Queues et coloc’

La rédaction 19 novembre 2021

Je m’appelle Stan, je suis d’origine anglaise mais je vis à Paris depuis plusieurs années. Je suis arrivé à Paris dans le cadre de mon master en architecture avec le programme Erasmus et, bien sûr, je me suis installé au sein d’une collocation étudiante. Il se trouve qu’une entreprise française m’a proposé un travail très rapidement et je me suis donc fixé définitivement dans la capitale. La colocation étant un mode d’hébergement qui me convient fort bien, même en étant devenu salarié j’ai continué à vivre en communauté. Un grand appartement dans le 6ème arrondissement, dont notre petite troupe constituée de Caroline, une grande blonde un peu taciturne mais qui peut être très drôle à ses heures, Elvire, une petite brune portugaise avec qui j’ai couché à quelques reprises, les soirs de teuf où l’alcool fait tomber les barrières, mais je la soupçonne d’être bi, je l’ai vu sortir à deux trois reprises de la chambre de Caroline au petit matin et enfin Jérôme, un beau gosse qui essaye de percer dans le mannequinat.

Deux mecs dans la coloc

Notre équipe tourne bien, il y a des anicroches de temps en temps mais rien de grave, vivre à quatre est une gageure quotidienne mais nous relevons le défis avec brio je dois dire. Tous les vendredis nous avons instauré une soirée « pizzas vide ton sac », le principe est simple, on commande des pizzas, du chianti et on déballe ce qu’on a sur le cœur avec absolution générale après la troisième bouteille du breuvage toscan !

Voilà ! Tout allait bien dans notre petit monde lorsque l’épidémie de Covid s’est abattue sur la France. Les trois semaines à cheval sur février et mars ont été incertaines mais lorsque le confinement général a été prononcé, les filles ont fait leurs valises et sont reparties vivre dans leur famille respective en province tout en continuant à payer leur part de loyer. Nous nous sommes donc retrouvés à deux dans ce grand appart avec Jérôme.

Je dois avouer que ce mec a tout pour lui, il est beau gosse et super facile à vivre. Les journées se sont donc organisées sans mal, une semaine c’est moi qui faisait les courses, la semaine suivante c’était lui. Même rituel pour faire la cuisine, descendre les poubelles ou faire le ménage, on s’est même mis d’accord pour la lessive en se marrant sur le thème «je ne vais pas gâcher mes plus belles années à laver tes slips sales … ».

De mon côté mon job me permet le télétravail, pour Jérôme, en revanche, c’est évidemment plus compliqué. Il garde un contact lointain avec les agences mais pas question d’aller faire un shooting. Son désoeuvrement l’a poussé à se lancer dans des petites vidéos, des Tik Tok et à inonder les réseaux sociaux avec des selfies de plus en plus chauds ! Il est certain que deux célibataires dans la force de l’âge, confinés et privés de partenaires féminines, ça peut vite tourner à la folie testostéronée. Du coup, alors que nous n’étions pas plus proches que ça, on a commencé à parler cul : nos expériences, nos fantasmes, les pornos qu’on regardaient pour se masturber.

J’avoue que nos discussions me chauffaient bien et que mes branlettes le soir venu étaient plus rapides que d’habitude. Une chose en entraînant une autre, nous nous sommes mis à vivre à poil dans l’appartement. C’est Jérôme qui a ouvert le bal, je l’ai retrouvé totalement nu dans la cuisine en train de préparer son petit déjeuner ! Il m’a demandé si cela me gênait mais je lui ai répondu que j’avais fait beaucoup de foot dans ma jeunesse et que j’avais l’habitude de la nudité dans les vestiaires. Le lendemain matin je l’ai imité et j’ai commencé à arpenter les couloirs en tenue d’Adam comme lui.

