Service informa-trique !

La rédaction 30 janvier 2025

Je travaille au sein d’un établissement financier, je n’ai pas le droit d’en dire plus. Nous y sommes évidemment totalement dépendants de l’informatique et lorsque les systèmes plantent, n’avons d’autre choix que d’appeler le service adéquat. Johan en est le responsable et a toujours eu un faible pour moi, autant dire que ce n’était pas réciproque. Sûr de lui, imbu de sa personne, fier de jouer les sauveurs, toujours une blague limite au bord des lèvres, tout ce que je déteste. Qu’est-ce qui, ce jour-là, a fait pencher la balance, aucune idée, il est arrivé presque timide, m’a fait rire à gorge déployée et a remis ma machine en fonction en trois clics de souris ! Voici mon histoire de sexe amateur.

Sacré doigté et fellation

Quand il m’a demandé ce que je faisais le soir-même, j’ai répondu la vérité, rien, et j’ai accepté son invitation à dîner. Peu importe le menu et le vin que nous avons bu, une demi-heure après notre départ du resto, nous étions chez moi, je n’avais même pas dénoué mon body que j’avais déjà sa queue dans ma bouche. Il bandait depuis le trajet en voiture pendant lequel il n’avait pas arrêté de me peloter les nichons et de poser ma main sur la bosse de son jean. Lorsqu’il a sorti son téléphone et qu’i a commencé à me prendre en photo, j’aurais dû réagir, mais je ne voulais pas gâcher l’instant et sa bite était trop bonne dans ma bouche pleine de salive et de son pré-sperme salé ! Après cette pipe en règle dans toutes les positions imaginables, nous avons enfin fini de nous déshabiller et c’est donc entièrement nus que nous avons poursuivi nos ébats.

J’ai repris sa bite en bouche, elle était pile de taille que j’aime, ni trop petite, ni trop grosse, avec un gland élégant et une courbure prometteuse, j’ai effleuré ses burnes rasées et me suis enivrée de son liquide séminal qui me coulait au fond de la gorge. Lui prenait toujours plein de photos et des petits films, il ne s’est arrêté que pour venir me bouffer la chatte et me doigter divinement. Je ne sais pas si c’est un truc d’informaticien ou de gamer (sans doute les instrumentistes genre violon ou piano peut-être ?), mais ces « geeks » comme on les appelle, ont une dextérité diabolique ! Ils arrivent à faire vibrer leurs phalanges comme si leurs doigts étaient des sextoys !

Johan a tout osé, fréquence élevée sur mon clitoris sensible, pressions contrôlées à l’intérieur de mon vagin, va-et-vient profond dans mon petit trou, je n’ai même pas senti mon premier orgasme venir, il s’est imposé à moi. Une seconde avant je respirais normalement, me concentrant sur les différentes sensation, celle d’après, je jappais comme un chien fou, mon vagin et tout mon bas-ventreprisonnier de contractions et d’une fulgurance de plaisir sexuel ! Même mon anus m’avait offert quelque chose que je croyais interdit et hors de portée.

Une partie orgasmique

Sans m’y attendre, la langue de Yohan a repris son chemin, corolle de l’anus, pétales lippus de mes nymphes encore gorgées de mon explosion sensorielle, elle me forait le petit trou, remontait en divagations érotiques le long de mon sillon pour venir recueillir ma perle de rosée entre ses lèvres, et je me suis faite surprendre pour la seconde fois en quelques secondes, le temps qu’il m’encule de deux ou trois doigts et mon corps ne m’appartenait plus une fois de plus !

Enfin, il a daigné me posséder, d’abord en missionnaire, une jambe très relevée, ma cheville au creux de la paume de sa main, sa bite me perforant aussi loin qu’elle le pouvait. J’ai adoré ses regards cochons et crus sur mon intimité qu’il fouillait à grands coups de reins. Il avait les yeux exorbités, il a tout de même eu la présence d’esprit d’aller poser son téléphone sur ma commode et d’en programmer le retardateur pour nous photographier dans cette position digne d’un film porno !

Enfin, reprenant son smartphone, il m’a baisée en levrette, me faisant jouir encore deux fois, dont une avec son pouce enfoncé loin dans mon rectums serré. C’est son côté très vicieux mais totalement assumé qui m’a le plus séduite je crois, ce type puait l’orgueil et l’autosatisfaction, mais en même temps, ma chatte, mes nichons et mon cul avaient, à ses yeux, le même parfum que le plus beau cadeau de Noël qu’il ait jamais reçu. J’étais donc assez sûre de moi lorsque je lui ai proposé de finir en apothéose et de me juter sur le visage et dans la bouche.

Il s’est directement levé et c’est debout contre le sommier, ma tête pile sous ses couilles qu’il s’est vidé sur moi. J’ai décalotté à mort son gland et lui ai distendu le méat, une , deux, trois, quatre seconde, la cinquième fut la bonne et une cascade de foutre m’a souillé le visage et les cheveux, j’ai avalé tout le sperme que j’ai pu au passage !

A lire aussi :

Mon amant ce sacré coup !

Les camionneurs sont sympas

Orgie prénuptiale

À propos de l’auteur

La rédaction


Réagir à cet article

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

interstron.ru