La chatte de Lisa

La rédaction 22 août 2023

Le mari de Lisa accepte d’héberger Arnaud 28 ans pendant sa tournée dans le sud de la France. En tant qu’invité, Arnaud aura droit de baiser Lisa qui a craqué sur lui dès le premier regard.

L’été dernier, j’ai pris mon sac à dos et je suis parti vers le sud de la France trouver des nanas pour profiter du retour à la liberté. J’avais fait environ la moitié du chemin, quelque part dans le Diois quand j’ai rencontré Richard qui m’a offert le gîte et le couvert. « Chez moi, tu fais comme chez toi ! » m’a-t-il lancé avec un petit sourire en coin, je ne pensais pas que cela irait aussi loin dans l’hospitalité ! Voici mon histoire de sexe ;

Une chatte bien mouillée

En arrivant, j’ai été accueilli par Lisa, rousse incendiaire, coupe à la garçonne … entièrement nue ! Elle m’a fait un smack et a roulé une pelle à son mari en disant avec un fort accent de l’est « C’est gentil de nous ramener un invité mon amour ! » Je suis rarement à court de répartie, mais là, j’avoue que j’étais séché. Lisa est allée s’installer dans un petit canapé bariolé et a écarté les cuisses en toute simplicité alors que son époux me lançait tout naturellement « L’apéritif est servi, vas-y, je t’en prie ». Je me suis foutu à poil en deux temps trois mouvements, quand une aussi belle opportunité s’offre à vous, il ne faut pas la laisser passer.

Je me suis agenouillé pour sniffer la chatte de Lisa, recouverte d’un léger duvet, elle exhalait une odeur femelle forte et caractéristique des rouquines, un mélange d’épices et de musc, ça sentait fort, comme j’aime. Je me suis régalé à déguster cette cramouille déjà pleine d’une mouille épaisse et mousseuse. Les chairs de cette femme étaient à la fois fermes et relâchées, ses seins reposant sur sa poitrine ont attiré mes caresses, j’ai joué avec les tétons tout en lui fourrant la fente, deux, trois, jusqu’à quatre doigts sont entrés sans effort tandis que je lapais ses nymphes tel un félin affamé. Elle a joui en enfonçant ses mains dans mon épaisse chevelure crépue et en poussant des cris aigus.

Au fond de la chatte

Elle m’a fait signe de venir prendre sa place en repliant son index. Je me suis allongé et Lisa s’est accroupie entre mes cuisses pour une des meilleures pipes de ma vie. La belle avait faim et cela se sentait. Elle a pompé tout mon dard, mes couilles tout en me branlant lentement, elle faisait tourner son poignet et vrillait mon prépuce pour mieux me décalotter et m’accueillir encore en bouche. C’était divin. Elle m’a aspiré un bon moment avant de revenir se lover sur le sofa et, confortablement installée sur le dos, elle a écarté de nouveau les jambes en remontant les genoux. Je l’ai prise directement, sans chichi, c’est ce qu’elle voulait et moi aussi. Je lui ai donné mon doigt à sucer et elle a mimé une fellation en fermant les yeux tandis que je la limais profondément avec mon chibre épais qui lui dilatait les petites lèvres.

C’est au moment où elle m’a invité à inverser les rôles que j’ai vu que Richard nous prenait en photo, son imposant sexe tout blanc dépassant de sa braguette ouverte, il se branlait tout en déclenchant son portable en saccades. En plus de Lisa qui, désormais, se déchaînait en me chevauchant, j’aurais des clichés souvenirs de cette incroyable rencontre. Richard est intervenu alors, à la façon d’un réalisateur de porno, pour me demander d’écarter les fesses de sa femme afin qu’il puisse bien admirer son trou du cul et de jouer avec si possible.

Une chatte en offrande

Ayant déjà testé l’élasticité de son anneau, j’ai repris mon doigtage de plus belle tandis que Lisa montait et descendait de plus en plus vite sur ma colonne de chair en gémissant fort, encore plus lorsque je fouillais son anus plus profondément. La suite semblait écrite, cela s’est même avéré meilleur que je ne le présageais. Mon amante a fini par se lover sur les coussins, son beau petit cul bien relevé, reins, cassés, s’ouvrant les fesses à l’extrême au cas où je n’aurais pas compris le message.

J’ai tout de même honoré quelques minutes sa douce chatte serrée et, lorsque ma queue a été poisseuse de sa mouille, j’ai barbouillé son petit trou d’une grosse noix de salive et j’ai présenté mon gland à l’entrée de son œil de bronze. Elle a poussé sur son sphincter, le sas puissant s’est élargi comme par magie et je l’ai enculée d’une traite. C’est rentré comme dans du beurre, vu le diamètre du chibre de son mari, la dame devait prendre du rond plus qu’à son tour, mais ma bite n’est pas un modèle réduit non plus, je me suis régalé, la fouissant jusqu’à la garde, m’amusant à remuer mon sexe dans son fion, ce qui l’a fait jaillir. J’ai tout balancé dans un grand râle, fiché tout au fond de son rectum, lui giclant tout le foutre de mes couilles sous pression ! Je suis resté une semaine, Lisa s’est offerte à moi tous les jours et nous l’avons même baisée à deux avec Richard.

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