Vite, vite dans sa chatte

La rédaction 12 octobre 2021

Je m’appelle Gérard, j’ai 57 ans et j’aimerais partager une histoire de sexe furtif. Je me suis donc décidé à vous raconter une aventure qui m’est arrivée, il y a trente-cinq ans, en 1976, époque sexuellement bénie où l’on pouvait baiser non couvert sans être menacé de mort ! L’histoire que je vais vous raconter est un souvenir si fort que j’en ai conservé en mémoire les moindres détails.

Jolie vue sur son cul

J’avais 22 ans, j’étais un assez grand et beau gaillard, mais plutôt timide. J’avais comme collègue de boulot un type de 45 ans (exclusivement intéressé par le fric et le travail), à qui je donnais un coup de main le samedi pour rénover une bicoque. Le midi, nous allions déjeuner à son domicile, un vieil appartement au deuxième étage avec un petit escalier grinçant. J’avais remarqué que son épouse, à qui je disais « vous », portait un intérêt certain à ma jeunesse et à mon apparente virilité.

Son regard de braise, ses allusions salaces ont été suivis de petits attouchements discrets. Cette femme, qui devait approcher la quarantaine, paraissait quelconque car souvent mal fringuée. Jusqu’à ce samedi-là… Nous arrivions pour déjeuner, et elle rentrait d’un enterrement. Elle portait une jupe plissée et ample juste au-dessus du genou, et des bottes à talons rouges. Ses jambes nues étaient surmontées d’un énorme fessier et de larges hanches. Je suis monté derrière elle, son mari n’avait pas encore commencé à gravir l’escalier pourri. Vite vite, je lui ai chuchoté qu’elle était jolie et, mon excitation ayant vaincu ma timidité, je lui ai carrément peloté les fesses, d’abord par-dessus la jupe, et comme elle était devant moi, je lui ai passé la main entre les cuisses qu’elle a vivement serrées. Elle s’est retournée et a murmuré: « Petit salaud, pourquoi tu m’excites pour rien ? » Évidemment, son mari était là.

Comme nous étions lui et moi attablés à l’apéro devant la télé, je me suis aperçu que j’avais oublié de me laver les mains. Alors, j’ai filé à la salle d’eau. En ressortant, je suis resté figé dans l’entrebâillement de la porte, qui faisait face à celle de la chambre. Je me suis souvenu que je l’avais bien entendue marcher sur le parquet du couloir sans y prêter attention. Elle avait ouvert la porte de sa chambre, viré sa culotte qui était par terre, et se tenait debout, dos à moi, la jupe relevée jusqu’à la ceinture, le cul à l’air. Imaginez le spectacle : les bottes rouges surmontées de cuisses musclées, et ces fesses énormes qu’elle faisait ballotter en se trémoussant. Au bout de quatre, cinq secondes, elle a tourné la tête, m’a tiré la langue et a refermé la porte. C’était sa vengeance (elle me l’a dit après) pour l’avoir excitée en vain dans l’escalier. Pour moi, ça a été dur de retourner à table avec le gourdin.

Je lui ai planté ma bite

Et c’est à partir de là que s’est produit le feu de l’histoire. Une bonne fée a dû se pencher sur mon cas ! La femme de mon collègue préparait le repas à la cuisine, dont la fenêtre donnait sur la cour intérieure. Soudain, elle a crié à son mari : « Tu t’es mal garé, le père Machin (un voisin de 75 ans) ne peut plus sortir sa 4L. Descends l’aider ! Adroit comme il est, il va t’accrocher la tienne. » Son mari a attrapé les clés, entrouvert la fenêtre et crié au papy : « J’arrive ! » Il n’avait pas descendu trois marches qu’elle s’est jetée sur moi et m’a tiré de ma chaise : « Viens dans ma chambre, ils vont discuter, il y en a pour dix minutes ! On pourra surveiller par la fenêtre. »

Au moment où elle est entrée dans la pièce, j’étais surexcité et je lui ai demandé : « Surtout, gardez vos bottes ! » En un éclair, elle était à quatre pattes sur le bord du lit, la jupe sur les épaules. D’une voix presque changée par l’excitation, elle a lâché un : « Baise-moi, nom de Dieu ! » Je l’ai empoignée par ses larges hanches et je lui ai planté ma bite d’un coup sec jusqu’à la garde, très facilement tant elle mouillait. Au même moment, j’ai vu son mari arriver en bas. Tout allait bien.

Une chevauchée endiablée a commencé. Je l’ai prise comme un forcené. À chaque va-et-vient, je sortais ma longue bite jusqu’à voir la base du gland. En rentrant en elle, ça faisait piaf, piaf, piaf ! Son gros cul formait comme une vague à chaque fois que ça butait. Ça claquait si fort que, si la fenêtre avait été ouverte, ils auraient entendu le bruit d’en bas. En appui sur les coudes, elle s’est libéré la main droite et m’a attrapé les bourses pour les peloter. Comme j’étais juste en face du miroir de l’armoire, je voyais son visage de possédée qui proférait des obscénités. Je me suis mis à accélérer les va-et-vient.

Elle a deviné que j’allais bientôt lâcher, elle m’a claqué un ordre : « Te retires pas pour jouir. » Je me suis lâché en elle, furieusement et longtemps. Il y avait de la réserve ! Elle est entrée dans un tel orgasme qu’elle avait le visage d’une enragée. Elle a continué à jouir alors que j’étais en elle, planté, immobile. Au bout de presqu’une minute, comme je commençais à débander, je l’ai sentie s’apaiser. Elle m’a souri dans la glace, puis s’est laissée tomber lourdement, à plat ventre sur le lit. Elle a replié ses genoux et écarté les cuisses. C’est alors que j’ai vu dégouliner des coulées de sperme. Je me suis essuyé avec sa culotte qui traînait à côté. J’ai dû lui tapoter le cul pour qu’elle ne reste pas là. Elle m’a dit : « Putain, tu m’as fait décoller ! » Elle était toute rouge !

Je suis retourné à table. Quand il est remonté, le mari m’a trouvé plongé dans le journal. Il nous a servi un pastis en disant que « nous l’avions bien mérité« . Je ne pouvais pas dire le contraire !

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