Fan de face-sitting

La rédaction 15 mai 2019

Lila, 35 ans, Nîmes

Chers lecteurs et surtout chères lectrices d’Union, Je m’appelle Lila et j’aimerais, par cette lettre, vous faire part d’une pratique que j’aime beaucoup. Il s’agit du face-sitting (en anglais), soit le fait de s’asseoir sur le visage de son partenaire. C’est une forme d’humiliation érotique que j’apprécie particulièrement pratiquer avec mes partenaires. J’aime qu’ils s’allongent sur le lit ou sur le sol pour que je puisse m’accroupir sur leur visage. J’ai beaucoup d’amants, que je contacte via des applications de rencontre. Souvent, dès les premiers échanges et rendez-vous, je parle de ce « kink » et du fait que j’aime infiniment dominer ainsi les hommes en chevauchant leur tête. Cela surprend parfois, mais la plupart du temps, mes partenaires sont ravis de répondre à ce fantasme. 

Par exemple, la dernière fois que je l’ai pratiqué, c’était avec un monsieur rencontré sur la Toile. Après nous être vus une première fois, je l’ai invité chez moi. Il était d’accord pour répondre à tous mes désirs et je n’avais plus qu’à le guider. Dans ma maison, nous nous sommes installés sur la moquette épaisse de ma chambre. J’ai demandé à l’homme de se dénuder. Il avait un beau corps fin et élancé, un beau visage aux yeux pleins de convoitise. Il aimait que ses amantes prennent le dessus dans les relations sexuelles, ce qui collait parfaitement avec mon programme. Je lui ai demandé de s’allonger sur la moquette. Ses fesses, ses jambes et son dos nus étaient en contact avec le sol duveteux. Sa bite était déjà toute durcie par son désir. Moi, j’étais encore vêtue d’une petite robe courte en soie noire. Sans culotte, cela va sans dire. Je me suis mise debout et me suis rapprochée de lui, le surplombant de toute ma hauteur. J’ai passé le bout du pied sur sa bite tendue et je l’ai vue frémir de désir. Puis je l’ai laissé à sa frustration et je me suis positionnée au-dessus de son visage. Doucement, je me suis agenouillée au-dessus de lui, lui laissant le temps de contempler ma foune. 

Mes genoux étaient de part et d’autre de sa tête et mon sexe maintenait sa bouche. J’ai un peu appuyé dessus pour le faire respirer plus fort et sentir son souffle sur ma fente humide. L’homme ne disait toujours rien, mais sa bite bandée trahissait son émoi. Je me suis un peu relevée pour dégager un mince espace entre lui et moi et il a pu ouvrir la bouche pour embrasser ma vulve, sortir sa langue pour venir titiller mon clitoris. 

Au gré de mon plaisir, je me redressais un peu sur mes genoux pour que seule la pointe de sa langue puisse m’effleurer et me procurer une sensation de caresse légère. Puis je bougeais à nouveau le bassin de sorte que je pouvais presque l’étouffer de ma chair pour qu’il me bouffe littéralement la minette. Mes petits mouvements de bassin sur son visage, sa dévotion et l’accélération de sa respiration me faisaient planer. Quand j’ai eu mon compte de caresses dans cette position, je me suis appuyée sur mes genoux pour venir me pencher en avant et atteindre sa queue. Nous nous sommes alors retrouvés en position 69. Les poils de moquette caressaient sa peau et leur blancheur contrastait avec son corps légèrement hâlé. 

Sa bite pointait vers moi et je n’ai eu qu’à glisser bouche ouverte dessus pour la faire mienne. Je me suis mise à le sucer dans cette position agréable, couchée sur lui, contrôlant la pression sur sa queue, allant et venant sur elle en m’appuyant sur mes mains pendant que je lui offrais toute mon intimité à la figure et qu’il léchait à la fois mon minou et mon cul. Sans le laisser se relever ni bouger, je me suis ensuite assise sur sa bite pour qu’elle puisse me pénétrer, toujours accroupie et dos à lui, concentrée sur mon plaisir. Tout en me caressant le clito, j’ai fait des allers-retours sur sa belle verge bien ancrée en moi. Je menais la danse et c’est moi qui, grâce à mes mouvements, accentuais la pénétration tout en me branlant. Je me suis faite jouir en me cambrant sur mon partenaire de jeu et en criant mon plaisir égoïste. Dans les derniers frémissements de mon sexe sur lui, il a aussi lâché les vannes et éjaculé en moi dans un long soupir. C’était l’unique moment de notre rapport où il s’est permis d’émettre un son. Nous nous sommes redressés sur la moquette, tout dégoulinants de sueur, de mouille et de sperme. Je recommande vraiment à toutes les femmes de prendre les rênes de la sorte et de convertir leur mec au face-sitting. Mesdames, reprenez le pouvoir !

(Photo à la une : Getty Images)

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