Partouze bisexuelle
14 juillet 2019Antoine, 28 ans, Paris
Je suis un homme de 28 ans et je suis bisexuel. Je sors avec une femme, mais je sais que je suis aussi attiré par les hommes. Elle le sait et cela ne la perturbe pas du tout, car elle même ne se définit pas comme complètement hétérosexuelle. Elle a confiance en moi à tel point qu’il nous arrive de nous rendre à des partouzes entre amis tous les deux. Nous sommes libertins et aussi polyamoureux, même si en ce moment nous ne sortons qu’ensemble. Nous avons juste le droit d’aller voir ailleurs, mais la plupart du temps, nous le faisons ensemble, lors de ces parties fines à plusieurs.
Notre bande d’amis est très « queer » et portée sur le sexe. Nous baisons à plusieurs de manière assez régulière. La dernière fois que nous avons été invités à ce genre de soirée, c’était chez un couple d’amis gays. Nous étions une dizaine dans l’appartement, à nous chauffer tranquillement, à discuter et à danser un peu. Tout le monde était soit gay, lesbienne ou bi, et libertin. Il faut admettre que cela ouvre beaucoup de possibilités… Ce soir-là, ma copine Clara et moi avions envie de nous mêler à un nouveau couple fraîchement arrivé dans la bande et dans lequel l’homme était aussi bi. Nous les trouvions très attirants. Nous avons discuté avec eux une bonne partie de la soirée, jusqu’à ce que l’atmosphère devienne ouatée et propice aux rapprochements. Des gens ont commencé à s’embrasser, se câliner, se déshabiller. Ma copine et celle du mec se sont mises en sous-vêtements. Elles portaient des soutiens-gorge de latex qu’elles choisissaient spécialement pour ces occasions festives. Elles avaient toutes les deux les cheveux teints avec des mèches bleues ou blondes et elles avaient l’air de pin-up excentriques.
Avec le garçon, Lucas, nous nous sommes aussi mis en caleçon. Nous avions tous les deux des tatouages et nos corps jeunes se rapprochaient subrepticement l’un de l’autre. Les filles dansaient, s’embrassaient en riant et se caressaient les seins sous nos yeux. Lucas était plus grand et fort que moi. À côté de lui, je paraissais assez menu. Nous nous sommes regardés. Il m’attirait et son regard en train de me scanner me suggérait que c’était réciproque. « On les imite ? », a-t-il demandé. J’ai dit oui et nous nous sommes embrassés. Sa barbe de quelques jours me grattait le menton et les lèvres. Ses mains puissantes passaient dans mon cou et mes cheveux, m’attrapaient par les hanches pour me coller contre lui. Que je sente sa queue déjà bien dure. J’ai posé ma main dessus et l’ai sortie de son boxer. Elle prenait toute la place dans ma main et j’en éprouvais toute la grandeur et la force en passant les doigts sur sa longueur, sentant les petites veines, la rondeur du gland, la douceur des couilles, la chaleur de la peau. Je me suis agenouillé pour le sucer et goûter à ces détails de plus près. Lucas passait toujours sa main dans mes cheveux pour accompagner ma pipe.
Je le pompais en m’appliquant, je voulais lui donner le plus de plaisir possible. Je léchais aussi ses couilles et toute la surface de son chibre. Pendant ce temps, les filles s’était mises à se caresser. Lucas était très chaud et moi aussi. Il m’a à son tour branlé et sucé. Il était très adroit et appliqué lui aussi, ce qui accentuait mon désir pour lui. La musique nous enveloppait, les gens baisaient tout autour de nous et nous nous enfoncions progressivement dans la luxure. Puis j’ai eu envie de m’occuper de Clara. La copine de Lucas, Marie, l’avait fait s’allonger sur le dos pour se mettre à la lécher. Ma copine avait encore son soutien-gorge en latex et cette image d’elle abandonnée à une femme me faisait énormément bander.
Pendant que Marie la léchait, je suis venu sur son visage pour l’embrasser et caresser sa poitrine sous le latex. Clara a fini par se mettre à quatre pattes pour me gober à son tour, pendant que Marie la doigtait par-derrière. Avec son accord, Lucas est passé derrière elle et a pris la relève des doigts de Marie pour la pénétrer en levrette. Sa bite entrait dans Clara et ma propre queue disparaissait dans sa bouche, étouffant ses gémissements de plaisir, ce qui m’excitait d’autant plus. Clara m’avait toujours dit que se faire prendre en deux endroits la faisait décoller. Elle s’est aussi mise à se masturber pendant l’acte et, l’excitation se mêlant aux caresses, elle a fini par jouir en lâchant mon sexe pour gémir son plaisir.
Nous avons ensuite voulu nous occuper de Marie et nous lui avons réservé les mêmes attentions. Pour finir, elle m’a demandé de me mettre dans la même posture. Je me suis mis à quatre pattes pour pomper Lucas qui était à genoux devant moi, pendant que Marie et Clara me suçaient et me branlaient chacune leur tour. J’étais à la fois l’objet de leurs gentillesses et moi-même dans une position de soumission vis-à-vis de Lucas. J’aimais cette ambiguïté. Le vertige était total, les sensations, démultipliées. Notre quatuor, extatique. J’ai fini par jouir très fort et en abondance, pendant que j’amenais moi-même Lucas à l’éjaculation, son sperme recouvrant mes doigts et éclaboussant mon visage.
Nous avions déjà beaucoup donné et nous avons donc fait une pause pour nous requinquer, avant de nous atteler à d’autres plaisirs pour la suite de la nuit !
(Photo à la une : Getty Images)
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Pour fêter la fin de l’année, elles se lâchent complètement ! Et à minuit c’est partouze générale ! Les étrennes permettent de découvrir que la factrice est une sacrée nymphomane.