
Être et avoir été
31 octobre 2024Fadela est venue passer quelques jours dans la sublime villa louée par son cousin dans le Sud de la France. Quant au retour du marché, elle se retrouve seule avec Louis, de quinze ans son ainé et pour lequel elle craque, notre jolie brune se dit qu’il est temps de se jeter à l’eau !
Je suis venue passer quelques jours dans la sublime villa que mon cousin avait louée dans le Sud de la France. C’était un endroit enchanteur, niché dans les collines verdoyantes et baigné par le soleil éclatant de l’été. Après une matinée passée à flâner sur les marchés locaux, je suis retournée à la villa, les bras chargés de fruits juteux et de légumes frais.
Nous nous tournions autour depuis des jours, et j’ai bien senti que c’était son moment. J’ai déposé mes provisions sur une table et je me suis approchée du bord pour profiter de la vue magnifique. L’envie soudaine de me rafraîchir m’a traversé l’esprit. J’ai perçu que Louis tentait un geste en ma direction, j’ai pensé un instant qu’il cherchait à me prendre par la taille, mais prise par surprise, j’ai glissé près du bord et j’ai basculé dans la piscine. Le temps a semblé se suspendre tandis que je tombais maladroitement en avant, atterrissant dans l’eau claire dans un éclaboussement mat. La fraîcheur de l’eau sur ma peau chauffée par le soleil était exquise.
Louis m’a rejoint aussitôt en effectuant un plongeon digne d’un maître-nageur.
Il s’est approché rapidement, un mélange de surprise et d’amusement dans son regard. Il a tendu sa main vers moi, et je l’ai attrapée instinctivement, reconnaissante de son soutien. Il m’a aidée à me redresser dans l’eau peu profonde, ses doigts fermement enroulés autour des miens. « Ça va ? » a-t-il demandé, un sourire taquin étirant ses lèvres. J’ai ri légèrement, secouant la tête pour chasser l’embarras. « Oui, merci. Je ne suis pas très douée pour garder l’équilibre. » Louis a ri doucement aussi, ses yeux pétillants d’une lueur espiègle. « Tu t’en sors très bien pour une débutante. Viens, je vais t’apprendre à nager correctement pour la prochaine fois où tu tomberas. » Il m’a alors guidée, me montrant les mouvements de base.
Sa proximité était troublante mais agréable, nos corps étaient presque en contact alors qu’il ajustait ma position et corrigeait mes mouvements. Mes vêtements serrés entravaient mes gestes, j’ai donc décidé de me dénuder. Louis m’a aidée dans cette étape. J’ai senti le tissu trempé et froid libérer mes petits seins pointus. Il les regardait avec beaucoup d’insistance et d’appétit. Je suis restée en string, quand même … et j’ai rougi de mon exhibition soudaine.
Louis m’a montré comment faire la planche, ses larges paumes soutenant mon dos et mes cuisses. « Il faut que tu gonfles tes poumons à bloc. » J’ai essayé, je tanguais, ma tête s’immergeait un peu dans l’eau et je craignais d’étouffer. Voyant ma détresse, Louis a fini par me sortir de l’eau et m’allonger sur le bois chaud et doux. L’air est devenu soudainement beaucoup plus coquin, je le sentais.
Mon corps se tordait au rythme de ses doigts, je me cambrais quand son majeur remontait, je râlais quand son index effleurait mon clitoris. Je le trouvais aussi bon avec ses doigts en moi que lorsqu’il me prodiguait des conseils de nage.
Manifestement, Louis était un manuel.
Pour le remercier, j’ai décidé de lui rendre la pareille et me suis lancée dans une belle fellation. Je me suis redressée et ai saisi sa bite vigoureuse à pleine main.
Il bandait bien fort, le massage de ma zone vulvaire l’avait bien excité aussi. J’ai joué avec son sexe bandant et l’ai placé à l’orée de ma bouche. Ma langue ramassait les gouttes d’eau de la piscine qui perlaient de son gland. C’était froid et un peu chloré. J’avais l’impression de déguster un sorbet rafraîchissant en plein été. « C’est marrant, le maraîcher ne m’a pas proposé ce type de fruits au marché » lui ai-je dit en souriant.
Il m’a souri à son tour en me caressant le bas du visage. Puis, j’ai enfoncé son sexe un peu plus loin entre mes lèvres, jusqu’au niveau des couilles. Je le regardais droit dans les yeux en même temps, avec une tête très coquine. Je pense qu’il a apprécié que je me démène de la sorte, il m’a attrapée par l’arrière du cou et m’a embrassée tendrement sur la bouche.
