Le cadeau de mon prof

La rédaction 20 octobre 2024

Une jeune étudiante partage un récit porno cochon qu’elle a partagé avec son prof de philo. Cette coquine parvient à l’attirer chez lui et reçoit un cadeau.

Je m’appelle Lily, j’ai 19 ans et j’aimerais partager l’histoire porno qui m’a permis de donner une leçon à mon prof.

Un prof sexy

J’ai découvert le magazine grâce à mon frère, qui n’est pas très doué pour cacher ses affaires. Depuis, j’ai déménagé à Lille pour mes études de philo et j’achète le magazine rien que pour moi. La fac, c’est difficile. Mais les cours d’un prof en particulier me motivent… Il s’appelle Monsieur S. Il a la quarantaine et je le trouve très attirant. Il a les cheveux noirs bouclés, porte des lunettes rondes métallisées et n’est pas très grand. C’est son air sévère et son intelligence qui m’attirent. Je trouve ça sexy ! Vers la fin du premier semestre, après les cours, je suis allée voir Monsieur S. plusieurs fois pour lui demander des conseils de méthodo. Mais je devais toujours lui rappeler mon prénom. Par contre, il se souvenait très bien des filles plus canon que moi, celles qui s’habillent sexy et font genre de s’intéresser à la philo.

Début décembre, j’étais au premier rang de l’amphi et j’ai vu l’écran du smartphone de Monsieur S. Il était sur une appli de rencontres. Le soir, je me suis créée un profil et je me suis géolocalisée pas loin de la fac. J’ai pris plusieurs selfies, très maquillée et en tenue sexy que j’ai postés sur mon profil. Ça a été long pour qu’il like mon profil, au moins deux semaines. C’était presque les vacances quand j’ai reçu la notification. J’ai écrit direct à Monsieur S. sur le chat, avec le cœur qui battait fort. J’ai vite compris qu’il ne m’avait pas reconnue. On a discuté plusieurs jours de suite. Il m’a dit qu’il était prof de philo (LOL, comme si je ne le savais pas !) et moi, j’ai fait semblant de ne rien y connaître. Au bout d’un moment, Monsieur S. m’a demandé de lui envoyer des nudes. J’ai accepté, toute excitée. Mon prof allait se branler sur mes photos, sans savoir que j’étais son élève.

Deux jours avant les vacances de Noël, Monsieur S m’a proposé qu’on se voit, mais dans mon appart’. J’en ai déduit qu’il vivait en couple. Mais j’avais trop envie de lui, alors j’ai dit oui. J’avais classe avec lui le lendemain, quelques heures avant notre rendez-vous. J’ai mouillé pendant tout le cours en l’écoutant parler ! Avant de quitter l’amphi, j’ai dit à Monsieur S. : « Bonnes vacances, profitez bien ». Il a juste poussé un grognement sans lever les yeux vers moi. Ça m’a motivée encore plus à le séduire ! Le soir, j’étais prête. La peau toute douce, make-upée et en total-look lingerie sexy. Jamais je ne m’étais sentie aussi femme ! Mon professeur a sonné, j’ai ouvert. Il avait amené un bouquet de fleurs. Je lui ai dit d’entrer et de se mettre à l’aise.

Un habitué de l’adultère

Il n’avait pas l’air gêné, comme si la situation était normale pour lui. J’étais juste une femme parmi toutes celles avec qui il couchait en cachette. Je me suis sentie un peu salope, si vous voyez ce que je veux dire… Je suis allée dans la kitchenette poser les fleurs et j’ai entendu Monsieur S. me parler depuis ma chambre-salon : « J’adore ta tenue ! Tu es encore plus attirante qu’en photos. ». Je lui plaisais tellement que quand je l’ai rejoint, il était déjà sur le lit, en chemise en caleçon. J’ai pris une pause sexy et il a plissé les yeux : « J’ai l’impression de te connaître… Tu suis mes cours, non ?? » Comme réponse, j’ai juste baissé ma culotte fissa, avant qu’il ne réagisse. Monsieur S. était choqué, la bouche ouverte. C’était interdit de coucher avec une élève et il flippait… Mais il avait aussi une belle bosse dans son caleçon ! J’ai attrapé son téléphone sur la table de nuit et je lui ai tendu. D’une voix sensuelle, j’ai dit : « Je vous laisse prendre les photos, Professeur… »

Il a ouvert la bouche encore plus grande pendant que je m’installais en mode chaudasse. J’ai d’abord montré mon petit fion, puis je me suis caressée et j’ai écarté ma chatoune bien lisse. D’une main, Monsieur S. s’est mis à prendre des photos et de l’autre, il s’est caressé à travers son caleçon. Il poussait des grognements à chaque fois que je changeais de posture. La situation était encore plus excitante que dans ma tête. Mon prof a fini par avoir envie de me goûter… Il s’est déshabillé et s’est mis à me vouvoyer comme en classe. Ça m’a rendue complètement dingue. « Mademoiselle, il me semble que nous avions parlé de fellation, dans nos messages… Il serait temps de vous mettre au travail », a-t-il ordonné. Je me suis agenouillée et j’ai attrapé sa queue. Elle était bien plus large que celle de mon ex ! Je l’ai prise en bouche comme j’avais vu dans des films X. Je n’avais jamais sucé la lumière allumée, ni pendant qu’on me photographiait !

Monsieur S. m’a guidée, toujours en me vouvoyant : « Hum, Mademoiselle, serrez plus fort la main. Voilà, tétez le bout, doucement… » Je mouillais tellement, c’était dingue ! La fellation a duré si longtemps que j’ai fini par avoir mal à la mâchoire. Dommage que mon prof n’ait fait qu’une seule photo pendant ce temps, parce que c’est ce que j’ai préféré. J’ai moins aimé quand il m’a prise en levrette, parce que je suis plus habituée au missionnaire.  On l’a aussi fait en mode “normale” et puis je me suis fait jouir en me masturbant. J’ai dit à Monsieur S. que j’étais sous pilule, mais il a quand même préféré se terminer sur les draps, en me demandant de le regarder et de me toucher… Dans la nuit, il m’a envoyé les photos qu’il avait prises et m’a souhaité joyeux Noël. Lui, il m’avait déjà offert mon cadeau 🙂

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