La fille de mon patron

La rédaction 29 décembre 2020

Luc, 44 ans, craque pour la fille de son patron. Il va avoir l’occasion de l’approcher de plus près, un jour où elle déambule dans les couloirs…

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Je suis du genre employé modèle. Je ne fais pas de bruit, pas d’embrouille, pas de caprice. Je travaille dans une entreprise de fabrication de matériaux de construction et j’y ai un poste modeste, une mission d’exécutant. J’ai un seul point faible : je ne peux pas m’empêcher de mater la fille du patron qui me fait bander.

Elle s’appelle Louise et c’est une fille de 20 ans, gracieuse, aux cheveux bruns et longs, avec des traits très beaux. Il lui arrive de passer à l’entreprise et, à chaque fois que je la vois, ça me chavire un peu.

Dans mes rêves les plus fous, je passe ma main dans ses cheveux, elle me regarde de ses grands yeux naïfs et me taille une pipe avec ce regard faussement innocent. Ça me rend complètement fou et j’ai du mal à ne pas rougir quand je croise ce regard dans la vraie vie.

Je suis moi-même un quadragénaire plutôt bel homme, au corps bien sculpté grâce à mon travail qui est assez physique. Un jour, j’ai eu l’impression que son regard s’attardait un peu plus sur moi et que je lui faisais un peu d’effet. Ça m’a fait très plaisir de percevoir sa curiosité.

Je sentais bien qu’elle était dans une phase d’exploration sexuelle et de découverte de sa propre sensualité. Je sentais qu’elle aimait parader parmi les ouvriers et sentir les regards de ces hommes en sueur sur son corps de jeune femme. Les autres ont aussi senti qu’elle commençait à me regarder avec plus d’insistance et ils me charriaient à chaque occasion à ce sujet. Il se trouve que j’ai eu la chance de pouvoir l’approcher de plus près…

J’étais en train de préparer des colis dans une petite pièce isolée de l’entreprise. C’était la fin de la journée et tout le monde était en train de partir. Mon patron est passé dans un couloir, sa fille sur les talons. Elle arrivait de Paris par le train et il devait la ramener en voiture au domicile parental. Mais mon supérieur n’avait pas vraiment terminé son travail et lui a dit de l’attendre, car il en avait encore pour une petite heure.

La fille a donc commencé à faire un tour du hangar, les bras ballants. Son père est parti dans son aile s’enfermer dans son bureau et la belle s’est retrouvée à la hauteur de la pièce où j’étais (je l’observais depuis la porte). Elle a été un peu surprise de me voir, mais m’a adressé un grand sourire qui m’a touché. Elle avait l’air satisfaite de tomber sur moi. J’en ai profité pour lui proposer d’aller prendre un café à la machine, histoire de la distraire un peu.

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On s’est retrouvés dans la petite salle de pause. Et là, j’ai été un peu stupéfait. J’avais vu juste, Louise était en pleine découverte de son pouvoir de séduction et avait envie de le vivre pleinement. « Je vois bien que je vous plais », a-t-elle déclaré en guettant ma réaction. J’ai rougi à nouveau. La scène me paraissait surréaliste. « Vous me plaisez bien aussi », ai-je poursuivi. « Je n’ai jamais embrassé un homme plus âgé… » Elle a dit ça en s’adossant au mur, en faisant la moue.

J’ai pris ça comme une invitation… « On peut remédier à ça », ai-je tenté. Elle a approuvé dans un mouvement du corps qui faisait mine de vouloir recevoir un baiser. J’ai maladroitement posé ma bouche sur elle. C’était comme dans mes rêves, elle avait un goût suave, une vraie douceur sur ses lèvres. Je les ai happées avec gourmandise.

Elle m’a encouragé en m’attrapant dans ses bras et le baiser a été plus appuyé. Nos langues se sont mélangées et j’avais l’impression d’être à nouveau un adolescent de 16 ans à rouler des palots à une belle nana, avec toute la fierté et l’exaltation que cela peut provoquer. Le baiser s’est prolongé, accompagné de caresses. Je sentais ses courbes sous mes mains et elle de son côté, a guidé mes mains sur ses seins.

Je l’ai pelotée avec la même joie et l’émerveillement adolescent dont je viens de parler. Elle s’est tortillée de plaisir et s’est plaquée contre moi. Je sentais ses petits seins pointer et son bassin se presser sur ma queue tendue. Elle a guidé ma main jusqu’à son entrejambe que je me suis mis à frotter.

Elle a un peu gémi à travers les baisers, m’encourageant à glisser ma main dans sa petite culotte. Là, j’ai joué avec son clitoris en frottant, frottant, titillant. Il était tout dur sous ma main. Je trempais de temps à autre un doigt dans sa fente pour l’humidifier et mieux branler son clito avec sa mouille sur la main. Ça glissait, je gardais un bon rythme. J’avais la sensation de ses petites lèvres, de ses poils, de sa mouille, de sa bouche qui tremblait du désir de jouir dans mon cou.

Je la sentais se tendre dans mes bras et c’était la chose la plus excitante au monde. Elle a joui en étouffant son cri dans mon cou, les yeux fermés. Elle m’a remercié, toute essoufflée, et a entrepris à son tour de me branler.

Elle a mouillé sa main de sa salive pour mieux m’astiquer. Je n’ai pas eu besoin de beaucoup, l’avoir vu jouir aurait pu suffire à me donner un orgasme. J’ai éjaculé sur sa jolie main et ça a semblé la réjouir… Louise est ensuite retournée auprès de son père pour rejoindre sa famille… Je me suis bien gardé d’en parler aux autres, mais maintenant, quand elle passe à la boîte, moi seul sais pourquoi elle me regarde avec une telle intensité.

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