Qui dort pine !
28 novembre 2024Les deux cousines ont décidé de faire une surprise à leur coach. Celui-ci va leur montrer que la forme physique et le sexe font bon ménage. Et nos deux jeunes femmes vont être à la hauteur
La villa qu’avaient louée Maya et Ingrid était de toute beauté. Grande, spacieuse, rien ne manquait à l’appel, piscine, spa, jacuzzi et, cerise sur le gâteau, elles avaient bénéficié d’une offre qui ne se refusait pas, un coach sportif avait été mis à leur disposition pour les deux semaines de leur séjour.
Hébergé dans une petite dépendance au fond du jardin, ce dernier leur avait présenté un planning d’activités qui allait de l’aquagym au stretching en passant par des cours de pilate, de renforcement musculaire et de yoga !
Il ne fallut pas longtemps aux deux cousines pour fantasmer sur le bel entraîneur. Loin de leur époux respectif, la chaleur aidant, leur libido était purement et simplement en ébullition. C’est lors d’une baignade que Maya s’ouvrit de ses désirs adultères à Ingrid, qui éclata de rire, avouant qu’elle partageait les mêmes envies débridées avant de rouler une pelle à sa si sexy cousine blonde.
Quelques instants plus tard, leur plan était au point.
Attendre la sieste de Mike et se glisser subrepticement dans sa chambre. Comme prévu, la chaleur ambiante l’avait poussé à aller faire une petite sieste. Il dormait vraisemblablement nu, allongé sur le côté.
Les deux complices purent admirer le mâle tant qu’elles le voulaient.
Il se réveilla quand elles tirèrent le drap, dévoilant les fesses musclées puis le sexe flasque, mais déjà de bonne taille.
Elles allaient bien voir si le sommeil était vraiment réparateur. Leurs quatre mains se faufilèrent de concert sur l’adonis qui bien qu’étonné et assez mécontent et de se faire surprendre en tenue d’Adam se laissa faire !
Ses récriminations se perdirent dans un grognement de satisfaction lorsque deux bouches pulpeuses se posèrent ensemble sur son gros gland, sa queue se gonfla instantanément et l’érection de son membre ravit ses élèves temporaires. Un coup entre les lèvres ourlées de la brune, un coup entre celles plus pincées, mais tout aussi accueillantes, de la blonde.
La pipe dura un moment, Maya et Ingrid semblaient insatiables, chacune arrachant des mains de sa consœur le pieu tant attendu en chamailleries bon enfant, l’une finissant toujours par rendre le pénis afin que chacune en profite équitablement. Les belles bourses épilées ne furent pas omises, tandis que le chibre était avalé, aspiré, pompé, les couilles étaient lustrées à grands coups de langue et griffées sensuellement du bout d’ongles ornés de french manucures très soignées.
Mais Mike était un homme d’initiatives, les deux jeunes femmes l’avaient bien compris, aussi se releva-t-il, privant les cousines de leur friandise préférée. Et ce fut pour mieux se glisser entre les jambes d’Ingrid. Cette dernière souleva le bas de sa jupette tout en libérant ses fesses afin que Mike puisse tirer sur sa culotte et dégager sa jolie petite minette déjà souillée d’une mouille aussi poisseuse qu’abondante. Sa langue n’avait plus qu’à entrer en action et, tandis qu’il s’affairait à débrider le bulbe rose du clitoris encore timide, Maya en profita pour mettre à nu les énormes seins de celle qui se pâmait déjà sous les affres du cunnilingus qui gagnait en intensité et en profondeur.
Mike allait jusqu’à se perdre à la lisière de l’anus délicat, ce qui provoquait des râles et des soubresauts chez Ingrid. Un orgasme plus tard, ses tétons mordillés avec appétit et son bourgeon dévoré avec passion, elle se laissa pénétrer.
C’est Maya qui guida le chibre bandé vers sa petite fente toute lisse et épilée quelques jours auparavant.
La coquine aurait-elle fomenté de se faire défoncer la craquette pendant ces quelques jours de vacances ? Rien n’était moins sûr, la connaissant.
La bite de Mike se glissa sans difficulté dans la moule ouverte et juteuse.
Son vagin, bien qu’étroit, n’eut aucun mal à accueillir la colonne en érection, cette dernière s’enfonça jusqu’au scrotum dans la chaleur humide de la conque hospitalière. Le coach se surpassa, ne cessant d’envoyer des coups de reins énergiques qui secouaient Ingrid tant et si bien que sa crinière virevoltait en tous sens jusqu’à ce que le plaisir la ravage de nouveau.
Son ventre explosa, sa mouille gicla en gouttelettes translucides, un cri monta au ciel puis elle s’écroula sur le matelas, tout aussi ravie de son voyage sensuel que de céder sa place à sa cousine qui commençait à s’impatienter.
Maya, affamée de sexe, agissant comme cette dernière, sortit ses superbes nichons, plus menus que ceux de cheveux d’or, mais très fermes avec une jolie forme de poire, et laissa le soin à Mike d’écarter le pan de sa culotte pour libérer une chatte à la toison entretenue. Ce velours sombre renforçait le contraste avec le rose-parme de son sillon.