Evidemment je suis certain qu’il a reluqué ma queue comme j’ai regardé la sienne. On se compare toujours comme des cons entre mecs. Lui est imberbe de partout, il m’a expliqué qu’il s’était fait épilé au laser jusqu’à la raie des fesses, moi j’arbore un triangle brun et je rase mes bourses et les contours de ma hampe, je n’aime pas le côté « petit garçon prépubère » que confère un pubis totalement glabre. Sa bite était longue au repos et son gland était totalement invisible, recouvert par un prépuce très long et pointu. Elle reposait sur des couilles bien symétriques et battait en rythme lorsqu’il marchait ou dansait à poil. Je me suis mis à imaginer gentiment à quoi elle pouvait bien ressembler en érection.

De mon côté, ma queue est plus courte que la sienne lorsqu’elle est flasque, en revanche elle est épaisse et lourde sur mes couilles qui sont souvent assez remontées et bien dures. De fil en aiguille nous nous sommes sentis de plus en plus à l’aise ainsi nu l’un devant l’autre et un soir où nous avions un peu abusé d’un vieux whisky japonais, Jérôme m’a proposé une séance de branlette commune. Je dois être un peu neuneu parce que je n’ai rien vu venir ou alors le sky m’avait plus tapé que ce que je ne pensais.

J’ai accepté la proposition, on a rejoint le salon, on s’est confortablement installé dans le sofa en le protégeant avec des serviettes éponge et on a allumé la télé en sélectionnant une chaîne adulte.

Branlette entre coloc

Nous n’avons pas été long à nous mettre d’accord sur le film (le scénario importe peu dans ces cas-là) et à entrer en érection tous les deux. Les gémissements de deux jeunes femmes en train de se faire sodomiser de concert ont envahit la pièce tandis que nous commencions à nous caresser. De mon côté j’aime empoigner mon sexe à pleine main, j’aime cette sensation de l’entourer comme le ferais un vagin, je le sens lourd et épais dans ma main, je contrôle impeccablement les pressions sur mon frein et le recouvrement total ou partiel de mon gland par mon prépuce.

Jérôme, lui, la tenait avec beaucoup de féminité, du bout des doigts. Trois par en-dessous et son pouce par dessus. Il allait et venait lentement et décalottait son gland en tirant à fond sur son cocon de peau, je voyais saillir son frein brillant à chaque étirement. C’était troublant de regarder l’autre faire, Jérôme ne quittait pas mon pénis des yeux et j’avoue que j’étais fasciné par la grâce de ses mouvements masturbatoires très différents des miens.

Les filles sur l’écran s’étaient lancées dans une image d’Epinal des pornos modernes et l’une d’entre elle sortait la bite du cul de l’autre, la suçait avidement avant que de la remettre au chaud dans le trou béant. C’est là que j’ai senti la main de Jérôme sur ma cuisse. J’ai eu tout en même temps un frisson et un mouvement de répulsion. Je n’étais pas homo, je n’avais jamais eu d’expérience et cela ne m’avait même jamais traversé l’esprit. Mais le contact était chaud, doux, délicat, comme une invitation mais sans s’imposer.

« Tu veux qu’on se branle mutuellement ? Ce sera plus agréable. » m’a lancé Jérôme sans me regarder, les yeux toujours rivés sur les sodomies de plus en plus sauvages. J’ai hésité un instant de trop, sa main chassait déjà la mienne et ses doigts reprenaient leur posture d’instrumentiste sur ma hampe épaisse. Je n’ai plus réfléchis, au point où nous en étions, je pouvais bien toucher une autre verge que la mienne après tout. J’ai appliqué à sa queue le même traitement que j’appliquais à la mienne, de fait, ça n’allait pas. Sa tige était plus fine que la mienne tout en étant un peu plus longue mais, du coup, ma main était trop grande, mes doigts se chevauchaient. Le problème majeur était que, étant à la droite de Jérôme, je devais le masturber avec la main gauche… les droitiers me comprendront sans peine.

