Marie, Marc et Cédric : trio gagnant

La rédaction 26 mars 2021

Marie poursuit l’exploration de ses désirs, coincée entre Marc et Cédric, deux amis qui deviendront également deux amants.

marie photo sexy

Bonjour  !

Je suis de retour puisque les demandes ont été importantes concernant la suite de mes « aventures » !
(Retrouvez son ancien texte ici)

Aventures sexuelles que je vous livre avec beaucoup de plaisir, d’excitation et de frissons le long de mon échine. Au fur et à mesure, alors que j’écris ces lignes, je me prends à mouiller et, parfois, une de mes mains quitte le clavier pour se glisser le long de ma fente humide.

Notre coup d’un soir avec Marc s’est transformé en histoire au long cours comme vous pouvez l’imaginer. Et moi qui ne voulait pas d’histoire avec un homme marié, attendez la suite, vous n’allez pas être déçus.

Nous avons donc continué nos badinages avec Marc. Ce dernier, du haut de ses responsabilités régionales, ayant tout loisir de visiter les agences de son choix, a marqué un intérêt grandissant pour le site au sein duquel je travaille. Je me suis vue offrir une formation commerciale et Marc m’a « prise sous son aile » afin de me familiariser avec le terrain. Dans les faits, Marc m’a prise tout court !

Mes frasques sexuelles avec Marc

Tout cela se passe le plus naturellement du monde, nous partons en voiture pour visiter un prospect, je le suce pendant le trajet. Sa belle queue prend du volume au fur et à mesure de mes succions, le but étant d’arriver en clientèle avec son braquemart distordant son pantalon sans avoir éjaculé. L’entretien a lieu, j’écoute, je participe un peu, je croise et décroise les jambes, je plonge mon regard de feu dans les yeux du pauvre hère en face et je ris intérieurement. C’est fou ce qu’il est facile de troubler un homme. Je m’amuse d’autant plus que j’imagine ce qui se passe dans la tête du « frustré » et les images qui défilent dans l’esprit de Marc.

Car l’épilogue de chaque rendez-vous est toujours le même, nous réservons un day-use dans l’hôtel le plus proche et nous nous offrons deux heures de baise épique. Lui déborde d’imagination et moi, à mon corps défendant, je l’avoue, je ne pense qu’à ces instants où nos corps vont s’exprimer, s’épouser, se magnifier dans l’acte de chair.

Il me fait jouir avec une science accomplie à chacun de nos combats. Quel bonheur ! Pas d’implication sentimentale ou émotionnelle, non, mais sexuelle oui ! Un investissement corporel total. Nous n’avons qu’une philosophie, jouir et faire jouir l’autre. Et jusqu’à aujourd’hui le contrat est amplement rempli.

Les semaines ont passé, nos joutes ont été oniriques, explosives et Marc a eu l’intelligence de m’ouvrir d’autres portes, de solliciter d’autres horizons. Nous ne nous devions rien, c’est l’occasion rêvée pour en profiter et explorer de nouvelles voies sensuelles.

Marc, mon amant scénariste

Evidemment, en Casanova de la boîte, il n’en était pas à sa première maitresse au sein de la société. Plusieurs de ces dames étaient d’ailleurs toujours des « régulières » et il ne me le cachait pas.  De mon côté j’ai conservé également des relations épisodiques avec quelques sexfriends mais le paroxysme du plaisir, c’est entre les bras de Marc que je le trouve. Les autres sont devenus un peu fades. Car, non content d’être pourvu d’une queue hors gabarit, monsieur a un art consommé du cunnilingus. Non seulement il a une technique de tous les diables mais en plus, et je crois que c’est ce que j’aime par-dessus tout, il aime ça et ça se voit. Il prend un pied à me lécher, à me manger, à me parcourir toutes arabesques intimes de sa langue inquisitrice ! Mon dieu, rien que d’y penser j’ai de nouveau le minou qui me démange !

Mais Marc n’est pas un meneur d’homme d’exception pour rien et il a senti que la routine nous guettait. Certes, les conditions dans lesquelles nous baisions ajoutait un certain piquant à notre relation mais vous le savez aussi bien que moi, on se lasse de tout. Du caviar … toujours du caviar …

Au fil des semaines, il a commencé à m’écrire des petits scénarii, à me faire relever des défis. Rien de tordus ou de BDSM, ce n’est notre truc ni à l’un ni à l’autre. Non, des petites choses coquines qui ont fait monter la température d’un cran. En vrai ça m’a même déclenché une sacrée fièvre.

