Je veux que personne ne se sente baisé !
31 janvier 2025C’est ainsi que mon boss a fini son speech de fin d’année, lapsus rectifié immédiatement, le rose aux joues « Je veux que personne ne se sente lésé ! », mais trop tard, le mal était fait, sa phrase a fait les gorges chaudes toute la soirée. Voici mon histoire de sexe amateur.
Cinq fois plus de plaisir
Naomi, son assistante, était alors entre mes bras pour un rock sportif, sa rousseur et son petit cul m’émoustillaient au plus haut point, mais Jacques, Guillaume et Philippe avaient déjà des vues sur elle. Le ton est grimpé entre ces trois-là et moi, la belle rouquine nous a interrompus « on n’a qu’à monter tous les cinq, on s’amusera quatre fois plus ! » Ni une, ni deux, nous étions tous à poil quelques minutes plus tard dans sa chambre, son corps somptueux avec ses deux petits seins fondants exposés à nos regards incrédules.
Chacun s’est astiqué la nouille pour faire s’envoler les dernières vapeurs d’alcool et réussir à bander, les trois queues se sont finalement résolues à se mettre au garde-à-vous, et Naomi a fini de nous faire durcir en nous prenant en bouche chacun notre tour. À genoux sur la moquette de cette chambre d’hôtel impersonnelle, une tige entre les lèvres, deux autres dans les mains, elle nous a régalé à tour de rôle, Jacques s’est même enroulé le pénis avec les cheveux cuivrés et s’est masturbé avec, une mèche serrée autour de la hampe en ersatz de cockring !
Naomi a demandé si quelqu’un avait son portable pour prendre quelques photos, j’ai officié comme j’ai pu tout en profitant de ses caresses et de la pipe qui était en cours sur ma bite. Sa petite tête allait et venait, elle avait conservé ses lunettes, ce qui lui donnait un air encore plus cochon, genre secrétaire dans les films pornos. Son corps très mince et sans un poil s’est ensuite offert à nous, allongé sur le grand lit, comme mis à notre disposition.
Prise dans tous les sens
Jacques a opté pour un missionnaire, sa silhouette sèche baisant la jolie rousse avec une conviction touchante, elle a joui sous ses assauts une première fois avant que Guillaume prenne le relais. Lui a tenu à posséder Naomi en levrette, cette dernière, très coopérative, s’est installée à quatre pattes et a ouvert son petit cul, elle s’est penchée en avant, Philippe a juste eu le temps de se glisser sous elle pour continuer de se faire sucer. Second orgasme pour notre secrétaire de direction adorée, la chatte et la bouche pleine des queues généreuses de ses deux amants du moment.
Lorsque mon tour est arrivé, j’ai insisté pour lécher la demoiselle, sa cramouille était chaude et juteuse après les coups de boutoir qu’elle avait encaissée, j’ai joué avec le clitoris tout en doigtant le vagin béant, les secousses de la frêle silhouette m’ont bientôt indiqué que le plaisir était au rendez-vous, c’est Naomi qui a pris les rênes pour la suite, m’invitant à m’allonger pour me chevaucher, ma verge profondément plantée en elle, deux de nos amis de chaque côté en train de sa branler tout en nous regardant baiser comme des beaux diables !
Infatigable, notre reine d’un soir nous a ainsi fait tourner, pendant que l’un prenait des photos, un ou plusieurs autres se faisaient sucer, fourrait son pieu dans l’orifice brûlant et lubrifié, tripotait les seinsminiatures aux tétons sensibles, les pincer, en particulier, émoustillait Naomi au point qu’elle poussait de petits cris et nous montrait sa fente qui dégoulinait de mouille ! Comment un corps si frêle pouvait encaisser autant tout en étant à ce point généreux en production de cyprine ? Mystère !
Mais la nuit a été longue et très sexuelle, nous nous sommes relayés sous la douche afin de nous rafraîchir, mais cela n’était que pour mieux repartir dans la mêlée. Notre rouquine semblait infatigable, son amour pour la bite dépassait l’entendement, elle voulait nous sucer encore et encore, offrait son entrejambe aussitôt qu’elle sentait que l’un de nous désirait la posséder, ouvrait ses cuisses et se caressait pour nous exciter, nous reprenait de nouveau en bouche dès qu’une débandade s’annonçait.
Lorsqu’elle nous a demandé de faire cercle autour d’elle, accroupie au sol, nous avons assisté au bouquet final. Elle s’est occupée des quatre manches en même temps, masturbant, pompant chaque pénis à un rythme effréné jusqu’aux premiers gémissements de reddition de l’un d’entre nous. Elle nous a ordonné de nous retenir afin de nous avaler tous, l’un après l’autre nous avons donc craché nos foutres dans sa bouche, elle a attendu que nous étions tous les quatre éjaculé en elle et s’est relevée gracieusement pour déglutir, entourée de nos bras aimants.
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