Bonne année, Josette !

La rédaction 27 février 2020

Josette, 51 ans

Salut à toute la rédaction, c’est de nouveau votre Josette, de Lyon. Vous allez me prendre pour une salope, mais je viens de tromper mon mari encore une fois. Est-ce de ma faute si les occasions de me faire sauter sont de plus en plus fréquentes ? Et les bons coups, ce serait dommage de ne pas en profiter…

Mon époux a décidé de faire poser du carrelage dans le garage. Mardi, il était à peine 8 heures quand la sonnette a retenti. Le carreleur était déjà là. Un ouvrier qui devait venir des pays de l’Est et parlait mal notre langue. Cependant, ça ne me dérangeait pas vraiment, j’étais plus intéressée par son corps de manuel et ses épaules trapues. Je me suis plantée à côté de lui pour le regarder bosser, j’avais juste eu le temps d’enfiler une petite blouse avant d’ouvrir. Le type n’était qu’à moitié absorbé par son ouvrage, il n’arrêtait pas de jeter des coups d’œil lubriques dans ma direction. Il faut dire que ma tenue était assez largement ouverte par endroits.

Quand un mec me mate de cette façon, je me sens toute bizarre entre les jambes, ça me démange grave. J’ai fait sauter deux ou trois boutons de ma blouse pour lui montrer que je ne portais rien dessous et là, mon carreleur m’a lorgnée avec convoitise. Il me plaisait bien, ce petit con. J’ai fait tomber la blouse pour Le mec a sorti un superbe engin tout noueux, couronné d’un gros gland circoncis. Je ne pouvais que tomber à genoux devant un si beau phallus. J’ai léché le bout du bâton qui suintait de liqueur séminale. J’en avais plein sur la langue, j’en bavais d’envie. J’ai fini par le prendre dans ma bouche. Le gars grognait je-ne-sais-quoi dans sa langue. La liqueur d’amour mélangée à ma salive débordait sur mes lèvres, sur mon menton, dans mon cou… Je me suis sentie devenir salope.

J’ai serré le membre entre mes lèvres en creusant les joues et j’ai entamé un va-et-vient avide. Je promenais mes doigts le long de la bonne verge. Il a baragouiné un truc, il a agrippé mes cheveux (aïe!) et m’a baisé la bouche. Tout à fait le genre de plan qui  m’excite: le mâle dominant qui se tape la petite bourgeoise infidèle. Je n’ai pas honte de l’avouer : j’étais prête à subir tous les outrages, et cette queue qui me comblait la bouche me rendait encore plus chienne. J’ai pompé, pompé, pompé… Et bien sûr, je me suis pris une grosse huître chaude sur la langue. Dieu que c’était amer ! J’avais envie de cracher, mais le type me maintenait fermement la tête sur son bout.

J’ai été obligée de déglutir la semence dans un hoquet. Enfin, ça ne m’a pas refroidie non plus, je me suis remise à sucer de plus belle. Je vous le donne en mille, ce salopard a fini par me balancer une nouvelle giclée! J’avais avalé la première pour lui faire plaisir, mais ce coup-ci, il y en avait trop, je me suis empressée d’aller cracher dans la salle de bain. J’en ai profité pour me débarbouiller. Mon époux n’allait pas tarder à rentrer, il fallait que je sois présentable, puisqu’il me croit encore vertueuse et fidèle.

Le lendemain, mon mari ne m’avait pas satisfaite pendant la nuit et j’avais une sacrée envie de baiser. Si bien que, lorsque mon brave petit carreleur est revenu pour faire les joints, je l’ai tout de suite mis à l’aise en le suçant dans le hall d’entrée. Quand sa queue a été suffisamment grosse et dure à mon goût, j’ai entraîné l’étalon dans la chambre. Mais il s’est montré impatient. Il m’a attrapée par-derrière, en plaquant les mains sur mes seins. Ses gros doigts rugueux me trituraient les mamelons et sa verge en béton se baladait sur ma raie. J’ai craqué.

On était encore dans le salon, je me suis mise à quatre pattes sur un fauteuil (celui de mon mari) et j’ai tendu mon imposant postérieur — eh oui, j’ai un gros cul ! Il m’a baisée en levrette et ce que j’ai crié à cet instant, il serait trop indécent de vous l’écrire. L’habile ouvrier a fait glisser son serpent le long de ma lune, il s’est garé à l’entrée de ma rosette en jurant des saletés incompréhensibles. Mais enfin, j’ai bien compris qu’il avait dans l’idée de me sodomiser.

Il y avait longtemps que je ne m’étais pas pris une bite dans le cul et ça me trottait dans la tête. Il a vu que j’étais d’accord. Je me suis sentie décapsulée, élargie, envahie par un visiteur vigoureux. J’ai couiné, j’étais incapable de parler. Je me suis donc contentée de me cambrer pour mieux présenter ma croupe. Je croyais qu’il allait commencer ses va-et-vient, mais non, il y avait encore du monde au portillon! J’ai crié quand il s’est enfoncé tout entier d’un seul geste. Il n’a pas attendu une seconde de plus pour me limer le cul en se cramponnant à mes hanches.

Je me sentais complètement flagada, dénuée de toute volonté, j’étais son jouet, mon derrière était un sextoy de chair. Je ne pouvais presque plus me tenir au fauteuil, je me suis trouvée à bout de forces juste quand mon carreleur m’a inondé le boyau en maugréant des trucs sûrement très élogieux. De mon côté, je l’encourageais: « Vas-y encule-moi bien, j’aime ça une bite dans le cul, défonce-moi, j’adore ça, chauffe-moi cette rondelle ! »

Je suis passée à la salle de bain, la rosette endolorie. J’étais contente quand même : à mon âge, trouver un mec bien monté et qui bande longtemps, c’est rare. Je suis revenue au garage, mon carreleur était en train de terminer son travail comme si de rien n’était. Il fallait un petit laps de temps pour le séchage des joints, je lui ai proposé un café en attendant. Mais, lui, il en voulait encore. Pour ma part, j’avais eu ma ration, mes fesses s’en souviendraient d’ailleurs… Je lui ai donc fait une bonne pipe dans la cuisine. Il a joui dans ma bouche, et j’ai avalé sans rechigner. Il est reparti tout propre, le petit carreleur !

(Image à la une : Getty Images)

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Les facéties de Josette

« Je me sentais salope de faire un truc comme ça avec un mec que je ne connaissais même pas. J’étais prête à obéir à tous ses caprices. Quand il m’a dit : « Prends-moi dans ta bouche !« , je me suis exécutée. (…)  Je me suis pris une grande rasade de foutre épais dans la bouche. J’ai eu du mal à avaler entièrement. » Josette

Mariée mais pas trop

« Mais, quand il m’a reluquée avec son air vicieux tout en se caressant la braguette, j’ai compris qu’il me prenait en fait pour une prostituée ! J’avoue que ça ne m’a pas déplu. Il m’a fait monter dans sa cabine et m’a sorti sa bite en m’ordonnant de la sucer. Je sentais bien le phallus du mec enfler entre mes lèvres. « Sabrina

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