Tout a été prétexte à nous émoustiller. Parfois je devais aller en rendez-vous sans soutien-gorge ou sans culotte. Je m’amusais alors à jouer les Sharon Stone dans Basic Instinct en croisant et en décroisant les jambes devant un client. Cela pouvait aussi se passer à l’agence, il m’invitait à aller aux toilettes pour enlever ma culotte ou mon soutif et à revenir à ma place en le tenant à la main pour lui offrir. Ou encore, je devais le sucer sous son bureau, lui offrir ma minette à lécher assise sur un coin de table de réunion, le branler dans l’ascenseur. A ce petit jeu là nous avons failli nous faire choper un nombre de fois incalculable, entre nos effets chiffonnés, ses cheveux en bataille ou mon corsage transparent laissant apercevoir mes tétons bandés et mes aréoles sombres. Autant vous dire que lui ne débandait quasiment pas et que je mouillais non-stop les jours où il était dans mes locaux et que le reste du temps, le échanges de sextos et de mms plus qu’explicites nous laissaient dans un état que seule une catharsis masturbatoire pouvait apaiser.

Une de ses petites saynètes, rédigée sous forme d’un feuilleton qu’il m’envoyait par sms, m’a propulsée dans un trio terrible avec lui et un autre homme. Cette idée, qui ne m’avait jamais effleurée l’esprit, a commencé à germer. Elle m’a ouvert un monde de phantasmes telle une boîte de Pandore. Je me touchais tous les soirs, les jours où l’on ne baisait pas ensemble, m’imaginant avec lui et un corps masculin aux traits flous. J’étais leur muse, leur égérie, le seul et unique centre d’intérêt. Je projetais des tas de typologies différente sur cette hypothétique seconde queue. Longue et fine, épaisse et massive comme celle de Marc, petite ornée d’un gland comme un gros champignon de Paris, circoncise ou engoncée dans un prépuce que je pouvais « mâchouiller » quand je la suçais. Je me suis même mise à regarder quelques pornos gratuits sur le net. La rubrique « trio » y est représentée avec un luxe de choix immense. Je glissais un vibro dans ma chatte trempée et je focalisais mon regard sur les sexes en érection. L’actrice s’effaçait et c’est moi qui suçais ces pénis survitaminés en alternance. Je ressortais de ces séances onanistes épuisée par des orgasmes ravageurs. La graine était semée, le résultat allait être à la hauteur de mon imagination.

Cédric, nouvel amant

Quelques semaines se sont écoulées et un autre cadre de la boîte a commencé à me faire du gringue, Cédric. Il est responsable d’édition dans une de nos filiales et lui aussi est très marié avec quatre gosses. Cerise sur le gâteau, il était chauve et, sur le papier, ce n’est pas du tout une particularité qui me plait chez un homme. En revanche il est sportif, hyper bien foutu, large d’épaules, des yeux rieurs qui se plissent quand il sourit. Qu’est-ce qu’il est craquant avec ses petites fossettes quand il me balance une de ses risettes en tournant la tête vers moi lorsqu’il sort de mon bureau. Il a suffi de quinze pour que nos conversations virent au sexe. Non, au cul en fait ! Monsieur écrit très bien lui aussi, belle plume qui ne se prive pas pour décrire des scènes avec une crudité qui, je l’avoue, me foute le feu à la culotte. Evidemment, il n’a pas tardé à me demander de me dévoiler un peu. J’ai minaudé quelques temps et puis j’ai commencé à lui envoyer des nudes sages. Le premier est la photo qui accompagne ma lettre. Mon visage caché par un rideau de cheveux, ma petite langue sortie en pied de nez et mon sein qui fait irruption hors de mon top.

En gentleman et en fin stratège il ne m’a pas envoyé sa bite en photo. Il a mis en scène ses abdos, son torse large, son dos et ses fesses magnifiques, ses mains délicates et presque féminines. C’est moi qui ai craqué et qui lui ai demandé de me montrer sa masculinité dans son entièreté !

