Annie aime les sucettes !
1 décembre 2024Bastien, 42 ans de Toulouse est marié à Annie, Ils décident ensemble de se lancer dans une carrière de contenu pour adultes, l’occasion de fêter ça !
![](http://interstron.ru/javfull/wp-content/uploads/2024/11/histoire-de-sexe-annie-aime-les-sucettes.jpg)
Annie, ma compagne, est professeure des écoles. Était, devrais-je dire, puisqu’elle vient de vivre sa dernière fin d’année. Terminé les rentrées stressantes, les emplois du temps, les incivilités des parents, elle a posé sa démission et nous nous lançons dans la création de contenu pour adultes ! C’est à force de lire interstron.ru que l’idée est née. Nous adorons le sexe, j’ai une bonne queue qui bande sur commande et Annie est une vraie cochonne, toujours en demande et très chaude ! Pour que vous puissiez vous faire une idée, je vous partage cette histoire de sexe amateur.
démission et fellation
À peine avait-elle signé sa missive qu’elle enfilait une tenue d’écolière pas sage. Sa mini robe en tartan sur le dos, elle est aussitôt venue me tourner autour, me montrant sa culotte qu’elle écarta bientôt afin de m’exhiber sa jolie chatte déjà gonflée et trempée. Une fois sa minette à nue, elle m’a demandé de la photographier. Dans la seconde ma bite s’est gorgée de sang et une forte érection a enflé ma pine devenue raide comme une trique. Le show a alors commencé. Exposition de sa fente dont elle faisait bâiller les lèvres, m’offrant une vue imprenable sur son orifice vaginal et son méat tout rose. Puis elle s’est tournée et a réservé le même sort à son anus lisse. Après avoir joué à le dilater et à le rétracter, Annie s’est fourré deux doigts dans la chatte. Un jus torride s’en échappait, elle était lubrifiée idéalement pour se masturber devant moi et ne s’est pas privée pour me chauffer à blanc !
Les phalanges entraient et sortaient du fourreau dans un bruit mouillé, venaient en lisière des nymphes pour mourir sur le clitoris avant que de s’enfoncer de nouveau dans les chairs avides de plaisir. Le son, lui aussi, était fantastique. La cyprine et ses mouvements émettaient des clapotis qui se sont amplifiés jusqu’au premier orgasme de ma belle. J’avais les yeux fixés sur sa jolie moule luisante lorsque j’ai vu se contracter tous les orifices ; Une longue plainte s’est échappée de la gorge d’Annie et ses cuisses se sont mises à trembler. Ses pupilles brillaient. Souffle court et salive à la bouche, elle s’est retournée et a saisi ma queue. Elle l’a soupesée et a joué un peu avec, cela a été ensuite le tour de mes couilles, jusqu’à un doigt qui est venu presser le centre de mon anus. Ma bite a eu un soubresaut et je l’ai aperçue disparaître entre les lèvres purpurines et affamées.
La pipe qui a suivi a été longue et torride. Annie léchait mes bourses, caressait le dessous de ma hampe, la griffait du bout des ongles pour mieux avaler toute la colonne et s’enfoncer le gland au fond de la gorge. Elle respirait fort tant ses va-et-vient lui demandaient des efforts, branlant mon manche, agaçant mon frein ou mordillant mon fruit qui émettait un fluide salé qu’elle déglutissait au fur et à mesure qu’il perlait de mon méat.
Coït photographié
Lorsqu’elle a été rassasiée, et moi à la limite de l’éjaculation, Annie m’a enfin présenté sa croupe ! Quel cul ! Non, mais pardon, mais quel cul ! Un rebondi digne d’une légende de Pont-Aven. Comment réagir devant un fessier si lubrique quand ce dernier appartient à une jeune femme au visage si angélique !? Eh bien je vais vous le dire : en lui rendant hommage et quelle plus belle marque de respect que de l’honorer en le baisant de toutes mes forces. La raie bien ouverte, l’anus dégagé, les lèvres intimes s’étirant au maximum, j’ai enfoncé ma large bite dans le fondant à la cyprine qui dégoulinait de partout. Mon engin a disparu corps et âme dans ce vagin qui allait en voir de toutes les couleurs d’ici peu !
Pour que mes prises de vues soient parfaites, j’ai demandé à Annie de poser correctement (autant s’habituer le plus rapidement possible) afin de montrer sur les clichés que j’étais en train de prendre le maximum d’elle, œil de bronze, sexe brillant de mouilles, seins aux tétons en érection. Je la sentais surexcitée. J’avais raison. Après quelques va-et-vient dans le fourreau capiteux de son vagin, elle a joui à s’en rompre les cordes vocales. Je me suis retiré afin d’assister à ce phénomène qui m’étonne toujours, le spectacle de ses orifices se contractant et se relâchant durant toute la période de son orgasme ! Un évènement, surtout lorsque des jets de mouille ajoutent une dimension visuelle à son envol !
Je pensais être arrivé à destination, que nenni, Annie s’est présentée à moi en se retournant, le trou sempiternel gourmand et avide de recevoir mes coups de pine. J’ai donné tout ce qu’il me restait et j’ai craqué lorsqu’elle a crié une fois encore. Ma queue sortie en hâte, je l’ai aspergée de sperme chaud. Annie a fini la séance en massant sa poitrine avec mon foutre crémeux.
A lire aussi :