Un regard jouissif
23 avril 2024Patricia, 31 ans, Pas-de-Calais, croise le regard puissant d’une femme dans un club libertin tout en recevant une double pénétration.
Avec mon mari Bastien, nous aimons libertiner à l’occasion. Il aime plus que tout partager sa femme – moi en l’occurrence ! – dont il est très fier et dont il adore qu’elle exhibe sa plastique… Moi, je prends beaucoup de plaisir à être le centre de l’attention quand nous sortons pour des soirées coquines. Le plus souvent, ce sont les hommes qui me tournent autour, mais récemment, j’ai été l’objet de la fascination érotique d’une femme. Voici mon histoire de sexe.
Dans le coin câlin
Ce soir-là, Bastien et moi étions allés dans notre club préféré. J’avais revêtu mes plus beaux atours. Bas de dentelle, porte-jarretelles rouge pétant assortis à une robe de soie très courte qu’on pouvait défaire en un rien de temps en tirant sur une ficelle. Je me sentais bandante à souhait. Comme d’habitude, tous les regards masculins étaient tournés vers moi. Mais au milieu d’eux a émergé celui d’Elsa. C’était une femme brune et mystérieuse, qui a fait peser son regard sur moi toute la soirée. Vers minuit, avec son mari, ils sont enfin venus nous voir pour se présenter. « Vous avez plu à ma femme, elle aimerait vous voir prendre votre pied », a déclaré son époux. Troublée et flattée, Bastien excité, nous les avons suivis dans un coin câlins où il y avait un grand lit pour se mettre à l’aise.
Bastien était tout émoustillé de voir Elsa si intéressée par moi. Là, il s’est mis à me caresser et lui a proposé de s’allonger près de moi pendant qu’il me donnait du plaisir. C’était perturbant, car au départ elle ne voulait pas me toucher. Elle me regardait sous toutes les coutures, semblant prendre un plaisir particulier à regarder ma poitrine généreuse. Elle s’est mise à me prendre en photo avec un vieil appareil à polaroïds qu’elle avait discrètement amené avec elle. J’ai aimé son regard sur moi, tandis que mon homme me caressait. J’ai défait le haut de ma robe pour dévoiler mes seins qui pointaient d’excitation. Entre mes jambes, j’ai glissé une main pour me caresser langoureusement, portée par la caresse des yeux d’Elsa sur ma chair. Le feu est monté à ses joues et elle a pris d’autres photos de moi.
Des regards excitants
Les hommes se branlaient en m’admirant. Moi, je me laissais porter par ces regards qui donnaient une saveur particulière à ma masturbation. Le plaisir est montré entre mes cuisses, sous mes doigts qui s’agitaient sur mon sexe. Elsa s’est mise entre mes genoux pour photographier ma main en train de me donner du plaisir. Je me suis embrasée et le feu est monté à mes propres joues, qui sont devenues aussi rouges que ma lingerie.
J’ai joui de ma caresse et des yeux d’Elsa posés sur moi. Mon homme m’a ensuite prise sur le lit et son homme à elle est venu dans ma bouche. J’étais sur le dos et j’ai pris plaisir à prendre ces deux grosseurs viriles entre toutes mes lèvres. Elsa a encore photographié mes seins épanouis alors que j’étais cambrée en arrière vers le sexe de son mari. Puis j’ai été prise en levrette sur le lit, par Bastien et par l’autre homme, leurs queues se sont enchaînées en moi et j’ai cambré la croupe sous le plaisir fou qui m’a envahie des orteils jusqu’à la racine des cheveux. Mes seins pesaient sous mon buste. C’était un moment inattendu et doux et même si le plaisir d’Elsa était uniquement scopique, par le regard, il m’a laissé un souvenir plus pérenne et m’a fait plus d’effet que les deux queues que je me suis prises cette nuit-là. Mes seins se souviennent plus du regard d’Elsa que du reste et depuis, je me caresse souvent en repensant à elle en train de me fixer. Je jouis, je coule, mes seins se déploient sous le plaisir, et son image à elle reste, flotte au-dessus de ma jouissance, comme une caresse imperceptible.
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