Elle aussi avait bien mouillé à regarder les deux amants en action, sa cramouille était un cloaque d’où émergeait une huile cristalline aux parfums marqués, ici le musc le disputait à l’ambre gris. Mike glissa deux doigts dans l’anfractuosité et donna ses phalanges à lécher aux deux nymphes. Leurs esprits étaient fiévreux à l’idée de goûter ainsi cette cyprine aux fragrances de désir. Il réitéra l’opération, mais cette fois-ci, c’est à sa propre bouche qu’il les porta, en effet devant l’impatience de Maya à se faire prendre, il n’eut pas le loisir de bouffer sa craquette.
D’abord en missionnaire, la chaude brunette s’offrit totalement à une baise sauvage tandis qu’elle continuait de téter les énormes aréoles d’Ingrid, son corps léger secoué par des coups de boutoir de plus en plus puissants.
Pas de doute, le coach avait une barre très énergétique entre les cuisses, ses couilles battant le tempo sur les fesses trempées de liqueur suave. Le burinage dura un bon moment, jusqu’à ce que Maya réclame de prendre la direction des opérations.
Aidée d’Ingrid, elle chevaucha le bellâtre, lui présentant sa croupe et laissant à une petite main féminine le soin de guider le chibre nerveux tout au fond de sa cicatrice aqueuse.
Elle pouvait ainsi profiter d’un angle de pénétration tout à fait inédit tout en offrant ses seins et ses lèvres à la bouche insatiable de son amante si sensuelle.
Une douce alternance s’ensuivit, Mike trouva son rythme et satisfit les appétits sisyphéens des deux beautés. Il prenait un plaisir à affamer la brune tout en baisant la blonde pour mieux inverser les rôles. Chacune avait une chatte bien reconnaissable, le vagin de Maya était lisse comme la soie, celui d’Ingrid présentait, sur sa face antérieure, une subtile rugosité qui taquinait avec beaucoup d’intensité le gland qui y entrait et en ressortait avec frénésie. Même les yeux fermés, il arrivait, du bout de sa queue à identifier dans quel tunnel il se trouvait !
Mais les complices lui réservèrent le meilleur pour la fin, toujours enlacées et se roulant des pelles à foison, elles s’installèrent simultanément à quatre pattes, le cul bien bombé et les reins extrêmement cambrés. Les fesses s’ouvrirent, laissant tout loisir à Mike de profiter d’une vue féerique sur leurs féminités ainsi dévoilées.
Un pied en appui sur le matelas épais, il n’eut qu’à choisir quel trou fourrer en premier. Ce fut celui de Maya, bientôt relayé par celui, bien caché sous son sillon fermé, d’Ingrid. Cette dernière réclama l’intromission d’un doigt dans son petit anus fripé, aussitôt sa voisine de baise se leva et vint lui lécher la rondelle.
Assouplissant le sphincter, l’humectant avec sa salive, y glissant son piercing de langue, elle prépara le terrain pour le pouce d’un Mike ravi qui lui enfonça avec délice jusqu’à la paume ! Ainsi prise en sandwich, les seins palpés, pincés, mordillés par sa cousine, elle succomba à un orgasme tonitruant et d’une durée incroyable.
Elle laissa alors sa place, Maya reprenant sa position préférée en amazone, le mât fiché profondément dans son tunnel.
Elle se levait et retombait, se masturbant presque, son amant n’ayant rien d’autre à faire que de l’accompagner par de petits mouvements du bassin. Ingrid, reconnaissante, vint s’immiscer entre les fesses de la brune incandescente et lui administra un anilinctus, enfouissant son appendice moelleux dans l’anneau accueillant.
La conjugaison des deux stimulations ne fut pas longue à faire effet, le méat de Maya fut secoué par plusieurs jets intenses, sa fontaine était délicieusement chaude et coulait partout, sur les cuisses d’un Mike au bord de la rupture, giclant jusque dans la bouche d’Ingrid qui tentait d’avaler la plus grande quantité de sirop possible tout en continuant de lécher le petit trou, également, empli de spasmes orgasmiques incontrôlables.
Il était temps pour les deux jeunes femmes de libérer leur bienfaiteur et de l’amener, lui aussi, dans un Éden de plaisir et de délivrance. La pine, encore dressée et recouverte de leurs fluides intimes, allait donc se transformer en une merveilleuse et exquise sucette.
Pas de jalouse, elles s’attaquèrent au membre en érection par les deux côtés en même temps, leur langue se frôlant lorsqu’elles se rejoignaient sous la hampe.
La queue était chaude dans leur main, les belles bourses, reposant sur les cuisses musclées ne furent pas oubliées, parfois léchées, parfois gobées ou bien malaxées, Mike ne venait toujours pas. Mais la pulpe des doigts frais d’Ingrid trouva la clef, quelques griffures légères sur la veine et le scrotum et le geyser se déclencha !
Le sperme gicla avec puissance, aspergeant au passage les charmants visages des deux madones de gouttelettes et de traits crémeux. Le séjour promettait, décidément, d’être très sportif !