Un cul pour deux

La rédaction 13 juin 2024

Avec le joli mois de mars et ses premiers rayons de soleil, les envies de Lucy montent en flèche. Ça tombe bien ! Les deux hommes venus s’occuper pour la journée de son jardin extérieur vont aussi se charger de son intérieur pour le moins accueillant. Chaud devant… et derrière !

Cela faisait un moment que Thomas et José travaillaient, les deux jardiniers s’affairaient sur la propriété de Lucy. Comme à son habitude, elle leur avait apporté du café en début de matinée puis des boissons fraîches. Pour la pause de midi, ils s’étaient alors mis à l’aise, ôtant leur tee-shirt pour offrir leur peau mate au soleil.

Plus que bien bâtis, les deux collègues faisaient rouler leur musculature, gonflant pectoraux et biceps rebondis. Lucy les espionnait discrètement cachée derrière un rideau, elle sentait qu’un feu ardent s’était allumé dans son bas ventre.

Sa chatte coulait, sa mouille, toujours abondante, imbibait son string rouge en dentelle et cela pulsait fort dans son con comme dans son cul. Et si elle allait distraire un peu ces ouvriers ?!

C’est ainsi qu’elle alla nonchalamment déambuler près d’eux. Elle n’eut qu’à soulever sa petite robe légère et leur montrer son petit cul bien ferme pour éveiller l’intérêt des deux hommes. Ces derniers échangèrent un regard complice et, sans un mot, se levèrent de concert pour s’approcher de cette proie plus qu’appétissante !

Quatre mains légèrement calleuses se posèrent partout sur la peau diaphane, tirant sur la robe, parcourant les fesses, tâtant les seins sous le fin tissu, découvrant l’humidité de la fente sous les dentelles sexy. Le trio se dirigea vers la maison, le vis-à-vis de la villa étant peu propice aux agapes qui occupaient l’esprit de tous. Là on finit de déshabiller la belle qui eut tôt fait de rendre la pareille à ses deux amants. Les queues des mâles étaient déjà bandées, Lucy s’agenouilla, jambes écartées, les parfums sucrés de sa cyprine se répandirent instantanément dans la pièce, renforçant immédiatement les érections qu’elle tenait fermement en main.

La double pipe qui s’en suivit eut le même effet sur les bites qu’elle branlait en alternance, les veines se firent plus saillantes, les glands commencèrent à dégorger un suc salé qui coulait dans sa gorge et la faisait saliver pour le plus grand plaisir des jardiniers.

Le string corail envolé, Lucy vint s’empaler sur le gourdin courbé de Thomas, soutenue par les bras musclés de celui-ci, tandis que José approchait afin de loger de nouveau son énorme braquemart entre les lèvres insatiables de leur opportune amante.

Sa longue chevelure brune était secouée de toute part tant les coups de reins qu’elle recevait au plus profond de sa chatte étaient intenses et puissants. Elle eut un orgasme avec l’un, puis avec l’autre. C’est José qui osa le premier s’approprier son postérieur.

Positionnée en levrette, la belle odalisque pompait le dard de Thomas. Son comparse, derrière le cul ouvert, prit les fesses à pleine main pour les écarter et cracha pile au centre du petit trou libre et offert.

Lucy sentit le fruit décrire des cercles autour de son anneau, la queue la fouillait par devant pour s’enduire de sa mouille épaisse puis ressortait et remontait jusqu’à son anus. Elle fut légèrement effrayée, le diamètre du manche qui cherchait à s’introduire dans son fondement était du type « poids lourd » ; mais elle avait décidé de se laisser faire, mieux même, elle dilata son orifice intime pour dire son acquiescement et poussa sur son sphincter afin de faire pénétrer un peu de l’énorme gland en elle.

Lorsque José pressa sur l’oignon, elle respira plus fortement et la hampe tout entière s’enfonça dans son trou du cul ! Sa bouche était désarticulée par le vit de Thomas, son arrière-train écartelé à l’extrême par le pieu massif de José, elle s’efforça alors de se concentrer tantôt sur sa pipe, tantôt sur la sodomie qu’elle subissait avec, dut-elle se l’avouer, un plaisir auquel elle ne s’attendait pas.

La queue allait et venait sans peine aucune dans son rectum, parfois, elle sortait d’ailleurs totalement pour mieux se reloger profondément, avant que son œillet n’ait le temps de se refermer. Une fois de plus, les hommes échangèrent leur place, la complicité entre les deux était évidente et tout donnait à penser qu’ils n’en étaient pas à leur coup d’essai. La bite de thomas était tout aussi agréable à prendre dans les fesses, Lucy gémissait et geignait de plus en plus fort, ses émissions étant assourdies par la présence de la colonne de chair massive de José au fond de sa gorge.

