Tuer le mal par le mâle
15 juillet 2023Victor propose à sa meilleure amie complexée par son physique d’organiser une séance photo coquine… Le shooting photo aura bien plus d’un intérêt !
J’ai une amie, Laeticia, qui a la vingtaine et qui est bourrée de complexes. Pourtant, elle est belle comme un cœur. Elle a une peau de lait, des seins ronds et pleins ! Un visage d’ange, un cul renversant. Je ne cesse de le lui répéter (il n’y a aucun tabou entre nous), mais elle continue d’être persuadée qu’elle est laide et elle déteste son corps. Malgré tous mes encouragements et les compliments que je lui envoie, elle n’en démord pas.
Un jour, j’ai entendu dans une émission de radio le témoignage d’une jeune femme qui disait être arrivée à bout de ses complexes en posant nue. Ça a fait son chemin dans mon esprit… Et même si c’était un peu osé de lui proposer, j’ai fini par en parler avec Laeticia. Je lui ai dit que si elle le souhaitait, je pouvais être la personne qui lui ferait de belles photos d’elle nue pour qu’elle apprenne à s’aimer. Elle pouvait me faire confiance. En plus, j’avais des rudiments en photo. Elle y a réfléchi pendant quelques jours et elle a fini par me dire qu’en effet, cela pourrait l’aider. Je m’appelle Victor et voici mon histoire de sexe !
Une séance photo chaude !
Nous avons convenu d’un rendez-vous et nous avons commencé la séance photo. Nous étions un peu gênés… Mais j’ai tâché de la mettre à l’aise en la faisant rire pour détendre l’atmosphère. Je l’ai fait poser en sous-vêtements, avec respect. J’ai fait de belles images. Elle était contente de ce moment qui lui était dédié, de mon attention envers elle, et de mes encouragements ! « Tu es canon », « Tellement photogénique »… Je sentais qu’elle se détendait peu à peu et j’en étais heureux.
Son visage était plus calme. Elle était vraiment belle et l’air autour de nous s’était chargé d’un sentiment nouveau. Le temps nous appartenait, et je sentais une pointe de désir monter en moi, devant sa chair pâle mise à nu.
Elle devait se sentir pousser des ailes, car c’est elle qui a décidé de se mettre totalement nue. Elle s’est assise sur le rebord de sa coiffeuse, jambes écartées, ses seins lourds exposés. J’ai photographié sa beauté en silence, les lèvres de son sexe, les cuisses ouvertes. Elle a écarté sa peau avec les mains pour me présenter sa vulve. Je ne l’aurais jamais crue capable d’une telle impudeur ! J’en profitais pour observer les détails de son sexe, la rondeur des tétons. Elle s’est allongée sur le lit, entièrement nue, un sourire aux lèvres. J’ai fait une prise de vue en contre-plongée, avec un angle sur sa fente glabre et sur le dessous de ses seins dodus comme deux petites montagnes adorables.
Plus qu’un shooting
Son souffle était court. Je sentais que l’excitation montait de son côté également. Je n’avais pas rêvé. Elle a osé me regarder droit dans les yeux. « Tu as raison, c’est tellement puissant comme sensation. » Elle s’est redressée à quatre pattes sur le lit et s’est avancée vers moi pour m’attraper par le jean et le déboutonner en me défiant du regard.
Je n’ai pas montré d’opposition ! Si bien que ce qui ne devait être qu’une séance photo pour elle sans arrière-pensée s’est transformée en une pipe enragée ! Sa bouche me prenait, vorace, et ne faisait qu’une bouchée de moi. C’était si soudain dans notre relation que ça m’a collé des frissons partout, des frissons de surprise et de plaisir. A mesure que ses lèvres formaient une cage autour de ma queue.
C’était comme si une fièvre s’était emparée d’elle et m’avait gagné par contagion, allumée par l’érotisme ambiant. Je l’ai photographiée en train de me pomper, documentant au plus près ce que la fellation faisait à son joli visage. Comment elle en transformait les traits.
L’art de prendre… en photo
Nous étions sur notre lancée à présent. Il fallait consommer la chose qui était à présent plus grosse qu’un éléphant dans la pièce : notre envie l’un de l’autre. Elle a enfilé un haut léopard comme si elle avait besoin d’être plus pudique en baisant mais je lui ai demandé de laisser ses seins apparents pour continuer à la prendre en photo.
Je me suis installé entre ses cuisses et je l’ai prise avec douceur tout en enregistrant avec mon téléphone. Je l’ai prise plus fort, enfonçant ma queue jusqu’à la garde, poussant en elle, si humide, pour l’emplir de ma grosseur. Elle s’est tournée pour que je la prenne à quatre pattes. J’ai pris en photo son cul et sa chatte en train de s’offrir, une vue plongeante qui me fait tellement bander…
Elle était si débridée qu’elle m’a aussi présenté sa rosette. Elle m’a laissé l’explorer avec ma bite dans un fracas de cris et de soupirs. On pouvait dire que la séance photo l’avait bien décoincée ! Elle a adoré voir les photos et même, en les revoyant, elle a voulu rebaiser. Ça n’a rien changé à notre amitié. Maintenant, une complicité infinie nous unit et je sais qu’elle n’a jamais autant baisé et dragué de mecs qu’après cette fameuse après-midi.
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