Camping sauvage

La rédaction 5 octobre 2025

Voici mon histoire de sexe érotique. Cet été-là, j’étais partie en vadrouille avec mon amie Mila. Nous avions pris un bungalow dans un camping sur la côte d’Opale. Nos maris devaient nous rejoindre quelques jours plus tard. Mais nous avions prévu d’abord de profiter un peu et de faire la fête toutes les deux. Nous aimons nos maris et sommes en temps normal plutôt fidèles, mais le fait de se retrouver cet été-là seules dans ce camping nous a un peu donné chaud. En plus, on n’avait pas beaucoup baisé récemment avec nos mecs. En discutant, on s’est rendu compte qu’ils n’avaient pas beaucoup de libido en ce moment et qu’on était un peu délaissées et donc prêtes à sauter sur tout ce qui bouge.

Une soirée épicée

Un soir, nous sommes sorties dans la boîte du camping. Nous nous sommes éclatées à picoler, danser, nous trémousser et attirer le regard des hommes. Nous étions les deux bimbos sexy à souhait de la soirée et nous le savions. Deux belles sirènes dans un grand bocal à poissons. La musique vibrait dans tout mon corps tandis que Mila et moi dansions au milieu des lumières stroboscopiques, effluves de cocktails, rires qui fusent. Très vite, nos regards ont croisé ceux de trois hommes accoudés au bar. Ils nous ont repérées et on leur a offert un sourire avant de nous approcher avec assurance. Mila, toujours plus audacieuse, a commandé deux shots en me glissant à l’oreille : « Objectif : aucun ne repart seul ce soir. » J’ai ri, déjà grisée par l’ambiance. L’un d’eux, un brun ténébreux à la chemise ouverte juste ce qu’il faut, a levé son verre vers moi.

» On pourrait trinquer ensemble, non ? »

Elle a échangé un regard complice avec moi avant de répondre : « À une seule condition : que vous nous fassiez danser. »

Ils n’attendaient que ça. Quelques minutes plus tard, nous étions sur la piste, les corps se frôlaient, les rires se mêlaient. Le jeu était lancé, et ce soir, on comptait bien le gagner.

Le premier était un beau gosse noir, l’autre plutôt typé maghrébin et le troisième un blanc, tous très beaux. Nous avons dansé collés-serrés jusqu’à faire monter la sève du désir au bord de nos lèvres. Les mecs nous prenaient en sandwich, mimant déjà ce qui allait se produire plus tard. Nous les avons ramenés à notre bungalow et les avons chauffés direct. Oubliés, les maris, place à nos beaux étalons, encore inconnus quelques heures plus tôt !

Trio gagnant

Nous nous sommes très vite retrouvées à poil, à sucer les deux mecs qui étaient les plus chauds. Le plus réservé des trois s’était mis à nous prendre en photo et resterait dans ce rôle toute la soirée, immortalisant nos ébats. Mila est allée avec le rebeu, Yasin, et moi avec le Black, Joseph. En miroir l’une de l’autre, on s’est retrouvées en cuillère, une cuisse relevée sur le côté, nos amants derrière nous, à nous baiser de concert. C’était super excitant de se faire sauter tout en regardant l’autre faire la même chose. J’adorais voir Mila prendre son pied avec son amant. Gros kif pour nous deux, et pour les mecs n’en parlons même pas ! Comme si ce n’était pas suffisant en termes de sensations, j’ai eu envie de tenter une pratique qui me faisait fantasmer depuis longtemps, la double-pénétration. Nous avons pris notre temps pour faire ça bien. Je me suis installée progressivement sur Joseph, de façon à le prendre dans mon cul, assise sur lui. Au-dessus, face à moi, s’aidant d’une jambe pliée sur le lit et de l’autre qui passait par-dessus la mienne, Yasin m’a baisé la chatte. J’étais prise en étau entre ces deux queues. Le ressenti était délirant, tant le plaisir m’inondait de l’intérieur, du clito en passant par le fond de mon cul et en remontant le long de ma colonne vertébrale. Nous avons interverti les positions pour que chacun goûte aux sensations et que je ressente chacune des deux queues dans mes orifices. Allongée contre moi, Mila me câlinait et je pouvais lui lécher les seins en même temps que je me prenais ces deux bites délicieuses.

Face à nous, le troisième larron, toujours à nous prendre en photo. J’avais hâte de voir à quoi je ressemblais en pareille posture. Comme pose finale, nous avons retrouvé nos amants respectifs. Ils se sont glissés sous nos culs, nous étions deux déesses assises sur leurs queues et nous dosions les coups de reins pour les attraper plus ou moins profondément en nous. Puis nous avons relevé les jambes dans une posture acrobatique, leurs bites plantées dans nos sexes, pour la photo ! Ce final fut une franche rigolade. Nous avions rarement autant donné de notre personne et au moins, nous ne serions pas frustrées si nos maris arrivaient avec une libido en berne.

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