La bonne, la bête et le géant

Rania 3 avril 2025

Laura, 37 ans, est une femme séduisante et vorace de sexe, tout comme ses deux amants ! Elle nous raconte leurs ébats les plus hots !

Laura nous fait part de son histoire de sexe avec son homme vorace de sexe et son amant !

Comme dans le western qui a inspiré ce titre, je dois procéder aux présentations ; la bonne, c’est moi, bien sûr, une taille de guêpe, des nibards de compète, un petit cul à faire bander un saint et un appétit sexuel sans limite ; la bête, c’est la queue de mon homme, un gros calibre, une arme automatique qui ne laisse aucun répit à sa cible préférée, ma chatte continuellement trempée ; le géant, c’est Ron, mon amant, mon mâle, mon mec, toujours prêt à dégainer et à me tirer, encore et encore !

Voilà, les personnages sont installés, le décor est dressé, notre scénario est simple, que ce soit pour un court ou un long « mettage », tout est bon ! Au cinéma, dans un train, une voiture, dans un lit ou à même le sol, rien ne nous arrête pour de nouvelles histoires de sexe !

Une queue énorme

Lorsque l’envie nous prend, il suffit d’une caresse, d’un regard, d’une bosse qui déforme un jean ou d’une huile prégnante qui imbibe une culotte et l’affaire est dans le sac. Ron sort son portable la plupart du temps et je descends à la cave pour libérer « la bête » ! Non, mais, vous avez vu cette queue ?! On dirait un Oscar, que dis-je, on dirait un César, compressé, massif et lourd, un véritable objet de désir.

Ma mission, que j’accepte toujours, aussi impossible paraisse-t-elle, est d’engouffrer ce monolithe dans ma bouche.

Lui me la joue « Elephant man », sa trompe énorme me défie. C’est une terrible odyssée, mes traits sont déformés, simiesques, mais j’arrive, à force, à enfourner ce glorieux bâtard ! je le suce, je l’astique, il épaissit encore dans mes mains et sous les effets de ma langue qui court partout.

Ron le photographe

Ron prend des photos de mes seins, de ma chatte ouverte, m’enfonce des doigts dans le cul ou par devant, il s’amuse en traveling et autres gros plans, je le laisse faire, je sais qu’il va bientôt allumer ses moteurs et là ce sera « Action » !

La vérité si je mens, je ne me lasserai jamais ni de son objectif, ni de ses regards lubriques. Il se jette sur moi et fait la guerre à mon bouton, il le lèche, l’aspire, le grignote presque, je sens ses quenottes qui le taquinent et l’agacent, le mordillent avant que je geigne sous l’effet de ses doigts combinés à cette pantomime folle.

Pour dompter la bite gigantesque, pas d’autre choix que de venir sur lui, sa queue est un fauteuil … pour moi toute seule. Je dirige le gland, je me trémousse, je danse presque, cela me grise, mon con coule et lubrifie cette tour infernale qui incendie mon bas ventre. Aucun doute sur le bon déroulement de l’opération, il faut juste suivre le synopsis à la lettre, descendre, descendre, descendre encore jusqu’à ce que toute la perche soit au fond de moi.

Lorsque je sens ses grosses bobines pleines de sperme au contact de mon fessier, je sais que j’ai apprivoisé la bête. Il ne me reste plus qu’à monter et refluer sur l’engin. Je me dilate, mon tunnel accepte bientôt cette intrusion totale et entière, mon homme, tel le dieu Mars, attaque !

Jamais rassasiés de sexe !

Ses reins se libèrent et je n’ai plus qu’à tenir la position, le matraquage commence, la bite va et vient à un rythme fou. Il m’attrape en crabe, tambour battant, ça ne s’arrête plus, je coule, je jouis, ma cyprine fuse en jets irrépressibles, je dois crier pour stopper ce manège infernal qui me laisse pantelante.

Ron s’écrie alors « on en fait une autre ! » … une autre prise, évidemment, il n’est jamais rassasié ! Je m’allonge sur le dos ou il me pénètre debout, tel un hussard, d’ailleurs, j’y pense, on n’a encore jamais fait ça sur un toit, il faudra que je le lui suggère !

Quand il est pressé de venir, lui aussi, il se la joue « seigneur de l’anneau » et s’attaque à ma jolie face cachée. Mon trou du cul est doigté, léché, enduit de salive et de mouille, son bout glisse tout seul dans l’orifice et il m’encule avec la même fougue que s’il me baisait par devant, c’est le voyage dans la lune de Méliès.

Et la tendresse bordel, me direz-vous ? Elle est toujours présente, qu’il m’assène des « petite salope en chaleur » ou des « je t’aime mon amour », sa voix me transporte et je jouis encore sous son joug câlin.

Enfin, mes lèvres reprennent le chemin de sa queue, la corolle de son gland est huileuse de ma liqueur, je lèche la belle ganse de peau sensible, je gobe son fruit tout entier dans ma bouche et je le suce tandis qu’il me pelote les seins. Je bombe le torse, ses doigts tripotent mes tétons, les étirent. Il peut me faire ce qu’il veut, seul son plaisir compte à ce moment-là.

Son jus fuse sur ma langue et j’avale son sperme merveilleux et là, nous allons tous les deux au paradis, lui, ivre de mes roberts, moi, aussi câline qu’une chatte sur un toit brûlant.

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