Journées porte ouverte
13 septembre 2025Victoire, 28 ans, Centre-Loire
La lingerie fine, coquine, sexy, quelle arme de séduction massive ! Je l’ai compris très jeune et, même en vacances, je ne me départis jamais de quelques ensembles fétiches, dont celui que je porte sur nombre de mes photos, opportunément ouvert sur les zones érogènes de mon anatomie. Voici mon histoire de sexe amateur.
Des photos et une modèle exhibitionniste
L’été dernier, je l’ai arboré non-stop, ce qui a mis Louis, dans tous ses états. Et quand il a saisi que j’étais très exhibitionniste et fan de clichés coquins, là, je ne le tenais plus. J’aime la baise, j’ai été servie ! La saison chaude est une période où ma libido s’envole, les planètes se sont alignées, tout comme nos sexes, il avait tout le temps envie de moi ! Je n’avais qu’à apparaître dans ma tenue sexy et le gourdin de Louis gonflait et se dressait à vue d’œil. Il a été ravi de jouer au photographe et au modèle avec moi. Toujours à moitié à poil, je m’amusais à prendre des poses suggestives, voire carrément pornos ! Cuisses largement écartées, fente bien ouverte, je m’exposais sans retenue, lui montrant ma chatte mouillée de désir, mon petit trou palpitant et mes seins fermes soumis à une forte tension érotique.
Le shooting tournait court systématiquement, bien évidemment, quoiqu’il nous arrivât de parvenir à nous contrôler un minimum et de réussir à saisir quelques instants très chauds entre fellation et pénétration. J’ai énormément de mal à poser sans me caresser, la suite logique est que j’ai également beaucoup de difficultés, une fois que je me touche, à résister à l’appel de la bite ! Après m’avoir prise sous tous les angles, j’attirais donc à ma bouche l’objet de ma convoitise. Le gland perlait déjà de sucs salés dont je me délectais avant d’aller plus bas et de gober les couilles ou de perdre ma langue jusqu’à l’étoile cachée entre ses fesses.
La feuille de rose avait le don de le faire bander encore plus dur et l’ambroisie qui coulait de son chibre était toujours plus abondante. Ensuite, j’avais systématiquement le droit, moi aussi, aux délices de ses jeux de langue ! Quel summum que ses cunnilingus et ses anulingus. Louis me fouillait partout, mettait ses doigts à contribution en les enfilant dans mes deux orifices ouverts et désormais trempés. Le reste allait de soi, avec ou sans mon ensemble idéalement convivial, mes secrets totalement accessibles, je n’avais plus qu’à me laisser culbuter dans la position qui plaisait à monsieur.
Un maître de la pénétration
Dilemme pour Louis qui avait tout autant envie de me prendre en levrette qu’en missionnaire, hésitant entre le plaisir de reluquer mon fessier mobile ou mes seins dont il était fou. Mignon à mourir, lorsque nous étions en mode face à face, il fondait en me baisant lentement tout en me répétant à l’envi à quel point il me trouvait belle à crever. C’est vrai qu’avec mon visage de poupée, je fais tourner bien des têtes, mais revenons-en à mon cul, voulez-vous ? Il était, après les douceurs buccales, pris d’assaut, par devant, par derrière, la queue de Louis, idéale pour tous les types de pénétrations, se logeait, selon son désir, dans mon con douillet ou mon petit trou serré avec un art consommé de la sodomie, un maître « Es enculage » !
Son gland toujours submergé de présperme n’avait besoin d’aucun lubrifiant pour se frayer un chemin dans mon anus. Mon œillet, souple, acceptait l’intrusion avec complicité. Je m’ouvrais, me détendais et, lorsqu’il me sentait prête, il lançait les mouvements de balancier, tripotant mes nichons ou mon clito pour me faire jouir en moins de temps qu’il ne faut pour le dire. Son chibre, délicieusement épais, me dilatait la rondelle et me fouillait le plus profondément possible jusqu’à ce que je crie et me débatte, en proie à un orgasme qui me laissait hypersensible de partout, au point qu’il ne pouvait plus me toucher pendant quelques minutes. Il m’a portée aux nues des dizaines et des dizaines de fois, me limant la chatte, me broutant le minou ou simplement en me masturbant, parfois même en plein milieu d’un repas au restaurant. Il était aussi doué de ses doigts que du reste, il m’a offert un des plus gros orgasmes de ma vie aux toilettes d’un bel établissement de bord de mer en me fourrant avec … une bouteille d’eau minérale en verre ! Un pied terrible suivi d’un fou rire mémorable lorsque nous avons aperçu ma mouille au fond de ladite bouteille !
Lui aussi a beaucoup joui, en moi, sur moi, dans ma bouche, sa queue était un véritable réservoir à foutre, des éjaculations comme je n’en avais jamais vu auparavant, il me couvrait littéralement de sperme ! Tant mieux, il paraît que c’est bon pour la peau !
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