MisseDrunkinlove : les défis « t’es cap ou pas cap ? »
18 septembre 2025
Ce pseudonyme vous dit sans doute quelque chose. En effet, MissDrunkilove apparait pour la seconde fois dans les pages de notre magazine. Dans un article précédent, cette jeune Suissesse qui vit en Genève et travaille dans le domaine social nous avait dressé le portrait de son « amant idéal ». Aujourd’hui, elle a accepté de nous parler du Cap d’Agde. La découverte de ce lieu et ce qu’il représente aujourd’hui pour elle et son mari. Une chose est certaine, le Cap est devenu une destination incontournable et qui n’a pas d’égal pour qu’elle puisse y réaliser certains de ses désirs sexuels.
Votre première venue au Cap ?
C’était en juillet 2019. J’étais tout à fait débutante en matière de libertinage. Quant au Cap, j’en avais entendu parler très souvent. Poussés par la curiosité, nous avons décidé, avec mon mari, d’aller découvrir ce lieu de légende et ce soi-disant paradis pour les libertins. Nous sommes arrivés comme des explorateurs, attirés par les endroits les plus mythiques : la baie des Cochons, le Glamour, le Waiki, le Paralia, etc.
Vos premières impressions ?
Pour ma part, je ne me suis pas sentie très à l’aise entre la nudité, les scènes de sexe dans certains lieux contrairement à mon mari qui, lui, s’est tout de suite senti comme un poisson dans l’eau. Par contre j’ai apprécié le côté liberté sans aucun jugement et le fait qu’on se retrouve, une fois nue, tous égaux. Tous les niveaux socioculturels se mélangent, les discussions sont très ouvertes, le côté humain et relationnel est beaucoup plus facile que dans votre vie de tous les jours. Les liens amicaux se tissent très facilement.
Et depuis, vous y revenez chaque année ?
Absolument ! Une fois ces sentiments de gène dépassé, le Cap est un lieu extraordinaire où on peut vivre absolument tous ses fantasmes sexuels, ouvertement tout en pouvant les partager avec d’autres personnes. On se sent complètement libre de faire certaines folies qui seraient impossibles à réaliser ailleurs qu’au Cap.
100% Cap, donc ! Aucun point négatif ?
Il y en a toujours… Les prix des locations par exemple avec des tarifs parfois exorbitants. Beaucoup d’hommes seuls dans certains établissements et qui n’ont pas vraiment l’esprit libertin. La première fois, nous y étions plus en mode découverte. On a fait quelques rencontres. Mais les années suivantes ont été bien plus chaudes ! Nous avons compris que le Cap se vit plus intensément dans le privé : lors de soirées organisées avec plus ou moins de monde ou en comité très restreint. J’ai pu ainsi organiser plusieurs gang-bang, participer à de belle pluralité mais aussi faire des journées « délires » avec des amies rencontrées sur place et participer à des défis sexuels « Cap ou pas Cap ».
Le plaisir aussi de porter des tenues très sexy ?
La première année, je ne savais pas à quoi m’attendre donc on va dire que j’étais un peu sage. Il est vrai que les tenues du soir sont ravissantes et maintenant, j’ai toujours plaisir à porter des tenues séduisantes pour plaire et séduire au maximum.
Vous y revenez donc chaque été ?
Absolument ! Et chaque année, c’est le plaisir de retrouver des copines qui aiment participer à mes petits délires sexuels. On joue beaucoup, on se lance des défis : Cap ou pas Cap ? C’est suite à l’un d’eux, par exemple, que je me suis fait tatouer un As de Pique au salon du tatouage du Cap.
En 2025, donc, on vous retrouvera au Cap ?
Bien entendu ! Et pour y vivre tous mes désirs de trio, pluralité, gang-bang, sans oublier les jeux avec mon mari orientés sur le candaulisme.
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