A la découverte du naturisme

Nous sommes partis à la montagne au mois de janvier et … pas de neige à l’arrivée. Nous nous sommes donc rabattus sur le spa de l’hôtel avec Rémi, mon mari. Là, nous avons fait la connaissance d’un couple aussi désappointé que nous. Karl et Olga étaient beaux, originaires du plat pays, ils nous ont très vite questionnés sur notre rapport à la nudité. Nous n’avions jamais pratiqué le naturisme, mais les maillots de bain sont tombés. Voici mon histoire de sexe ;

L’exhibition parfaite

Olga m’a proposé de me laver au savon noir, elle était douce et ses mains se sont infiltrées partout, puis elle m’a demandé si elle pouvait faire de même sur Rémi, j’ai acquiescé en me rendant compte que Karl bandait et se caressait la queue. Ma chatte s’est gonflée immédiatement et j’ai senti un filet de mouille couler le long de ma fente. Le temps d’entendre les premiers bruits de succions de la bouche d’Olga sur le pieu de mon copain, j’avais celui de Karl sous le nez. J’en avais trop envie, et puis pourquoi ne pas partager un échange sensuel avec ce couple qui, visiblement, nous plaisait à tous les deux ?

Nous avons pipé chacune l’homme de l’autre tandis que leurs doigts pénétraient tous nos orifices, les quatre orgasmes se sont succédé en rafale, Olga a été surprise par la puissance et le volume hors norme de l’éjaculation de mon compagnon, du sperme a débordé de ses lèvres pour aller napper ses beaux seins. Dès le lendemain, nous avons remis ça dans leur chambre. Nous nous sommes relayés pour nous prendre en photo, cela a fait monter la chaleur de nos caresses. Très vite, je me suis retrouvée empalée sur le pieu de Karl, Rémi, debout, en mode sucette. Je me suis déchaînée, jouant des hanches et de la tête. J’ai joui une première fois ainsi, presque étouffée par le vit au fond de ma gorge.

Découverte de l’homosexualité

Olga a commencé à me téter le bout des seins avec une sensualité dingue, j’ai perdu mes repères de pure hétéro, j’ai posé ma main sur ses fesses puis sur son entrecuisse. Grand inédit dans ma vie, je touchais une autre chatte que la mienne, la mouille qui en perlait était comme une huile chaude, j’ai agi comme lorsque je me masturbe, étalant l’onguent sur toute la fente avant d’immiscer un doigt. À côté de nous, Karl était attentif. Je l’ai emprisonné pour le branler tandis qu’il me doigtait avec une finesse qui m’a fait frôler le précipice du plaisir une fois de plus.

Mon amante s’est alors relevée et est venue me lécher, c’en a été trop pour moi, j’avais les deux membres virils pour moi toute seule, je me suis empressée de réaliser un de mes fantasmes, une double fellation tandis que la langue magique d’Olga m’emportait au septième ciel. Ce que je n’avais pas compris, c’est que cette sublime garce préparait le terrain pour d’autres jeux. Ses caresses linguales se sont, en effet, concentrées assez vite sur mon petit trou. C’est une zone très érogène chez moi et elle n’a eu aucune difficulté à me faire écarter les fesses afin de fouiller mon anus dans les règles.

Enculée par un autre

De retour à califourchon sur son mec, c’est elle qui a guidé l’érection toujours au zénith pour placer le gland turgescent pile au centre de ma rondelle. La grosseur du braquemart m’a fait hésiter, pas longtemps je l’avoue, j’ai affaissé mon bassin lentement et j’ai senti mon sphincter s’ouvrir, avaler le bout de chair aux formes oblongues puis accepter toute la longueur de l’engin. J’étais de nouveau remplie, mais par mon petit fion cette fois-ci. Rémi était au bord de la crise d’apoplexie tellement il était excité de me voir ainsi enculée par un autre.

Olga est venue à son secours, après quelques lichettes sur son fruit tendu, elle s’est offerte à lui en levrette, lui laissant le choix de l’orifice, pas de doute qu’il allait lui investir le fondement ! La sodomie a toujours été son grand truc et un joli trou,
tout nouveau, ça ne se refuse pas ! Après nous avoir copieusement prises par derrière, nous sommes passés à des jeux tout aussi paillards, Olga et moi avions envie de l’attention des deux hommes en même temps. Cela tombait bien, nos deux amoureux avaient en eux la même perversion et versaient dans une approche identique : plus c’est cochon, plus c’est bon.

J’en pipais un, l’autre me fouinait de la langue et des doigts, fouillant con et cul avec des gémissements d’excitation
de plus en plus rauques. Olga leur a léché l’œil de bronze, massage prostatique au programme, alors les queues, enfin, ont libéré leur foutre en ruisselantes cataractes sur nos nichons, nos fesses et dans nos bouches gourmandes. Nous avons fini par nous rouler une pelle, mêlant les semences dans un mixe absolument délicieux.

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