La bulgare naturiste

La rédaction 1 mai 2021

Farid, 38 ans flash sur une belle Bulgare qui l’héberge pendant ces vacances. Naturiste, la petite bombe est une vraie coquine libérée.

Lors de mes dernières vacances, j’ai fait la rencontre d’une femme vraiment charmante qui m’a fait vriller la tête. Elle s’appelle Tabatha, elle est Bulgare, moi Algérien. Je vais vous raconter notre histoire de sexe.

C’est une belle blonde soigneusement maquillée aux traits magnifiques, au corps de bombe, ferme et bien proportionné : un vrai bijou de femme. Nous sommes tous les deux trentenaires et nous nous sommes rencontrés cet été. En fait, c’était ma logeuse, je lui louais un gîte avec des potes dans le sud de la France. Quand elle nous a fait visiter, tous mes potes louchaient sur elle et sur son cul qui dodelinait alors qu’elle se déplaçait dans les pièces, sapée dans une robe avec un dos nu plongeant qui lui tombait presque jusqu’à la raie des fesses.

Très vite, elle a rejoint nos apéros car elle vivait juste à côté et ça a vite été évident qu’on se kiffait. Le soir, on s’éternisait tous les deux pour rester ensemble et on n’arrivait pas à se décoller l’un de l’autre ! La nuit, je rêvais d’elle non-stop et j’imaginais que nous baisions comme des lapins. Le jour, je la voyais prendre des bains de soleil sur sa terrasse et j’admirais ses seins aussi fermes que des pommes, s’épanouir dans la lumière crue des rayons. La bombe pratiquait le naturisme et elle n’avait aucune gêne à se balader à poil devant chez elle, tout en sachant que plusieurs d’entre nous se rinçaient l’œil !

Un jour, elle m’a invité pour boire un café et elle m’a dit que comme elle avait confiance en moi, elle voulait me demander un petit service : que je lui fasse des photos pour illustrer sa fiche sur un site libertin. Étonné, j’ai bien sûr saisi l’opportunité. Au début, elle était encore en bikini et j’ai pris quelques photos en profitant de la vue, puis elle m’a dit tout-de-go qu’elle voulait maintenant faire une photo de nu pour que ses futurs amants voient un peu le matos.

Elle s’est complètement désapée et j’ai pu voir son corps doré, sa chatte rasée, ses cuisses fines et son air mutin quand elle prenait la pose. Dieu qu’est-ce qu’elle était canonissime ! Je bandais comme un dingue dans mon short de bain et je ne cherchais même pas à le cacher. La douce avait de la suite dans les idées ! J’étais sous l’emprise de ses charmes, mais j’attendais encore son signal. Je l’ai photographiée, assise sur une chaise, jambe relevée sur le côté pour qu’on puisse voir sa chatte. Puis elle a grimpé sur la table de son salon pour se faire photographier à quatre pattes en train d’écarter ses lèvres d’une main et qu’on voie bien l’intérieur rose de son sexe.

Je n’avais qu’une envie : y entrer, m’y lover comme dans un lit d’amour, y juter toute l’excitation que je ressentais. Elle s’est remise debout et je l’ai photographiée en contre-plongée, agenouillé à ses pieds, captant les plis de ses seins, la finesse du ventre, la beauté de sa minette… Quand elle a capté que je n’en pouvais plus, elle m’a donné son signal : « Tu peux me baiser maintenant, tu l’as bien mérité. Et tu peux prendre des photos, pour mon profil ! » Elle m’a ordonné de me déshabiller aussi et m’a emmené dans sa chambre pour m’installer sur son lit. La tigresse s’est approchée de ma bite comme une féline de sa proie et, avec douceur, elle s’est mise à me gober les couilles. Celles-ci roulaient délicatement entre ses lèvres. Petit à petit elle est remontée et a savouré mon gland comme un cornet glacé et la dureté de mon pieu comme un bâton de sucre. Sa bouche tellement bandante m’enlaçait le jonc avec maestria. J’ai encore pris une photo pour son profil et je me sentais chanceux d’être le modèle qui lui tenait compagnie…

Elle a voulu que je la prenne et s’est mise à genoux, recroquevillée sur son lit, jambes rapprochées sous elle, dans une position qui la faisait grave décoller apparemment. Moi, posté contre son cul et toujours armé de mon téléphone, j’ai saisi l’entrée progressive de mon sexe dans son trou d’amour… Elle s’est ébrouée autour de ma bite. J’ai baisé ce petit trou de satin, avant de passer, à sa demande, dans un trou plus ambigu, celui de son cul, qu’elle a écarté à fond pour me laisser faire irruption en elle. C’était serré, quand même lubrifié grâce à sa mouille dont mon chibre avait été largement enduit… J’ai immortalisé son trou du cul en train de se faire assaillir et ce gros plan sur son intimité en toute sérénité de son côté me l’a fait trouver encore plus libre et dévergondée ! Elle prenait grand plaisir à se faire fourrer le fion par moi et plus je m’ébrouais, plus elle tremblait.

Je n’y tenais plus, mais heureusement, j’ai senti ses premiers spasmes de jouissance et j’ai pu lâcher les chevaux. Nous avons fini dans une apothéose de plaisir. Au final, la coquine m’a avoué qu’elle attendrait un peu pour mettre ses photos sur son profil et qu’avant de baiser avec d’autres, elle voulait que je la prenne encore. Et si tout ça n’avait été qu’un subterfuge ? Autant vous dire que j’ai pris le compliment, et aussi un nouveau rendez-vous, avec la brûlante Tabatha…

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