Madame est servie !

La rédaction 17 avril 2021

Roger, 45 ans, à des penchants candaulistes. Ses fantasmes et ceux de sa femme seront satisfaits avec le beau garçon de café qui saura s’occuper de la belle.

Je vous fais parvenir quelques souvenirs des derniers jours qui ont été agités… Avec mon épouse Claudia, nous avons découvert un nouveau jeu qui nous fait décoller l’un et l’autre. Je lui ai fait comprendre que j’adorais l’imaginer avec un autre homme. Cela tombait bien, car elle m’a avoué qu’elle se culpabilisait depuis quelque temps de ressentir de l’attirance pour un autre. Loin d’attiser en moi de la jalousie, j’ai été ravi de l’apprendre ! Je me délectais déjà des images que cela faisait naître dans mon esprit. Imaginer son corps de quadra sublime, ses cuisses et son cul fermes, ses seins ronds, son visage lascif encadré d’un carré blond, vénérés par un autre, caressés et même pénétrés par un “rival” éveillait en moi des délices sans pareil…Voici notre histoire de sexe. 

Quand je me suis enquis de qui il s’agissait, Claudia m’a confié que c’était le serveur de son café favori et qu’elle voulait en faire son amant… Je lui ai dit qu’elle ne pouvait me faire plus plaisir qu’en me partageant son fantasme. Et surtout, l’idée d’elle qui aurait pu me tromper dans mon dos commençait déjà à me faire bander. Ma femme avait un petit côté dominatrice avec les hommes et avec moi, et ça me plaisait. Claudia a entrepris de convaincre le serveur de café, que nous avons invité un soir à la maison.

Ce soir-là, il est entré et il était tout embarrassé vis-à-vis de moi. Je l’ai tranquillisé. Ma femme avait choisi un amant soumis, visiblement elle aimait ça. Après avoir dîné et bu du bon vin, nous avons pensé à un premier jeu. Claudia m’a regardé et m’a fait un clin d’oeil. Je l’ai encouragée d’un sourire. Elle s’est approchée de notre invité pour s’asseoir sur ses genoux. Leurs lèvres se sont effleurées et je me suis tout de suite mis à bander. Puis j’ai regardé ma belle se mettre à se déshabiller et à prendre un air autoritaire. L’invité a tendu la main vers ses sous-vêtements et elle l’a empêché d’une tape sur les doigts pour le faire languir.

Claudia était en soutien-gorge et en porte-jarretelles, avec de jolis bas, perchée sur des hauts talons. Elle était sublime, cambrée, sexy, alléchante. Elle s’est tortillée devant le serveur assis sur sa chaise, un peu éberlué, pour qu’il puisse voir son cul et lui donner un aperçu de sa fente et de sa toison noire. Claudia est montée à quatre pattes sur les marches des escaliers qui menaient à la chambre, nous offrant la vue vertigineuse de son cul engageant. Je l’ai photographiée et elle a posé pour moi. “Suis-moi”, a-t-elle ordonné à l’amant qui était entré dans notre monde. Encore un peu timide, l’homme l’a suivi craintivement.

Une fois dans notre chambre, elle lui a ordonné de se mettre nu et de s’occuper d’elle. A quatre pattes encore, sur le lit, les pieds chaussés de ses jolis escarpins noirs, elle a tendu son cul provoquant en arrière pour offrir son entrecuisse à sa langue. “Lèche”, a-t-elle ordonné. L’homme a plongé le visage entre ses deux belles pommes. Sa langue allait de sa fente à son cul et s’agitait contre elle. Ma femme se tortillait d’aise… Moi, j’ai sorti ma queue tout en les photographiant. L’homme a aussi empoigné la sienne pour se branler. “Lèche mieux que ça !” a ordonné ma femme. Il s’est appliqué, à s’en donner des crampes à la langue… Le pauvre… Moi, je me branlais de plus belle.

Claudia s’est allongée sur le côté et a relevé les genoux pour qu’il continue d’embrasser sa fente et sa raie… Elle adorait ce genre d’attention, se laissait enduire de cette salive et profitait de cette abnégation. Quand elle en a eu assez, elle s’est retournée pour le branler. Puis, elle a tout arrêté et l’a renvoyé chez lui. L’idée était de créer un surplus de désir et le frustrant. Nous, nous avons baisé comme des fous quand il est parti.

Le lendemain, elle l’a invité à nouveau et l’homme est revenu – visiblement il était excité par l’humiliation. Elle a reproduit les mêmes gestes que la veille et cette fois, elle ne lui a pas laissé le temps d’enlever sa veste, elle a baissé son froc et son caleçon et, toujours dans son uniforme soutien-gorge-talons, elle l’a escaladé pour s’empaler sur son chibre. Au préalable, elle s’était enfoncée un gode dans le cul pour amplifier ses sensations. Cette fois-là, elle était avide de lui, car elle aussi s’était frustrée en arrêtant le dernier coït. E

lle l’a baisé comme une dingue, ne lui laissant pas le temps de respirer, et le gode dans son cul bougeait en même temps que ses cris s’amplifiaient. C’était son jouet. Cette fois, elle a autorisé notre ami à jouir en même temps qu’elle. Je les ai vus s’époumoner tous les deux dans leur jouissance et j’ai juté à mon tour tout en les photographiant… J’avais adoré la voir aux mains de cet homme et je nourrissais déjà l’espoir secret qu’elle ramènerait chez nous d’autres amants soumis.

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