La sucette du coloc

Mes gestes étaient, de fait, mal assurés et j’avais peur de lui faire mal. Jérôme a alors opté pour la solution qui s’imposait d’elle-même : il s’est penché vers moi, m’obligeant à dégager mon bras, et sans coup férir a englouti mon membre dans sa bouche ! J’étais pétrifié, jamais je ne me serais imaginé me faire sucer par un mec ! Mais la première stupeur passée, je me suis focalisé sur mes sensations tout en regardant fixement les éjaculations en rafales que les deux actrices prenaient en plein visage.

J’ai connu des partenaires ayant plaisir à dispenser une fellation, certaines suçaient avec beaucoup de plaisir et de science. Là c’était différent, Jérôme avalait ma queue… comme je l’aurais fait si j’avais pu me sucer moi-même. Le rythme était le bon, il ne s’échinait pas à avaler ma tige plus loin qu’il ne le fallait mais ses coups de langue me rendaient fou. Il caressait mes couilles comme je le fais en me masturbant, sans faire rouler les boules comme le font beaucoup de femmes, pensant à tort que tous les mecs aiment ça (je suppose que c’est la même chose pour elles lorsque l’on prend leurs seins pour des boules anti-stress !).

J’ai émis des vagissements qui me semblaient venir d’une autre bouche que la mienne et j’ai attrapé la tignasse de Jérôme comme je le fais avec mes partenaires féminines habituelles. Il a accéléré ses mouvements de tête tout en salivant beaucoup, mes bourses étaient noyées, c’est à ce moment que j’ai senti sa main glisser à l’intérieur de ma cuisse. Il voulait avoir accès à mon anus, mes préjugés hétéros ont sauté définitivement, pourquoi pas me suis-je dit ? Je me suis tortillé pour avancer mon cul au bord du canapé, la serviette m’y a aidé et Jérôme m’a incité, par un geste très doux, à relever les jambes. J’ai senti la fraîcheur de la salive couler sur mon petit trou et un doigt s’est mis à masser l’orée de mon sphincter anal.

Jérôme a fait coulisser mon fruit entre ses lèvres dans un mouvement fluide tandis que son majeur prenait possession de mon anneau serré. Il m’a enculé doucement, exactement au rythme de ses succions. Il libérait ma queue et investissait mon trou du cul, il ressortait son doigt en engloutissait mon pieu.

J’ai crié d’un coup, je n’ai rien vu venir, il n’a pas bougé, j’ai éjaculé avec force et j’ai senti les contractions de sa mâchoire alors qu’il avalait mon sperme, j’ai eu une deuxième décharge de plaisir. Jérôme s’est relevé et s’est penché sur moi ! Il voulait m’embrasser, je n’avais pas envie de… trop tard, sa bouche s’est écrasée contre la mienne, il a ouvert les lèvres, j’ai senti mon lait tiède couler dans ma bouche, il était légèrement sucré, j’ai fermé les yeux et je me suis laissé emporter par le baiser.

Une nouvelle scène débutait sur le petit écran, une blonde à la poitrine délirante suçait un black au phallus monstrueux. Sans m’en rendre compte j’avais de nouveau la queue de Jérôme dans la main, ce dernier s’est allongé dans la canapé en étirant ses jambes, poussant sur son basin, le message était clair… Je me lançais dans la première pipe de ma vie

Jérôme m’initie depuis à bien des plaisirs : au masturbateurs masculins, à retarder mon éjaculation au maximum, au plaisir prostatique, ce soir ce sera notre première expérience de pénétration anale. Bref, de sodomie entre garçon même si je n’arrive pas encore tout à fait à me faire à l’idée…

Promis, je vous réécris si l’expérience me plait !

A LIRE AUSSI :

Soumis au hammam gay

Pipe gay dans les cabinets

Pierre mon plaisir 

À propos de l’auteur

La rédaction


Réagir à cet article

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

interstron.ru