Brûlantes retrouvailles
25 février 2020Mani, 33 ans
C’était l’été 2005, près de Marseille. J’avais été convié à une réinterstron.ru de famille chez ma soeur aînée et mon beau-frère. Il y avait beaucoup d’invités, et c’est avec joie que j’ai retrouvé Amal, une amie d’enfance, autour d’un méga couscous.Tout le monde était parti dans le village voisin regarder un match de foot au café. Amal, qui a horreur de ça, avait décidé de rester pour ranger un peu la maison. Pour qu’elle ne soit pas toute seule, j’ai choisi de rester aussi. J’ai allumé la télé et je me suis installé dans un fauteuil. Amal allait et venait, passait devant moi, de sorte que je répondais à peine à ses questions. Elle s’est placée devant la porte vitrée, me tournant le dos.
À un moment, elle s’est baissée en gardant les jambes bien droites et m’a demandé par-dessus son épaule : « Alors, le programme est intéressant ? » Cette scène m’a donné un coup au coeur. Amal portait une jupe très courte sous laquelle, dans cette position, on entrevoyait un mini-slip blanc, presque transparent. En vérité, elle me montrait son cul cambré et rond, sa raie magnifique que je devinais à travers le tissu. Je me suis mis à bander. Elle gardait la même position, visiblement amusée. J’ai répondu que c’était la première fois qu’un programme me faisait de l’effet à ce point !
Elle s’est relevée et m’a traité de petit salaud, d’un air plus amusé que choqué. Elle s’est adossée à la table de la salle et m’a demandé en fixant mon entrejambe : « Tu bandes tant que cela ? » Comme elle me provoquait, j’ai fait mine d’ouvrir ma braguette. Amal m’a lancé : « Chiche ! » en riant, et cela m’a fait perdre toute retenue, au point que j’ai tiré sur la fermeture pour lui montrer ma bite raide et triomphante. Elle a rougi en me traitant encore une fois de salaud. Je crois que si nous n’avions pas bu autant, nous n’aurions jamais fait ce qui a suivi. Amal m’a complimenté sur ma queue, disant qu’elle était belle. Puis elle s’est approchée pour s’asseoir à mes côtés.
Elle a commencé à me branler alors que je relevais sa jupe pour enlever son slip. « Je sais comment tout ça va finir… », a-t-elle murmuré en souriant. Quelques instants plus tard, j’ai enfoncé ma bite toute raide dans sa chatte déjà bien humide et brûlante. Amal s’est remise à rire comme si mon audace lui plaisait. Nous avons commencé à baiser, puis elle s’est arrêtée et s’est dégagée de mon étreinte. Elle avait très envie de varier les plaisirs, et c’est ainsi que nous nous sommes retrouvés en 69 sur la moquette du salon. Amal me dévorait la bite, elle montait et descendait le long de ma colonne de chair tendue à l’extrême. Je savourais sa bouche si douce en fermant les yeux. Le plaisir qui s’intensifiait en moi allait être bientôt irrépressible.
Avant que cela n’arrive, je lui ai demandé de s’allonger sur le dos. J’ai fini de la déshabiller et je lui ai dévoré les nichons. Ses tétons étaient durs, gonflés par le désir. Doucement, ma bite s’est glissée à l’entrée de sa petite fente. Sous mon poids, Amal haletait, soupirait, avait du mal à reprendre son souffle. J’ai enfoncé une nouvelle fois ma queue tout entière dans sa chatte, puis je me suis retiré et je l’ai pénétrée à nouveau, mais en y allant centimètre par centimètre. Après quelques secondes de pause, j’ai hasardé un coup de reins. Elle gémissait : « Oh, attends, tu es trop gros, tu me fais mal… Oui, comme ça, c’est bon, reste au fond, ne bouge pas. » Amal a croisé ses jambes sur mon cul, me coinçant entre les parois de sa chatte.
J’ai dû me retirer un moment pour ne pas éjaculer. Inquiète, elle m’a demandé : « Tu as déjà envie de jouir ? » Je lui ai fait signe que oui, alors elle s’est déchaînée, a ondulé des hanches en murmurant : « Gicle-moi dans le ventre, donne-moi tout ton jus, toute ta semence, je veux te recevoir, vas-y ! Donne tout ! » Nous étions heureux.
Cela s’est passé il y a cinq ans. Ce jour-là , j’ai fait ce qu’elle réclamait. Par la suite, j’ai encore suivi ses conseils : chaque fois que nous faisions l’amour, je me vidais en elle avec ardeur. Puis, Amal est tombée enceinte. Je l’ai demandée en mariage et elle a dit oui. Nous avons aujourd’hui un fils. Amal est toujours aussi belle et amoureuse. Et moi, je suis toujours fou d’elle. Maintenant, j’aimerais la voir jouir avec un autre homme. Je sais que cette expérience la tente et l’excite terriblement. On adore lire les histoires de ceux qui ont déjà offert leur femme à un autre, ou qui ont déjà fait l’amour à trois. Alors, pourquoi pas nous ?
(Image à la une : Getty Images)
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