Cachés dans la cave

La rédaction 25 février 2021

Cette jeune femme se fait prendre dans la cave par son amant et un inconnu qu’ils viennent de croiser.

J’ai 31 ans, je suis architecte, marié et heureux dans ma vie. Ce qui ne m’empêche pas d’avoir une aventure extraconjugale que je vais vous raconter dans cette histoire de sexe.  Elsa est ma maîtresse depuis quelques mois. Nous avons toujours du mal à trouver un peu de temps pour nous voir, nos vies de famille respectives nous occupent énormément. Enfin, tant bien que mal, nous réussissons à nous voir une fois tous les quinze jours. Le caractère exceptionnel de ces rencontres en garantit la qualité. Chaque rendez-vous se doit d’être le plus excitant possible.

Ce jour-là, c’était au mois d’avril, nous déjeunions dans un petit restaurant de la côte. J’ai fait part à Elsa de mon envie de la photographier. Elle portait une jupe courte, des bas et un string mini, tellement mini d’ailleurs que cela se réduisait vraiment à une ficelle entre les fesses. Après le café, nous avons décidé de bouger vers Villeneuve-Loubet, dans le parc naturel, pour trouver un coin tranquille.

En chemin, Elsa a feuilleté un exemplaire d’interstron.ru que j’avais laissé dans le vide-poches. La lecture d’un courrier l’a très vite excitée, et nous avons commencé à nous rouler des pelles bien baveuses tout en nous pelotant partout… Il devenait urgent de trouver un coin tranquille ! À la lisière du bois, nous sommes arrivés devant une résidence privée qui semblait déserte. Nous étions hors saison. Le vent soufflait fort sur la petite route qui menait aux luxueuses villas, et nous sommes sortis de la voiture pour faire des photos.

Comme il faisait un peu froid, nous sommes vite retournés à la voiture, et là, nous avons vu un jeune garçon qui rôdait. Il était beaucoup plus jeune que nous, peut-être 20 ans, tout au plus. Il avait compris notre manège, et nous a tout de suite offert ses services : « Si vous voulez, je peux vous prendre en photo. » Nous avons immédiatement décliné : « Non merci, il fait trop froid ! » Il ne s’est pas démonté : « Si vous voulez, les caves de la résidence sont vastes et, en ce moment, certaines sont désertes. Ce serait un très beau studio photo ! » Elsa et moi, nous nous sommes regardés, et elle m’a fait un clin d’oeil qui voulait dire : « OK, on y va… »

Nous sommes donc descendus par un petit escalier. Une fois dans une cave, le jeune homme nous a confié : « Quand je suis passé à côté de votre voiture tout à l’heure, j’ai remarqué le magazine que vous lisiez. J’ai pensé que vous étiez un couple… un peu coquin ! » Et il a poursuivi : « Il y a souvent des couples qui viennent se rencontrer, dans le parc… — Et vous les branchez souvent ? — Oui, ça m’arrive ! » L’entrée en matière avait été suffisamment longue, j’ai décidé de rentrer dans le vif du sujet : « Comment tu trouves ma femme ? » Du tac au tac, il m’a répondu : « Très sexy… » Et, s’adressant à elle : « C’est vrai, Madame, je vous trouve très sexy… » Perverse, Elsa a demandé : « Et qu’est ce qu’ils font, les couples qui viennent ici ? — Certains baisent dans leur voiture, et moi, tout seul ou avec mes copains, je les regarde. En général je me branle, mais quelquefois, ils m’invitent à participer. C’est vrai que quand on peut toucher, c’est encore mieux ! » Il n’arrêtait pas de mater Elsa en disant ça. J’ai dit au type : « Bon, comme tu es sympa, je veux bien te montrer un peu ma femme. Enfin, un peu plus… »

Elsa a joué le jeu et a relevé sa jupe. J’ai saisi mon appareil photo et commencé à shooter. Notre jeune ami semblait fasciné. Elsa tremblait. Elle a saisi ses seins à pleines mains et les a caressés. Lâchant l’appareil, je me suis positionné derrière elle pour baisser sa culotte. Dès qu’il a pu voir le minou bien lisse d’Elsa, le garçon a mis la main sur la bosse de son pantalon. J’ai écarté les jambes de ma chérie, caressé ses cuisses et ses seins. Elle a gémi… Puis, je me suis retourné vers l’inconnu : « Comment t’appelles-tu ? — Jean-François, mais on m’appelle Jeff. — Eh bien Jeff, ça te plairait de caresser la chatte de ma femme ? » Tout tremblant, il a répondu que oui. J’ai ajouté: « Tu peux te branler si tu veux. Allez, sors ta queue ! Moi, je vais faire des photos. T’inquiète pas, je ne photographierai pas ton visage ! » Puis, je me suis adressé à Elsa : « Et toi ma chérie, ça te plaît ? Moi, du moment qu’on me caresse bien, ça m’est égal… »

Un peu tremblant, Jeff a avancé prudemment sa main vers la chatte d’Elsa. Cette salope écartait les cuisses et inclinait son bassin en avant. Je l’ai enlacée par-derrière, je lui ai enlevé complètement sa culotte et je lui ai dit : « Maintenant, ce jeune homme va te bouffer la chatte ! » Jeff s’est exécuté docilement, il s’est mis à laper la chatte d’Elsa, à genoux comme un petit soumis. Elle s’offrait, se cambrait de plus en plus… Lui, il avait sorti sa queue et se branlait tout en se régalant du jus de ma belle. « Tu aimes ça ma chérie ? » Essoufflée, elle m’a répondu : « Oh oui j’adore, je suis en train de lui inonder le visage. Je mouille comme une cochonne ! » Je lui ai ordonné : « Retourne-toi ! » Elsa s’est exécutée et a tendu son postérieur vers la bouche de Jeff. Il lui a léché le trou du cul, elle gémissait de plus belle en s’écartant les fesses… Quel spectacle ! Pendant qu’elle se faisait nettoyer le fion, elle m’a regardé et m’a demandé : « Dis, mon chéri, je peux le sucer ? — Bien sûr, ne te gêne pas ! »

Elle a pivoté sur elle-même, s’est accroupie et a avalé le membre de Jean-François, qui a poussé un râle comme s’il allait jouir. J’ai pris la photo que je vous ai envoyée. Je la trouve très excitante. Je me suis posté derrière ma chérie pour la doigter. Elsa a crié : « Vas-y mon beau, branle-moi la chatte, et surtout n’oublie pas mon cul, je veux le faire jouir, ce petit cochon ! » Jeff, de son côté, lui baisait littéralement la bouche. De temps en temps, il ressortait sa queue pour se branler, et tapoter sa langue avec son gros gland… Elsa lui a demandé dans un souffle : « Tu vas tenir longtemps, Jean-François ? — Oh je crois pas, je sens que ça monte ! — Alors branle-toi fort et gicle-moi sur la gueule, je n’en peux plus ! » Elsa adore recevoir du sperme sur le visage. Alors, Jeff et moi nous sommes placés devant elle et nous nous sommes astiqués jusqu’à éjaculer, presque ensemble, sur le visage d’Elsa. « Oh c’est bon, a-t-elle gémi, je suis une vraie salope ! — C’est vrai Madame, a dit très poliment Jean-François, vous êtes une vraie salope ! » Elsa a souri. Jeff nous a chaleureusement remerciés, et nous a confié qu’il se promenait souvent dans les parages. À suivre, donc !

(Image à la une : Getty Images)

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