Ma boss fantasmait sur moi !
23 mai 2020Arnaud, 35 ans.
Chers lecteurs, croyez-moi, je suis quelqu’un d’assez simple. Je travaille depuis 10 ans maintenant dans une grande entreprise spécialisée dans la grande distribution, dans la partie commerciale. Je passe mes journées principalement derrière mon écran, et parfois, il m’arrive d’avoir quelques rendez-vous avec des clients, souvent en province. Mais mon travail ne m’oblige pas à les rencontrer souvent, je n’ai que la première approche à faire, puis je passe le flambeau à quelqu’un de plus expert sur la partie technique.
Cela faisait près de trois mois que je n’avais pas à rencontrer de nouveau client, je restais cantonné à des relances par mail pour fidéliser nos habitués. On avait une nouvelle chef et depuis son arrivée dans l’entreprise, j’avais l’impression qu’elle ne m’appréciait pas. Ou peut-être même, pour être tout à fait précis, que je l’indifférais vraiment.
Alors j’ai été très étonné quand elle s’est proposée d’office pour partir avec moi près de Lyon pour démarcher un gros poisson. Normalement, je peux très bien m’en sortir tout seul mais elle m’a soutenu qu’elle avait absolument besoin de ça, « pour comprendre les contraintes du terrain ». C’est d’ailleurs peut-être la seule phrase qu’elle a sorti depuis qu’elle était dans la société. Tous mes collègues et moi-même la décrivions comme une personnalité très froide, accro à son travail, extrêmement performante.
Autant vous dire que je ne me réjouissais pas du tout à l’avance de ce voyage. En particulier parce qu’il avait lieu dans ma propre voiture, je me faisais rembourser les frais kilométriques, mais je n’avais aucune envie que Sophie (c’était son prénom) ne rentre dans cette partie de mon intimité. Au final, une fois arrivée dans la voiture, j’avais l’impression d’avoir à faire à quelqu’un de complètement différent. Elle était souriante, polie, très humble. Pas du tout l’espèce de machine de guerre que l’on voyait marcher d’un pas ferme dans les couloirs du bureau. Elle avait ramené un CD d’un groupe qu’elle aimait bien pour que l’on écoute ensemble. J’ai trouvé ça à la fois bizarre, et à la fois c’était vraiment sympa de sa part. C’était un groupe londonien pas très connu, avec une tendance électro. J’ai trouvé ça cool.
Et puis au bout d’un moment, alors que nous venions de passer le péage de l’autoroute A6, elle m’a avoué que je l’obsédais et qu’elle n’osait pas me parler. Je l’intimidais carrément.
Elle n’en donnait pourtant pas du tout l’impression. Elle s’excusait en même temps, s’imaginant qu’elle venait de commettre une faute professionnelle en m’avouant ce terrible secret. Je me suis arrêté à la première aire de repos, et je l’ai embrassée dans la voiture. Je m’en voulais un peu car je sortais à l’époque avec une fille, que je voyais de temps en temps. Mais je ne pouvais pas passer à côté de ma boss. Celle qui était le centre de l’attention de tout le monde et qui était devenu le sujet de toutes les conversations dans la bouche de mes collègues. Et peut-être que j’ai mis du temps à me l’avouer ; mais elle m’obsédait elle aussi.
Nous avons attendu d’arriver à l’hôtel où deux chambres nous étaient réservées par l’entreprise et nous avons passé la nuit ensemble. Dans les bras l’un de l’autre. Elle avait enfilé un petit ensemble de lingerie sexy rouge et noir, avec un peu de dentelle. Elle avait donc clairement prémédité son coup et était sûre d’arriver à ses fins. Les femmes peuvent parfois être bien plus calculatrices que les hommes. Elle m’a d’abord sucé avant que je la pénètre, en prenant bien soin d’humidifier correctement le gland, pour que ça glisse bien. Elle savait y faire. Quand je l’ai pris en missionnaire, j’ai complètement été bluffé par son lâcher-prise ! Elle hurlait dans tous les sens, et tordait son visage dans des grimaces de bonheur.
Avec elle, j’étais aux anges, même si je savais que la relation ne durerait pas. Une fois arrivé à Paris, nous sommes rentrés à nouveau chacun dans nos rôles respectifs, elle de supérieure, moi de simple employé.
Mais cette nuit a été pour moi un vrai feu d’artifice. La boule de bowling dans ma vie simple et bien rangée.
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« J’ai poussé encore plus loin, je grossissais toujours et je l’imaginais trempée. Je n’en pouvais plus. Je l’ai retournée contre mon bureau, je lui ai baissé ses collants et elle m’a tendu son joli cul de princesse. J’avais tellement envie de la défoncer à ma façon que je n’ai pas réfléchi, j’ai étalé sa mouille sur son petit trou et je suis entré d’un seul coup. » Didier, 43 ans.