Sa queue adorée

La rédaction 15 février 2023

Je m’appelle Laure, j’ai 33 ans et j’aimerais partager une histoire porno. Pour ça je tiens à m’adresser à mon Trésor. Te souviens-tu, de la première fois où tu t’es assis sur le petit canapé rouge ?

Approche langoureuse

Je suis venue m’asseoir sur toi, relevant ma jupe, les genoux de part et d’autre de tes cuisses. Mes mains autour de ton cou, je t’ai embrassé sur les lèvres, les yeux, le front. J’ai glissé ma langue dans ta bouche, j’ai déboutonné ta chemise et j’ai caressé tes poils. Je te donnais des bisous et des petits coups de langue partout. Je ne pouvais pas me rassasier de toi.

Puis, baissant les yeux, j’ai vu ta tige, fière, dressée entre nos ventres. Elle palpitait de désir et moi je frémissais d’envie. Je me suis soulevée légèrement et l’ai prise dans la main pour poser ton gland au bord de ma chatte. Je me suis rassise doucement et, petit à petit, douce et chaude, moelleuse et dure à la fois, elle s’est enfoncée dans mon ventre. Je savais que nous allions jouir rapidement. Nous avions tellement envie l’un de l’autre. Nous en parlions depuis des jours, du matin au soir et du soir au matin. C’était si délicieux. Nous partions enfin à la découverte l’un de l’autre. Au moment où tu as explosé dans ma chatte, j’ai eu un orgasme comme je n’en avais jamais eu.

A partir de ce jour, plus rien n’a été comme avant. Je t’ai donné mon corps mais aussi un morceau de mon coeur, même si je ne le savais pas encore. Au bureau, chaque instant était un prétexte pour nous toucher, nous caresser, nous baiser. Je venais dans ton bureau te donner un bonbon, debout à côté de toi. Ta main sous ma jupe, dans ma culotte, tu prenais le bonbon que j’avais glissé entre les lèvres de mon abricot. Tu le portais à ta bouche en suçant tes doigts avec délice. Dès que tu étais tout seul, j’adorais venir m’asseoir à califourchon sur ta cuisse, avec ou sans culotte, me frotter le clitoris sur ton pantalon rugueux, jusqu’à ce que jouissance s’ensuive. J’abandonnais parfois des traces humides sur le tissu.

Lorsque tu étais à côté de moi pour me dicter une lettre, j’écrivais d’une main et je me branlais de l’autre. Toi, tu glissais ta main à la place de la mienne pour enfoncer un doigt au plus profond de ma chatte. Tu le retirais et puis tu le suçais en me regardant avec des yeux brillants et coquins. Quand tu passais derrière moi pour déposer un baiser dans mon cou, c’était un courant électrique qui me traversait le corps.

Le plaisir de la baise

Un soir, alors que tu étais resté seul au bureau, tu t’es installé à ma place et, me téléphonant, moi me caressant allongée sur le lit, tu t’es branlé et tu as fini par décharger tout ton foutre sur mon clavier d’ordinateur. Le matin, j’ai pris de ta crème séchée avec mon doigt pour la goûter avant de nettoyer.

J’adorais aussi mettre ma culotte dans ta poche le matin. Tu me la rendais avant de partir le soir, pleine de sperme parce que tu t’étais branlé dedans. La journée, je me caressais dès que je pouvais et je t’excitais à chaque fois que tu rentrais. Je me caressais le clitoris, ta tige des merveilles à la main, faisant monter et descendre la peau sur ton gland. J’aime quand tu me baises. J’adore quand tu me fais l’amour. J’aime te sucer, avoir ton gland, ta queue dans ma bouche. Elle est si douce, si aphrodisiaque. J’aime jouir en me caressant et te suçant. J’ai des frissons de désir et de plaisir rien qu’en l’écrivant.

Il n’y a pas longtemps, tu m’as baisée avec une courgette (nous avions déjà essayé la banane…). Je t’ai enfoncé pour la première fois un de mes jouets dans le petit trou. Tu avais l’air d’aimer ça. J’ai remouillé un peu plus et j’ai remplacé mes doigts par le jouet. Puis, tu t’es branlé quelques instants seulement et tu as déchargé sur mon visage et dans ma bouche. J’aime ton sperme sur ma langue, son goût qui reste si longtemps avec moi après ton départ.

Il y a quelques semaines, un jour où j’avais mes règles, tu m’as regardée d’un air canaille en me disant « on a qu’une solution. Je savais ce que tu voulais dire et je l’attendais de tout mon corps. Ça voulait dire que tu allais me sodomiser. Je salivais. Je mouillais en pensant à ta langue qui allait préparer mon petit trou pour que ton gland trouve son chemin. À genoux, les fesses en l’air, les bras allongés sur le fauteuil, toi derrière moi, la bite à la main et forçant petit à petit ma chatoune. Le gland était passé. Tu n’as plus bougé, un instant, et tu as enfoncé ton épée de volupté dans mes reins, jusqu’à la garde. Ton va-et-vient a fait monter une vague de plaisir venue du plus profond de ma chatte. Je me suis caressé le bouton en appuyant un peu, en rentrant aussi mon doigt dans ma chatte, la vague au bord de l’explosion.

Accroupi derrière moi, tu t’es levé légèrement pour me pénétrer encore plus profond. Je sentais tes couilles taper au creux de mes cuisses, et, en même temps, ton gland brûlant déversait sa crème. Je n’ai pu retenir la vague qui explosait au fond de mes reins, de mon ventre et de ma chatte simultanément.

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