ne pas gicler trop vite, se doutant que chacune voudrait son lot de baise !
Mais quand il tourna les yeux, il découvrit Juliette et Clara en train de se caresser mutuellement ! Elles se tétaient le bout des seins, se câlinaient la croupe et glissaient des mains coquines sur leur entrejambe, exhumant leurs doigts luisants de cyprine et les suçant en le fixant d’un regard sorti tout droit des enfers. Ce trio était donc aussi bien attiré par les hommes que par les femmes et leurs frôlements saphiques apportaient une touche encore plus excitante à cet après-midi décidément hors du commun.
Ce fut alors le tour de Julie de venir le chevaucher. La coquine continuait son balai lesbien entre les bras de Naïma dont elle aspirait les mamelons à grand renfort de bruits très cochons, pénétrant son amante de trois doigts plantés au fond de sa chatte toute lisse, sans pour autant négliger sa délicate étoile serrée qui fut également visitée avec tendresse et douceur.
Camille souleva le petit cul de Julie en lui prenant les fesses à pleine main, légère comme une plume, cette dernière s’envolait dans les airs avant de retomber sur son pieu dans un mélange de claquements de chair et de gémissements femelles. Son antre absorbait toute la longueur du chibre avec une aisance révélant déjà une grande pratique.
Puis ce fut au tour de Clara de l’accueillir au fond de son gouffre, pour l’exciter encore un peu plus, si tant est que cela fût possible, elle taquina jusqu’à son anus avec le gland, laissant espérer une sodomie, mais enfilât finalement le pénis dressé dans son vagin tout aussi étroit que celui de ses deux comparses.
Cette première approche, tout aux mains des filles, fut une entrée en matière des plus érotiques, mais Camille était un dominant, préférant guider l’acte et diriger les opérations. Il se releva et, dans le même ordre que précédemment, démonta ses amantes l’une après l’autre. Calée au creux du canapé, jambes bien en l’air, tenue par les copines, chacune se proposa entièrement. Dans cette position, pas question de pudeur ou de cacher quoi que ce soit, leur chatte écartelée offrait leur corail rose fuchsia à la vue de chacun, leur petit trou, lisse ou plissé, s’écarquillait de désir. Camille n’avait plus qu’à loger son gland dans l’interstice huileux d’excitation et pousser sur ses reins. Tandis qu’il en limait une, à en casser le cadre du sofa sur lequel ils baisaient tous les quatre, les deux autres s’en donnaient à cœur joie, se roulant des pelles, se caressant les cheveux, suçant les aréoles de celle qu’il était en train de défoncer de toutes ses forces. Elles se relayèrent même, se contorsionnant au sol, pour aller lécher et doigter le trou du cul de celle qui avait les faveurs des grands coups de bite. Camille sentait, à travers la fine cloison, la pulpe aventureuse qui appuyait en rythme sur sa queue ou lui massait le frein ! Les tendresses linguales se perdaient sur les couilles qui jonglaient en tous sens et se fondirent jusqu’à son puits intime, nouvelle sensation pour lui, mais finalement fort agréable !
Les genoux rougis, exténuées par leurs acrobaties, elles se donnèrent en un triptyque fou, assises côté-à-côte, cuisses ouvertes, chattes disponibles, seins tendus, Camille n’avait plus qu’à les enfiler chacune leur tour, façon brochette. Sa queue forçait un orifice serré, un second puis un troisième pour faire marche arrière et repartir jusqu’au premier. Les jeunes femmes criaient, gesticulaient, se branlaient en attendant leur tout ou se masturbaient mutuellement devant les regards de plus en plus incrédules d’un Camille qui n’en revenait pas de sa chance.
Un plaisir intense
Le quadrille était désormais en vitesse de croisière, Camille s’efforça d’être à la hauteur et amena chacune des filles à l’orgasme. Naïma, la plus libérée des trois en eut deux, coup sur coup, elle griffa même le torse de leur amant tant son plaisir fut intense. Mais Clara et Julie n’avaient pas dit leur dernier mot pour autant.
Toujours bien calées au creux des coussins moelleux, les jeunes femmes se relevèrent à l’unisson et se retournèrent pour présenter leurs trois petits culs en levrette. Écartant bien leurs fesses, Camille se régalait de la vue qui lui était offerte. Les tailles et les carnations formaient comme un éventail, devant lui s’épanouissaient trois chattes aux volutes développées et trois très jolis petits orifices anaux qui n’attendaient que ses doigts pour s’ouvrir et emprisonner ses phalanges pénétrantes.
Une grande respiration et Camille enfila la première de ces dames, sa main droite tripotant et paluchant celle du milieu, il répéta l’opération en défonçant le minou qui occupait la place centrale. Cette fois, il pouvait caresser et malaxer les sexes accueillants et les chairs rebondies de chaque côté. Ça couinait, ça gémissait de plus en plus fort sous ses coups de boutoir, les pieds croisés, les déesses en réclamaient plus, Camille se concentra et, comme pour un rush final lors d’un marathon, sprinta dans chacun des trois conduits vaginaux avec une énergie débordante, arrachant une fois de plus des cris de plaisir et des feulements désormais animaux.
Les fessiers se tendaient, se projetant à la rencontre du vit toujours en proie à une érection tenace, les globes plus ou moins charnus s’écartaient de telle sorte à pouvoir recevoir la queue le plus profondément possible. Des mains fines et manucurées cherchaient à tâtons le clitoris voisin ou la lourde paire de bourses qui voltigeait au gré des envolées assénées par Camille.
Debout, les genoux en appui sur le rebord du sofa, ce dernier pouvait voir, toucher, palper, doigter à l’envie. Le spectacle de ces trois popotins, plus jolis les uns que les autres, de ces nymphes qui s’embrassaient, se pelotaient, se roulaient des pelles à n’en plus finir, était à ce point incroyable et inattendu qu’il en était presque anesthésié de la bite, concentré sur sa respiration et son bassin fluide et souple qui allait et venait, changeant de grotte, goûtant la chaleur de l’une, la mouille poisseuse d’une autre ou bien encore les effets de contractions périnéales que déclenchaient à loisir les trois jeunes femmes.
Ayant joui tout leur saoul, ce sont elles qui, dans un rire commun, réclamèrent ce qu’elles guettaient toutes, l’éjaculation de leur beau mâle. À sa demande, et pas farouches pour deux sous, elles caressèrent leur intimité en profondeur, Naïma, toujours la plus délurée, allant jusqu’à se glisser deux doigts dans l’anus et jouant avec pour se dilater et faire exploser Camille sur ses fesses. En quelques minutes, l’affaire était réglée, les jambes d’airain se figèrent, un rictus de délivrance déforma les traits de cet homme valeureux qui venaient de satisfaire un aréopage exigeant et gourmand et le méat laissa s’échapper un premier jet volumineux de sperme, suivi par plusieurs saccades crémeuses qui finirent toutes sur la chute de rein de Naïma. Clara et Julie s’empressèrent d’étaler la semence blanchâtre et de lécher leurs doigts pour goûter à cette ambroisie délicieusement douce-amère.
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