Et un beau soir j’ai reçu plusieurs photos et une vidéo. Jeu d’ombre et de lumière, ses phalanges enserrant sa hampe ou la tenant avec précaution et douce masturbation lente sous la douche avec de la mousse en quantité qui masquait en partie son bel engin. Décidément je suis dans une phase « BQBG », Belle Queue Bien Grosse ! Moins massive que celle de Marc, Cédric était néanmoins en possession d’un sublime engin. Ce qui m’a attiré l’œil rn premier ce sont ses couilles, comme deux gros œufs de canne, empaquetées dans un scrotum très haut. Son sexe, lui, était en forme de banane mais de banane plantain. Longue, très large à la base et allant en se recourbant vers l’avant tout en s’effilant. La tige était ornée, en son extrémité, par un gland dessiné au pinceau, un beau casque aux rebords symétriques qui dépassait fièrement d’un prépuce ourlé.

La légende de ce charmant message était le suivant : « J’imagine déjà ta bouche sur ma queue, ta langue léchant ma hampe et tes lèvres venant butiner mon fruit gorgé de désir onctueux ». J’ai fondu sur place, j’ai dû me branler deux fois, mon premier orgasme m’ayant échappé tant j’étais tendue et nerveuse. Vous savez, quand vous sentez que vous allez prendre votre pied et qu’une pensée parasite ou un mauvais rythme vous fait passer à côté ?

Mais peu importe, laissons-là ces considérations « techniques » et revenons à ce qui s’est passé la semaine dernière !

Je suis peut-être naïve mais je n’avais pas supputé une quelconque « entente illicite » entre Marc et Cédric. J’étais donc à mon bureau, les chiffres de la décade devaient être livrés à la direction le lendemain et j’avais décidé de rester tard pour finaliser mon reporting. L’agence était déserte, seule ma lampe trahissait ma présence lorsque j’ai entendu les voix de bariton de mes deux joyeux drilles accompagnées de tintement cristallins.

Les petits salauds ! Ils sont arrivés sapés comme des princes, riant aux éclats à je ne sais quelle blague salace dont ils ont tous deux le secret.

« Tu as fini ? » m’a lancé Marc.

« Vous vous connaissez donc tous les deux espèces d’enfoirés !? » ai-je répondu tout de go.

« Ah oui, ça pour se connaître, on se connait ! » s’est esclaffé Cédric et ils ont explosé d’un rire sonore et complice.

Marc s’est penché vers moi pour m’embrasser langoureusement et comme, visiblement, ces deux-là ne se cachaient rien, j’ai répondu à son baiser. J’ai senti sa main se frayer un chemin sous mon chemisier blanc et venir cueillir un de mes seins, avec délicatesse, comme on cueille une pêche bien mûre de peur de ne l’abimer.

J’ai failli faire un geste pour bloquer son geste mais, après tout, émoustiller Cédric n’était pas pour me déplaire. Et puis je ne suis pas tombée de la dernière pluie non plus, je me doutais bien que le binôme avait une idée derrière la tête. Enfin, quand je dis la tête …

Pour la décade, c’était mort, soirée fichue pour fichue, autant qu’elle réserve une bonne surprise ! Et puis le lâcher-prise a du bon de temps en temps.

Cédric a débouché une bouteille de champagne, Marc m’a encore embrassé avec une fièvre toute particulière et s’est relevé pour prendre son verre. Une bosse énorme déformait son pantalon.

« Et ben, mon salaud, c’est vrai que Marie te fait de l’effet ! » et joignant le geste à la parole il a tâté l’érection de Marc à travers le tissu distendu. Ma mâchoire a failli se décrocher ! Alors si une idée ne m’a jamais traversée l’esprit c’était bien que Marc soit, peu ou prou, attiré par les mecs !

Me croirez-vous si je vous dis que je me suis mise à mouiller comme une folle ? Ma chatte s’est littéralement liquéfiée et culotte s’est gorgée de ma mouille jusqu’à ma jupe. J’ai toujours adoré regarder des vidéos d’homme se suçant l’un l’autre mais je n’ai jamais eu la chance de vivre une scène comme celle-là en vrai.

Mais nous n’en étions pas là, Cédric m’a tendu ma coupe comme si de rien n’était et nous avons trinqué. En silence. De ces silences qui en disent plus long que tous les discours.

L’ambiance, qui était aux rires quelques instants auparavant, avait cédée la place à une tension érotique qui n’avait besoin d’aucun mot. Je savais, ils savaient que nous allions vivre un des ces moments qui marquent les mémoires érotiques de tout un chacun au fer rouge.

