Combles du plaisir

La rédaction 13 septembre 2024

Stéphanie 42 ans de Paris et son mari aiment faire des partouzes. Il ont aménagé un espace dédié et un photographe vient immortaliser leurs ébats.

Stéphane, mon mari, a aménagé notre grenier en un nid d’amour, des tentures blanches et roses forment un cocon douillet autour d’un immense matelas. Cette installation est parfaite pour assouvir nos désirs les plus fous et s’adonner à des histoires de sexe.

Partouze à 4 photographiée

Depuis quelque temps, nous nous envoyons beaucoup en l’air avec Ursula et Roger, ils sont très cochons et elle, bisexuelle jusqu’au bout du clito. Ce sont eux qui ont introduit ce nouvel élément qui nous plaît tant, un photographe pour immortaliser nos partouzes. Lorsque nous avons pris des clichés pour la première fois, nous étions un peu empruntés, presque intimidés par l’objectif, mais nous nous sommes rapidement libérés. On a débuté par des caresses entre filles, Ursula et moi nous sommes roulé des pelles tandis que les hommes nous pelotaient. Très vite, je me suis dirigée vers la chatte de mon amante préférée et j’ai déposé un chapelet de baisers très doux sur son beau pubis glabre. Sa moule est entièrement épilée et je trouve cela très esthétique même si, de mon côté j’ai conservé un fin trait de poils. Roger et Stéphane se sont déshabillés tandis que nous nous bouffions l’abricot en soixante-neuf, mais, bientôt, l’appel de la bite a été le plus fort.

Nous avons pipé nos compagnons puis avons échangé nos sucettes. La queue de Roger est un peu plus grosse que celle de Stéphane et j’adore la prendre en bouche, elle a un goût sucré qui me fait mouiller aussitôt que je l’accueille entre mes lèvres. Après avoir rendu nos deux mâles bien durs, toujours sous l’objectif attentif de notre photographe (le voir tourner autour de nous était le summum de l’excitation pour tous visiblement), nous nous sommes allongées côte-à-côte avec Ursula, écartant largement nos cuisses pour recevoir les pénétrations les plus profondes et, comme pour nos fellations, les garçons ont changé de cavalière régulièrement. J’avais un plaisir tout particulier lorsque, ma chatte vide, j’attendais de me faire limer par l’un ou l’autre avec leur différence de rythme, de poids au-dessus de mon corps, de taille de sexe s’enfonçant dans le mien.

Roger a eu envie de se faire sucer à deux bouches, doigtant son épouse. Il nous a offert son beau chibre à lécher tandis que mon mari continuait ses aller-retour entre mon vagin et celui, délicieusement serré, d’Ursula. Je n’ai pas pu retenir mon premier orgasme, baisée avec puissance par Stéphane, une autre bite que celle de mon homme entre les lèvres, j’ai explosé, les mains d’Ursula caressant mes seins, en étirant les bouts hyper sensibles entre son pouce et son index.

Gang Bang et fellation

Quelques tapes gentilles sur nos fesses nous ont fait comprendre que ces messieurs désiraient que nous leur présentions nos petits popotins musclés. Dans une chorégraphie des plus sensuelles, Ursula et moi nous sommes donc relevées pour nous soumettre à nos baiseurs, culs au ciel, reins cambrés, les levrettes pouvaient commencer. Le binôme membré s’est placé face à nos raies écartées et les chibres sont entrés en action. Chacun pouvait caresser celle qu’il voulait tandis qu’il labourait une des deux chattes. Des doigts glissaient le long de mon dos et de celui d’Ursula pour venir taquiner nos anus sensibles, puis s’y loger afin de sentir la présence du pieu qui défonçait la minette juste derrière la fine paroi.

Nous avons fini en amazone, grimpées sur nos chéris épuisés par plus de deux heures de corps-à-corps intense. Ainsi montées à califourchon sur nos mâles, nous avions tout loisir de nous embrasser à pleine bouche entre filles et de nous effleurer les seins, le sexe. C’était à la fois très doux et fort en sensations. Ursula a joui en malaxant les couilles de mon compagnon pendant que je m’offrais un face-sitting, ma fente gluante posée façon ventouse sur la bouche de Roger. Nous avons décollé toutes les deux en même temps avant de nous ruer sur les pénis qui commençaient à juter dans le vide. Pas question de laisser perdre ce bon foutre crémeux, nous avons accueilli les derniers jets dans nos gorges, avant de lécher ce qui avait fusé sur les ventres de nos amants et nous nous sommes embrassées à pleine bouche pour partager nos récoltes de sperme puis tout avaler.

Nous étions en sueur. Notre photographe a enfin posé son matériel. Malgré son professionnalisme, il bandait dur dans son jean et présentait une énorme bosse. Nous nous sommes regardées avec Ursula, un coup d’œil à nos hommes épuisés, un hochement de la tête nous suffisait amplement. Débraguetté promptement, le preneur d’images a été sucé jusqu’à ce qu’il nous donne sa substantifique moelle sous forme d’une éjaculation dantesque !

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