Un certain regard

La rédaction 5 novembre 2019

Sandrine, 28 ans

Un certain regard histoire de sexe

Je m’appelle Sandrine, j’ai 28 ans et j’habite la région de Lyon. C’est la première fois que je lis votre magazine. Les récits des lecteurs m’ont donné envie de réaliser un fantasme enfoui au plus profond de moi depuis des années. D’habitude réservée dans la vie de tous les jours, j’ai souhaité devenir « actrice » le temps d’une journée, en vous faisant partager quelques photos coquines, ainsi que le récit d’une expérience troublante.

Depuis des mois, mon ami me parlait de son envie de m’emmener dans un club échangiste. Un jour, il s’est décidé. Il m’a demandé de mettre mes dessous les plus sexy, et nous avons pris la route. mon angoisse augmentait au fur et à mesure que les kilomètres défilaient. En arrivant devant le club, mon coeur s’est mis à battre fortement. J’avais envie de faire demi-tour, mais j’étais dans l’impossibilité d’ouvrir la bouche. Je tremblais à l’idée de savoir ce qui se passait derrière cette porte.
Avant même que je puisse réagir, nous étions déjà à l’intérieur. Nous avons été invités à visiter les lieux. L’ambiance était chaude, et l’établissement décoré avec raffinement. Il y avait un D.J. comme dans une boîte de nuit classique. Seule différence, la tenue des clients…

Mon ami m’a proposé de m’installer et a commandé à boire. Les regards se sont posés sur nous car nous étions les seuls à être habillés. Nous sommes donc allés au vestiaire. Je me suis timidement retournée vers les casiers, j’ai enlevé ma jupe et mon chemisier, et j’ai enfilé la nuisette que j’avais emportée. Nous nous sommes ensuite installés près de la piste de danse. Les femmes s’exhibaient avec le sourire, les hommes les admiraient, l’ambiance était teintée d’érotisme et de sensualité.
J’ai tout à coup senti le regard d’un joli couple d’une quarantaine d’années se poser sur nous, à la fois insistant et discret. Je me suis demandé s’ils allaient nous aborder, mais ils ont dû remarquer que nous étions novices et je pense qu’ils n’ont pas voulu nous faire fuir.

Mes dessous noirs et blancs étaient mis en valeur par les jeux de lumière. Je voyais le regard des hommes sur moi et de mon compagnon sur les autres femmes. Je ne savais plus les raisons de ma présence : simple curiosité ou envie de découvrir un univers qui, en même temps m’attirait, mais me faisait peur ? Perdue dans mes pensées, je n’ai pas remarqué la disparition du couple.
Mon ami m’a emmenée faire un petit tour dans les coins câlins. Nous sommes passés et repassés plusieurs fois devant des alcôves et nous avons trouvé une cabine où nous avons d’abord fait l’amour à l’abri des regards. Puis, nous avons joué les voyeurs, assistant ici et là aux étreintes de divers couples qui se donnaient en spectacle à deux, trois, quatre et plus.

En continuant notre visite, nous sommes arrivés dans un couloir étroit qui ne menait nulle part. Nous nous sommes embrassés, caressés… Tout à coup, j’ai senti un regard insistant. C’était le couple du début qui nous avait retrouvés. Ils se sont à leur tour caressés pour nous faire comprendre qu’ils avaient envie de nous. Nous avons préféré quitter cet endroit trop exigu, mais en sortant de ce couloir étroit, l’homme s’est arrangé pour que je sente son sexe sur mes fesses. Ce simple contact m’a procuré une sensation unique. Totalement excitée, j’ai choisi une alcôve pour aller au bout de mon émotion.

Je me suis pudiquement mise au bord de la cloison afin de ne pas dévoiler tout mon corps. Mon ami s’est installé au-dessus de moi. Il m’a longuement léché la chatte et m’a présenté son sexe pour que je le déguste. Au bout de quelques minutes, je me suis rendu compte qu’il y avait des glaces sur l’autre paroi, lesquelles permettaient aux voyeurs d’apprécier le spectacle ! Savoir que l’on me regardait a décuplé mon excitation et j’ai multiplié les postures les plus perverses. Ravi, mon ami m’a prise en levrette et m’a sodomisée.

La présence d’autres personnes ne l’empêchait pas de me faire l’amour tendrement. Il jetait des petits coups d’oeil de temps à autre pour savoir si nous étions regardés. À plusieurs reprises, des gens ont essayé de s’introduire dans l’alcôve, mais nous avions mis le verrou. Au bout d’une heure, nous avons quitté cette petite pièce. Après, en marchant, à chaque fois que je croisais quelqu’un, je me demandais secrètement si cette personne avait participé visuellement à nos ébats. Et cette pensée me faisait mouiller.

Aujourd’hui, le regard du couple qui souhaitait nous aborder me hante sans cesse… Pourquoi n’ont-ils pas été plus entreprenants ? Pourquoi n’ai-je pas osé leur adresser la parole ? Des questions qui, à ce jour, restent sans réponse. Mon expérience paraîtra banale à certains, mais elle a représenté un premier pas pour notre couple, et la découverte d’un aspect de ma personnalité qui était enfoui en moi depuis longtemps. Un conseil, si vous avez l’envie d’entrer dans un club libertin, faites-le sans a priori. Lancez-vous et vivez votre expérience à fond, afin de ne rien regretter ensuite.

(Image à la une : Getty Images)

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Entre ses cuisses

« J’ai titillé son clitoris, très gonflé et sorti de sa gaine. Puis, j’ai enfoncé mes doigts dans sa petite minette toute mouillée et j’ai entamé des va-et-vient. Tout à coup, elle a serré les cuisses, j’ai senti ses spasmes, et elle a joui » Daniel

Une bonne bouche de Noël 

« Ne pouvant me retenir, j’ai déchargé dans la bouche de Lucie, qui se masturbait, la main entre les cuisses. Elle a atteint l’orgasme » Rudy

À retrouver sur notre plateforme VOD

Regarder, épier, découvrir…Si vous aimez jouer les voyeurs alors vous prendrez plaisir à découvrir ces séquences où l’on pénètre dans l’intimité de jeunes filles.

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