Un p’tit dernier avant le mariage !

La rédaction 3 novembre 2024

Rania, 38 ans de Corse est sur le point de se marier. Mais avant de faire le grand saut, elle décide de se taper le photographe du mariage.

Je vais vous raconter la nuit qui a précédé mon mariage et qui l’histoire de sexe amateur qui était carrément inattendue. Je suis marocaine et je devais me marier le lendemain avec mon futur époux, Ali.

Un dernier rendez-vous avant le mariage

Je dormais chez ma sœur, avant de le retrouver sur le lieu des festivités le jour-J. Mais il me restait encore un dernier rendez-vous avec le photographe du mariage pour le briefer sur la journée. J’étais super en retard sur mon planning, je lui ai donc demandé de passer chez ma sœur, qui m’avait laissé son studio pour être tranquille la veille de notre interstron.ru. Le photographe, Abdou, un Marocain comme moi, était vraiment charmant, je l’avais déjà remarqué. Mon état de stress en vue de la journée du lendemain était tel que lorsqu’il est entré, j’ai juste eu irrésistiblement envie de me détendre avec lui pour relâcher la pression.

Je l’ai invité à s’asseoir dans le salon et j’ai ouvert deux bières. Il m’a donné son book de photos avec des inspirations pour me montrer ce qu’il faisait et que je puisse lui préciser ce que je désirais. Cela peut paraître tardif, comme timing, mais c’était un ami d’ami qui nous faisait un prix et de toute façon, je n’avais pas d’autre plan de photographe. Je me suis mise à l’aise devant lui. Je portais un kimono de soie avec une nuisette en dessous. J’étais jambes nues, comme si je me trouvais avec une copine. J’ai allumé une cigarette. Je pense que ma familiarité l’a un peu surpris, mais il était cool et courtois.

J’ai apprécié son attitude et nous avons discuté, tout en buvant nos bières. Je lui ai confié mes angoisses sur les noces, et sur le mariage en général. Allais-je m’enfermer dans quelque chose de conventionnel ? Il était très chou et m’écoutait attentivement. J’ai fini par enfiler ma robe blanche pour la lui montrer et il a sifflé d’admiration, prenant déjà quelques photos. À mesure que l’heure tournait et que je me sentais de plus en plus intime avec lui, j’ai eu envie de lâcher prise à ses côtés, de faire ce truc super cliché qui n’arrive que dans les séries : me taper un mec lambda la veille du plus grand engagement de ma vie auprès d’un homme…

Aventure avant le grand saut

En riant, je lui ai avoué que je n’étais pas ravie à l’idée de me dire qu’en théorie, je signerai demain un contrat pour ne plus jamais coucher qu’avec un seul homme. « Tu n’as pas encore dit oui… » a-t-il suggéré. Il devenait clair que nous allions tous les deux nous laisser aller à ce péché de chair égoïste et stupide… J’ai retiré ma magnifique robe blanche devant lui. Elle est tombée sur mes chevilles. J’étais complètement nue en dessous. J’ai vu dans son regard qu’il était ébloui : avec mes cheveux lissés teints en blond vénitien, mon corps mince et mes seins lourds que m’envient beaucoup de femmes, je me savais difficile à éconduire.

Avec lui, je me suis tout de suite sentie femelle, plutôt que femme rangée prête à s’engager. Peut-être que c’était simplement un dernier sursaut de liberté avant le grand saut dans le vide du mariage… J’étais entièrement nue, son regard sur moi. J’avais envie de faire du sexe bestial avec lui, de vraiment relâcher la pression. Je me suis mise à quatre pattes sur le lit. Ma peau nacrée était entièrement dévoilée et mes longs cheveux coulaient sur mes épaules. Il s’est assis sur le lit. Je l’ai aidé à se mettre à poil et je me suis mise à le sucer entre ses jambes écartées. Le flash a crépité. Je me sentais comme une déesse de la pipe, à le faire coulisser entre mes lèvres.

J’ai senti son sexe tressaillir de plaisir, presque sur le point de juter sur ma langue avide de lui. Il est resté allongé et moi, je me suis mise en petit chien entre ses jambes, dos à lui, cul contre sa bite. Il a pu me prendre, tout en restant étendu, de sorte qu’il pouvait voir mes orifices grands ouverts sous ses yeux, ma chatte remplie par sa bite. Dans un autre contexte, j’aurais trouvé ça obscène, mais là, ça me paraissait le moment le plus torride de ma vie. Sa queue glissait en moi comme elle l’avait fait dans ma bouche l’instant d’avant. J’étais, pour un moment encore, cette fille libre de jouir de son corps et de sa liberté, la liberté de me servir du corps et du regard d’un inconnu pour mon plaisir et ce, quels que soient mes engagements.

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