Décidément, c’était le plus pervers des deux, il la forçait à avaler son sabre jusqu’à l’en étouffer presque, une main sur son cou pour l’empêcher de respirer, avant de libérer ses voies aériennes, ce qui avait pour effet de lui procurer des bouffées intenses de plaisir brut.

La suite coulait de source, Lucy aurait dû se douter que ces deux-là avaient une idée derrière la tête. Comme pour l’entretien du jardin, Thomas et José étaient complémentaires, l’un taillant les haies, l’autre ramassant les branches et les portant à leur camionnette.

Dans le canapé clair, l’un jouait les dominants tandis que le second apportait la douceur et les compliments qui l’enchantaient. Elle fut donc invitée à venir s’empaler de nouveau sur la queue raide comme la justice et dure comme l’airain de Thomas, sa chatte s’ouvrit et la cicatrice rose et lubrifiée de sa mouille absorba le mât tout entier, jusqu’à la garde.

Pas la peine de s’étonner qu’il lui écarte les fesses, elle sentait sa raie du cul piquer presque tant ses globes étaient écartelés à cet instant précis. Elle n’eut pas besoin de tourner la tête, de sa poigne bestiale, José attrapa sa masse de cheveux noirs et la força à le regarder droit dans les yeux.

Il lui demanda si elle avait envie qu’il l’encule, mais la question était pure rhétorique, ce qu’il désirait par-dessus tout c’est l’abdication totale de cette chair en perdition. Lucy laissa donc échapper un « Oui, encule-moi ! ».

Visiblement pas assez fort ni convaincant pour José qui abattit sa main en une claque tonitruante sur son derrière, elle sursauta sous le choc et cria, cette fois-ci à pleins poumons, qu’elle voulait qu’il la baise intensément par le cul. À peine avait-elle fini sa phrase que le chibre XXL lui défonçait le petit trou !

Les deux glaives étaient en place, Lucy était prise en sandwich pour la première fois de sa vie et, la chose était évidente, elle adorait ça. Portée par les bras et les coups de boutoir musclés, elle se laissa aller, ses deux orifices comblés et dilatés à l’extrême, chauffés par les va-et-vient de plus en plus puissants. Lorsqu’une bite la pénétrait, l’autre sortait, tels les pistons bien huilés d’un moteur de formule 1, la cadence devint vite infernale, la chaleur des deux hommes se communiquait à tout son corps, elle entra dans un état second et jouit dans un cri d’extase.

Le plaisir naquit concomitamment dans ses deux puits dévastés, une foudre brûlante par derrière, une explosion longue et sourde par devant. Son clitoris vibrait, les deux colonnes de feu se rejoignirent dans le bas de ses reins avant de monter comme un éclair jusqu’à son encéphale qui fut noyé d’endorphines. L’orgasme la transportait, la consumait jusqu’à ce qu’elle s’avachisse, vaincue par ce tsunami délicieux.

Son corps langoureusement ramolli fut soulevé, Lucy n’était plus en état, ne serait-ce que de prononcer un mot. Elle sentit de nouveau un chibre lui élargir le cul tandis qu’un autre se présentait à sa bouche.

L’heure du plaisir de ces messieurs avait sonné, elle leur offrit donc toute sa sensualité afin de faire juter ces deux amants exceptionnels. Elle se laissa baiser la gorge. La bite épaisse allait et venait, le gland s’enfonçait jusqu’à sa luette pour ressortir baveux de salive, des filets perlaient de la commissure de ses lèvres, et soudain, le gourdin se raidit, à plusieurs reprises.

Elle ouvrit les yeux pour regarder Thomas, sa queue se gonfla une dernière fois avant d’expulser une dose de foutre incroyable dans son palais.

Sa cavité buccale emplie de sperme onctueux, elle passa sa langue sous le frein afin de faire dégorger la crème jusqu’à la dernière goutte. Elle avala toute la précieuse ambroisie non sans goûter le miellat sucré au passage.

Les borborygmes de Thomas firent comprendre à José qu’il était venu, il sortit en hâte son chibre de l’anus éclaté de la belle brune et frotta sa grosse tige contre les nymphes tuméfiées.

La masturbation ainsi engendrée était d’une douceur et d’une sensualité sans égale. Lui aussi, enfin, se laissa aller à un râle de bonheur, sa semence éjectée en plusieurs salves sur le con glabre jusqu’au ventre d’une Lucy rendue à l’état de poupée de chiffons.

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