Nos langues se sont lancées dans une danse des plus sensuelles. Elles se touchaient parfois, timidement, avant de se mélanger de façon plus frontale. Il me mordillait tendrement la lèvre inférieure et cela me faisait fondre. C’était incroyablement sexy. Très vite, j’ai eu envie de le sentir au plus profond de moi, sentir son gland taper contre le fond de mon vagin, sa bite dure et solide dilater mon col.
Cette anticipation gynécologique s’imposait à mon esprit de façon presque impérative. Comme un besoin vital. Je l’ai allongé à même le sol, sur le bois de la terrasse et je l’ai enfourché, tel un destrier. Mes mains parcouraient son buste sublime qui commençait doucement à sécher grâce aux rayons du soleil. Il était totalement imberbe, les pectoraux bien dessinés par le travail dans les jardins, et cela m’a excitée encore plus.
C’était la première fois que je contrôlais l’acte sexuel avec un homme. Et c’était grisant, je pouvais frotter mon clitoris contre le haut de son pubis, ce qui décuplait mes sensations. Louis, entre deux gémissements, m’a demandé si tout allait bien, si j’avais envie d’être soulagée de mes efforts. La position commençait à m’échauffer les cuisses, j’ai donc accepté avec enthousiasme de réduire mon travail.
Nous nous sommes alors retournés, en levrette. Je tendais mon cul bien haut vers le soleil et Louis est venu se planter à l’arrière, sans aucune difficulté. Il faut dire que j’étais bien lubrifiée, je me sentais dégouliner le long de mes cuisses.
Une fois que la première poussée est passée, il n’a eu aucun mal à enchaîner les coups. Contrairement à moi, ses mouvements se faisaient plus tendres, plus sensuels.
Il prenait bien le temps de se retirer avant de s’enfoncer à nouveau, comme un plongeur qui prend de l’élan. Il m’agrippait bien fort par la taille et se plantait en moi sans difficulté. Mon visage était tourné vers le soleil et je sentais ses doux rayons caresser mon visage, comme pour accompagner la sensualité de ce moment unique. C’était si bon de le sentir en moi, je me sentais vivante comme jamais.
Toujours dos à moi, ses mains se sont faites plus aventureuses, jusqu’à remonter vers mes deux petits seins : « Mmmh, c’est ça les fruits que tu as ramenés du marché ? Ils ont l’air très bons ! » m’a-t-il dit en agaçant la pointe de mes tétons. Je frétillais de plaisir sous ses doigts en gloussant comme une gamine.
Nous avons ensuite basculé sur le côté. Louis m’enlaçait tendrement dans ses bras tout en continuant à me pénétrer par l’arrière. Je me blottissais contre son torse, comme une petite poupée. La position était d’une tendresse infinie à mi-chemin entre le câlin et une levrette. Son pénis n’entrait pas tout à fait au fond de moi, mais butait contre le haut de mon vagin, ce qui faisait papillonner mon bas-ventre.
J’ai glissé un de mes doigts au-dessus sur mon petit bouton bien dur. Je sentais l’orgasme venir, je n’étais plus qu’à quelques secondes du septième ciel. J’ai accéléré mes mouvements sur ma fente et j’ai fermé les yeux. Je sentais les picotements de la jouissance envahir toute mon entrejambe et remonter doucement le long de ma colonne vertébrale.
Dans mon oreille, la douce musique des soufflements rauques de Louis et le clapotement de l’eau de la piscine se mêlaient entre eux. Le ciel et les nuages se troublaient. Je ne voyais plus clair et ne sentais plus rien.
Je crois que mon orgasme l’a bien inspiré. Louis a sorti son sexe de moi et s’est branlé juste au-dessus de ma vulve, à une vitesse très rapide. Soudain, un long jet blanc m’a recouvert le pubis. Je sentais sa liqueur brûlante glisser lentement dans mes plis secrets. Nous sommes restés encore longtemps comme ça, en silence, dans les bras l’un de l’autre. Sa tête était posée contre la mienne et je me sentais partir dans une torpeur délicieuse.
Après quelques longues minutes et un nettoyage rapide, Louis m’a invité à redescendre avec lui dans la piscine. Je dois dire qu’il n’y a rien de meilleur que de sentir l’eau fraîche sur son corps après que celui-ci soit devenu un brasier.
Je laissais mes muscles se détendre doucement. Louis ne me quittait pas des yeux, matant ce corps qu’il avait possédé quelques minutes plus tôt. Et si nous remettions le couvert dans l’eau ?