J’ai dépucelé le petit trou de la nounou
8 février 2024Party post-partum
Ma femme a mis au monde notre fils et ce qu’on a coutume d’appeler « le retour de couche » a été dur. Amandine était sur le qui-vive, adieu libido, petites pipes impromptues et sorties en club libertin avec, pourtant, une paire de nichons décuplée par l’allaitement ! Imaginez mon état ! Je vous raconte mon histoire de sexe.
Mais je tiens à saluer mon épouse, elle aurait pu me jeter lorsque j’ai eu cette sortie incongrue avec Faby, notre nounou, une blonde vénitienne qui servait, depuis plusieurs semaines, de support à mes deux masturbations quotidiennes. Oui, je suis un chaud lapin !
Nous rentrions de chez des amis, l’heure de la tétée avait sonné et le chemisier de ma femme était inondé, elle a tout fait sauter pour donner le sein à notre garçon et j’ai lancé un (trop) alcoolisé : « Peut-être que Faby aussi a le droit à son biberon !? »
Notre baby – sitter
Un silence puis tout le monde a explosé de rire, notre bébé était repu et dormait déjà, le temps qu’Amandine aille le coucher, j’avais la bite à l’air et Faby me la tétait avec beaucoup d’application et d’appétit ! Amandine s’est départie de sa jupe et de sa culotte et nous a rejoints. La fellation l’a toujours beaucoup excitée et elle m’avait, à maintes reprises, parlé de ses fantasmes bisexuels. Visiblement notre baby-sitter était à son goût, car elle a pompé mon nœud avec autant d’enthousiasme qu’avant sa grossesse et roulé des pelles d’anthologie à casque d’or !
Elles se partageaient équitablement ma queue, le temps pour la nounou de se mettre à poil elle aussi, et je me suis retrouvé avec deux beautés affamées de sexe à mes pieds !
À genoux, côte à côte, elles se sont relayées pour me lustrer le gland, l’une me l’aspirait tandis que l’autre se glissait entre mes cuisses pour aller sucer mes testicules ! Je leur ai demandé si elle voyait un inconvénient à ce que je grave l’instant en prenant quelques photos, j’ai reçu, pour toute réponse, des « Vas-y ! » étouffés, la bouche de ces dames étant pleine de tout ou partie de mon service trois-pièces !
La pénétration matérialisée
La blancheur de la peau de mon épouse tranchait avec le bronzage de Faby dont seuls les seins et le cul étaient pâles. Les triangles dessinés par le soutien-gorge de son maillot m’excitaient terriblement. Je me suis amusé à triturer ses mamelons, cela a eu pour effet de faire gémir notre partenaire de galipettes. J’ai poussé mon avantage et Faby a commencé à se caresser et à glisser ses mains sur les courbes d’Amandine, en particulier sur ses nibards gonflés et sur sa chatte toute mouillée. Copiant mes gestes sur les aréoles de ma moitié, elle en a même extrait du lait qu’elle a léché tendrement, c’était d’un érotisme torride et j’ai émis le désir de les prendre toutes les deux. Les frôlements et le sexe oral sont une chose, la pénétration une tout autre et je ne voulais rien forcer, d’autant que cela faisait belle lurette que nous n’avions pas de préservatifs chez nous. Une boîte de capote s’est opportunément matérialisée dans la main de notre amante et c’est à quatre mains qu’un condom a été déroulé sur ma hampe.
J’ai lâché mon téléphone et j’ai laissé ces dames faire. Je n’avais pas eu à contrôler ma jouissance depuis longtemps, il m’a fallu faire appel à toute ma volonté pour ne pas venir précocement.
D’abord je retrouvais la sensualité toute en rondeur de ma moitié, celle-ci semblait avoir recouvré tout son désir et me donnait sa chatte à lécher pendant qu’elle caressait celle trempée de Faby et guidait mon pieu vers l’anfractuosité rose qui absorba toute ma colonne d’un trait. Cette dernière se fit jouir en embrassant Amandine à pleine bouche et en frottant son clitoris sur mon pubis fraîchement rasé. Changement de protection et mon épouse a pris la place, à un détail près, c’est dans son anus qu’elle a introduit mon membre. Elle s’est penchée en arrière et a invité notre nurse perverse à venir lui brouter le minou, ce qu’elle a fait avec un élan plus que sincère. Amandine est partie dans un orgasme violent, son œillet a expulsé mon pénis tant ses contractions étaient fortes et j’ai éjaculé dans mon condom. Il y avait tellement de foutre que cela a débordé, les filles ont arraché le morceau de latex et ont tout léché, jusqu’à la dernière goutte !
Nous nous sommes lovés dans les bras les uns des autres en nous câlinant, moi au milieu, affichant un sourire ravi. Après une bonne douche et une coupe de champagne, notre désir commun est revenu sur le lit. Les femmes se sont offertes un délicieux soixante-neuf et j’ai même eu la chance de dépuceler le petit trou de la nounou.
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