Reviens mon « chum » !

Léo,

Toi mon amour, toi mon Québécois de mes rêves, reviens ! Pourquoi es -tu reparti de l’autre côté de l’Atlantique ? J’ai tout pour toi ici, à Paris ! Puisque tu ne réponds pas à mes appels, me voici offerte dans les pages du magazine que tu as découvert en France et que tu as adopté immédiatement. Souviens- toi, sur un trépied, tu avais installé ton appareil photo que tu déclenchais à distance et moi, dans le lit, que tu as déclenchée en me caressant. Jamais je ne me serai cru capable de tant de folie et de perversion, mais dans tes bras, tout devient possible. Voici mon histoire de sexe.

Ta gueule d’amour un peu bad – boy avec tes boucles d’oreille, juste en slip, moi en body en dentelle, comme toujours tu m’as donné ta bonne queue à sucer. Que je les aime ton « pataclan » et tes « gosses », ta bite et tes couilles, épilées jusqu’au dernier poil, je passerais des heures à les lécher, les aspirer. Mais très vite tu as été dur comme de la pierre et tu as glissé une main habile entre mes cuisses pour dégrafer mon body. Ma chatte s’est retrouvée à l’air libre, trempée et déjà entrouverte à tes caresses. Tu m’as masturbée avec ton talent habituel, me pénétrant de deux doigts et appuyant fortement avec ta paume sur mon clitoris bandé. J’ai joui tellement j’étais excitée, tu es un amant exceptionnel, attentif et doué, ta technique digitale, je ne l’ai jamais rencontrée chez un autre homme.

J’avais encore les cuisses ouvertes et j’ondulais du bassin, réclamant toujours tes caresses lorsque tu m’as demandé de me tourner sur le côté. J’étais cul nu devant toi et tu me regardais comme un lion à qui on va donner son repas, ta queue était grosse dans ta main et tu te branlais lentement. Tu sais que cela me trouble à mort de te voir te masturber ainsi et, de mon côté, je savais ce que ce regard voulait dire, sa signification était « je vais t’enculer ma belle ! ».

J’ai écarté mon sillon fessier, j’avais hâte de t’accueillir dans mon petit fion serré, c’est toi qui m’as initiée à la sodomie, qui a su dompter mon anus rétif à toute pénétration. Mais avec toi, me faire prendre par cet orifice est un plaisir, une source d’orgasme et d’excitation que rien ne peut égaler.

Une main tirant sur un de mes globes, tu as dégagé l’accès à mon puits, de l’autre tu as guidé ton engin, objectif lune comme tu disais toujours en grand fan de BD belge !

Comme d’habitude, tu m’as sodomisée à sec, sans lubrifiant, sans salive et comme à l’accoutumée, malgré ton calibre, c’est entré tout seul !

Ta belle tige se fichait alors totalement en moi, un souffle, un baiser sur la nuque, une caresse à mes seins tendus et le va-et-vient pouvait commencer. Ça me chauffait le trou de balle, il faut dire que, même pour mon dépucelage anal, tu n’y es pas allé de main morte. J’avoue que … j’ai adoré cela et que les orgasmes que tu m’as donnés par cette voie arrière tant méprisée ou crainte ont été tous plus puissants les uns que les autres.

J’entendais ton souffle dans mon dos, le bruit de nos chairs qui s’entrechoquaient, les clapotis de mon sexe inondé et tes paroles, pendant que tu me défonçais, tes mots crus et si excitants. Tu décrivais mon orifice béant, ta queue qui coulissait dans l’ouverture serrée, tes sensations exquises de me prendre par là. Je ne tardais pas à me laisser aller, totalement, me berçant de ton langage épicé et l’orgasme me dévastait d’un coup. Dès que tu pressentais mon plaisir, tu plaquais ton bassin à mon arrière-train et plantais ton dard au plus profond de mon rectum, quelques secondes suspendues et j’explosais, mon bonheur et ma fierté atteignaient alors leur paroxysme. Je tremblais tant c’était bon et, la vague passée, j’ouvrais encore un peu plus mon sillon afin que tu viennes à ton tour. Allongée sur le ventre, je me laissais baiser l’œillet plissé en gémissant pour accompagner ta délivrance. Celle-ci arrivait rapidement et tu sortais toujours ta bite pour m’asperger de ta semence brûlante. J’adorais quand tu giclais ainsi sur mes fesses et mon anus rougi par cette sodomie sauvage.

Reviens Léo, mon petit cul n’attend que ta belle queue …