Jeux interdits

La rédaction 23 mai 2021

Val, 32 ans aime jouer avec le feu, elle se rend chez l’ex d’une amie. Ils se mettent au défis de s’exciter sans se toucher, vont ils le relever ?

Il y a quelques semaines, j’ai joué avec le feu avec un homme pour sortir de la morosité ambiante liée à la pandémie. Je suis une jeune libertine de 32 ans et la disette sexuelle, très peu pour moi. C’était doublement interdit car l’homme en question était l’ex de ma collègue et amie Ludivine, je vous raconte mon histoire porno.

Lui, Mathieu, est un mec que je convoite depuis longtemps. Sa sensualité ne m’a jamais laissée indifférente et ça fait un bout de temps qu’il me reluque sans qu’il ne se passe rien. Mais l’attirance entre nous a toujours été palpable. Pendant la deuxième vague de la Covid, nous nous sommes donc mis à nous textoter. Il s’était séparé de Ludivine après le premier confinement. On a un peu parlé de ça et très rapidement c’est devenu chaud, on flirtait par messages en se disant ce qu’on se ferait si on s’autorisait à céder à notre attraction mutuelle. Comme ça devenait de plus en plus torride, je lui ai proposé un petit jeu. Je viendrai chez lui, mais on ne se touchera pas, on appliquera les gestes barrières comme on dit, pour apprendre d’abord à se connaître et voir si on se plaisait vraiment.

Je suis donc arrivée chez lui avec une fausse attestation pour les courses et il m’a invitée à m’asseoir en face de lui. Nous avons retiré nos masques. Il était aussi sexy que dans mon souvenir… avec son côté playboy, ses cheveux rasés sur les côtés, sa boucle d’oreille et ses tatouages… Tout à fait mon style, alors ça allait être difficile de se retenir et de garder ses mains dans les poches ! Vous avons donc commencé à discuter en appliquant la règle. Mais je crois que ça ne faisait qu’amplifier l’érotisme de la situation. Les interdits s’accumulaient les uns sur les autres comme des couches : c’est l’ex d’une amie, je n’ai pas le droit d’être là, et en plus avec la pandémie, je ne suis pas censée mélanger mes miasmes avec ce quasi-inconnu. Mais du coup, on se dévorait des yeux pour compenser l’absence de toucher. Les siens me déshabillaient sur place : ils s’attardaient sur mes seins, caressaient mon corps puis revenaient se plonger dans mes prunelles, et les miens faisaient de même et prenaient plaisir à se promener sur lui, à lui faire déjà un peu l’amour virtuellement. « Il y a des trucs qu’on peut faire même sans se toucher… » ai-je fini par suggérer.

J’ai lentement retiré ma robe pour me retrouver en simple bas résilles et bottes. Je me suis levée pour me déhancher lentement, me tourner, qu’il voie mon cul sexy et appétissant. Je me comportais comme si j’étais une bête en train d’être soupesée par son acheteur, mais je m’en foutais, je voulais d’ailleurs qu’il fasse de même, pour évaluer la marchandise. Mathieu s’est mis en caleçon et a pris des pauses, toujours à un mètre de moi, en jouant avec ses biscottos et en cambrant son petit cul lui aussi. Il se montrait sexuel et j’adorais ça, car pourquoi ce serait réservé aux femmes après tout ?  J’avais envie de le peloter à fond ! Je suis allée plus loin en retirant ce qu’il me restait de vêtements sur le dos pour me mettre à me caresser devant lui. J’étais désormais vraiment nue, étalée de tout mon long, à me tripoter la minette, à la frotter activement pour soulager la piqûre de l’excitation, la morsure du désir qui ne me laissait pas tranquille. Il m’a regardé faire et s’est mis lui aussi à se branler. Nous ne faisions rien de mal après tout, nous ne faisions que nous faire du bien… Et ma collègue n’en saurait bien. Nous ne mélangions même pas nos fluides !

Mais le désir était trop fort. Nous ne pouvions pas nous en tenir là car nous étions beaucoup plus gourmands que ça finalement, beaucoup trop lubriques pour ne pas s’adonner aux joies de la chair bien réelle et vivante. Tandis que Mathieu se branlait, je me suis approchée. J’ai vu sa bite toute gonflée en train d’être remuée par sa main et sa rondeur a attiré ma bouche, qui a atterri dessus pour la prendre tout entière en elle. J’ai senti le velours agréable de sa peau contre ma langue, et la dureté de sa trique, l’intensité de son attraction pour moi… Cela a suffit pour mettre le feu aux poudres et rendre l’envie de lui donner tout de moi irrépressible. Je me suis placée accroupie, de dos, au-dessus de lui, après lui avoir enfilé une capote pour l’attraper dans l’élasticité tonique de ma chatte. Nous étions enfin connectés par la peau et c’était magique de sentir le résultat de l’attrait qui nous poussait dans les bras l’un de l’autre.

Il m’a prise à mon tour contre le lit, avec empressement. J’ai fini à quatre pattes pour le laisser passer par mon cul, car j’adorais les sensations fortes et je lui faisais confiance. Il a caressé et stimulé mon intimité avant de s’y introduire. C’était autre chose que la branlette en gestes barrières ! Je ne regrettais pas, car son chibre, en se coulant dans mon fondement, provoquait une multitude de ressentis et tout mon cul me remerciait de cette rencontre tant désirée avec le sexe de Mathieu. Il m’a pénétrée avec vivacité et c’était tellement bien dosé et dirigé qu’il m’a fait jouir par cette friction, si intime et brutale à la fois… Il a explosé lui aussi et, en me retournant, j’ai vu le plaisir étreindre son corps. Nous avions succombé, mais sans le moindre regret… et par la suite, nous n’avons plus jamais mis de distanciation sociale entre nous.

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