Les camionneurs sont sympas
21 janvier 2025Ne jamais mélanger travail et sexe ! Bien sûr, c’est la base, la règle ! Enfin, ça, c’était avant Tony ! Voici notre histoire de sexe amateur.
Fellation et sextos
Je suis exploitante dans une société de transport. J’ai vite compris qu’il allait faire preuve d’humour vis-à-vis des mâles. Tous tentent leur chance, normal, une petite nana bien gaulée débarque et les esprits s’échauffent. J’ai réussi à ruiner les espoirs les plus fous, jusqu’à ce que je tombe sous le charme de ce beau brun à la queue et à la langue magiques. La première fois, Tony était rentré tard, j’étais seule au bureau, nous avons bu un café, il avait l’air si fatigué, je ne sais pas ce qui m’a pris, je lui ai proposé un massage des épaules. Mes mains ont très vite glissé sous son t-shirt, il sentait la sueur, cela m’a plu, j’ai embrassé son cou, ses joues puis ses lèvres et j’ai fini à genoux, la tête enfouie entre ses cuisses, à sucer l’énorme chibre que j’avais sorti de son jean.
Presque timide, il m’a prévenue de son éjaculation, j’ai enfoncé sa bite au fond de ma gorge et j’ai avalé toute sa semence tandis qu’il grognait son plaisir en me tenant fermement par les cheveux. Il repartait pour trois jours dès le lendemain, ces soixante-douze heures ont été longues et très chaudes à la fois. Nous nous sommes échangé des textos, des photos très hot, lui de son énorme et belle queue, moi de mes nichons, de mon cul et de ma chatte ! Il m’a même envoyé une vidéo dans laquelle il se masturbait pour finir par gicler sur l’écran de sa tablette qui affichait un gros plan de mon sexe écarté et trempé de mouille.
À son retour, je l’ai invité chez moi, de nouveau, je n’ai pas voulu qu’il se douche, je désirais son odeur, le poids de son corps, l’intensité de ses baisers bruts sur toute ma peau. Déjà nue lorsqu’il est entré, je l’ai regardé se déshabiller et je me suis ruée sur son mât épais pour le sucer tout en lui demandant de nous prendre en photo, puisque nous aimions cela tous les deux. Il bandait à moitié, une fois ma pipe entamée, il a gagné en volume sous mes effets de pompe accompagnés de coups de langue sous sa hampe, sur ses couilles et son frein délicat.
Amant et sodomie
Nous avons continué notre petite affaire sur le lit, en soixante-neuf cette fois-ci, j’ai pu découvrir à mon tour les talents linguaux de mon amant, d’une main, Tony m’écartait les fesses et me mangeait absolument de partout, lèvres intimes, clitoris, vagin et même mon œillet, il y dardait son appendice pour s’enfoncer dans mon anneau moelleux. J’ai toujours été fan de feuille de rose, celle-là était particulièrement cochonne et excitante. Une fois repue de cette mise en bouche, j’ai laissé cet homme merveilleux guider la danse, il m’a tout d’abord baisée en missionnaire, à grand renfort de coups de reins rageurs. Mes cuisses ramenées vers moi, en grenouilles, me petits pieds froids posés sur ses hanches, je me suis laissée enfiler avec volupté. Il m’a fait jouir une première fois ainsi, tout en me mordillant les tétons que j’ai très sensibles.
Puis il m’a retournée comme une génoise qu’on sort du four, moelleuse et brûlante, allongée sur le ventre, le cul bien cambré, Tony m’a pénétrée encore plus profondément, je sentais chaque centimètre de son gros calibre m’ouvrir la chatte et coulisser en moi avec sensualité. Divin ! Il transpirait, je devinais la fatigue le gagner, j’ai alors pris le dessus et l’ai enfourché comme une moto, son dard totalement planté en moi. Il n’arrêtait pas de me dire que j’étais la plus belle fille qu’il avait jamais baisée, qu’il adorait les « beurettes » et qu’il avait envie de tout de moi. J’ai bien reçu le message et j’ai laissé son phallus venir explorer les atours de ma rondelle serrée.
Toujours au-dessus de lui, j’ai saisi son membre qui ne débandait pas et je me suis enculée avec lenteur dessus, j’ai mis du temps à apprivoiser son impressionnant diamètre qui, une fois tout au fond de mon cul, m’a semblé tout à fait de la bonne taille. Je me suis déhanchée tout en me sodomisant avec volupté sur cette bite fabuleuse et Tony m’a caressé le clitoris jusqu’à ce que je me perde dans un orgasme ravageur. Mon plaisir a entraîné la contraction de mon bas-ventre et de tous mes orifices, cela a déclenché son éjaculation. Il a juté tout au fond de mes fesses, son sperme est même sorti de mon cul tellement il y en avait !
La semaine prochaine, j’ai demandé à faire un peu de « terrain » avec lui, il veut me baiser dans la cabine de son semi-remorque et que je m’exhibe aux fenêtres ! J’en mouille déjà d’envie !
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