Contrairement à ce que j’aurais pu croire, rien n’avait été prémédité dans leur petite expédition. Leur rencontre avait été fortuite, l’idée de me rejoindre était, quant à elle, née assez rapidement. Un passage dans un débit de boisson pour acheter une bouteille de champagne fraiche et ils avaient débarqués à l’improviste, non sans, comme je l’ai dit, avoir quelques projets sensuels à mon égard.

Marc a dit tout bas « Hôtel ? »

Cédric et moi avons répondu de concert « Oui » en chuchotant également.

Sortie coquine en voiture

La bouteille finie Marc m’a pris la main, Cédric a ouvert la marche et nous nous sommes engouffrés dans son rutilant SUV allemand. Le cliché n’est pas loin mais tandis que Cédric démarrait et lançait un appel pour réserver une suite dans un hôtel parisien (rendant hommage à un monarque anglais), Marc et moi avons commencé à nous chauffer sur la banquette arrière. Je pouvais voir, au hasard d’un halo lumineux, les yeux de Cédric dans le rétroviseur. Il ne ratait rien de la scène qui se déroulait juste dans son dos.

Marc m’embrassait, caressait mon corps, glissant ses mains sous mon corsage, ma jupe. Ma culotte, petit triangle de dentelle mouillé, m’a été ôtée et s’est envolée vers notre chauffeur. Ce dernier l’a rattrapé au vol et l’a humée comme un œnologue sent un grand cru. Ce geste m’a excitée à un point que je ne saurais dire. Je savais que mes fragrances, à ce moment de mon cycle, était fortes mais les effluves puissants de mon con semblaient ravir Cédric. Mon soutien-gorge a subi le même sort, je me sentais chienne, une exaltation sexuelle gagnait toutes les parcelles de ma peau.

Nous avons emprunté le périphérique, la danse lancinante tes stop and go m’a permis de reprendre l’initiative. J’ai débraguetté Marc et j’ai sorti son énorme chibre pour le sucer. C’est vraiment mon truc, la fellation. J’aime sentir l’effet que mes lèvres pulpeuses de femme africaine ont sur mes amants. Je les sens frémir lorsque j’enroule l’anneau de ma bouche sur leur engin, quel pied.

C’est alors qu’une main qui ne pouvait être l’une de Marc s’est posée timidement sur mon genou. Le bonheur des boites automatiques, elles laissent la main droite du chauffeur libre. La douceur de ce premier contact avec Cédric était troublante. Ce type semblait être une force de la nature du haut de son mètre quatre-vingt-dix mais abritait une douceur insoupçonnable. C’est mon corps qui a parlé, mes cuisses se sont ouvertes en même temps que mon petit cul a glissé au bord de la banquette.

Les doigts manucurés ne sont en rien hâtés, au contraire. Ils dessinaient des arabesques montantes et descendantes sur l’intérieur de mes cuisses, frôlant mon minou exempt de toute pilosité. C’était diabolique, lentement j’ai senti qu’il découvrait l’ampleur de mon taux d’hygrométrie. Ainsi oint, il a enfin touché mon graal. J’ai poussé mon bassin au maximum, je voulais qu’il me doigte. A l’instant précis où Marc a pincé mes bouts de seins, deux phalanges de Cédric ont pris possession de mon antre. J’ai joui d’un coup. Un orgasme comme une impact de foudre, un flash lumineux et puis plus rien. Le brouillard. J’ai recouvré mes esprits alors que Cédric tendait sa clef au voiturier. Marc m’a aidé à sortir du véhicule. Etais-je descente à cet instant ? Impossible de le savoir mais le regard complice du salarié de l’hôtel m’en a fait douter et je m’en fichais éperdument. Je chancelais encore lorsque nous avons gravi les quelques marches menant à l’accueil. Cédric est allé s’occuper du chek-in tandis que Marc me portait à moitié jusqu’au bar, un cocktail corsé s’imposait avant le second round.

Triolisme dans la chambre d’hôtel

Nous avons de nouveau trinqué, mon esprit était de nouveau en état de marche, j’avais une envie folle de ces deux mecs. Leur mâle complicité les rendaient beaux. Sûrs d’eux, félins, tout, chez eux, exprimait la masculinité sans ce remugle désagréable de machisme qui gâche souvent le tableau.

Ils me faisaient rire, ils m’agonissaient de compliments, et bien que nous soyons dans un des bars les plus courus de la capitale, ils m’embrassaient à tour de rôle, sans se soucier aucunement des personnes qui nous entouraient. Puis la ronde des caresses furtives a repris. Cédric était resté sur sa faim, son bras passé autour de mes épaules laissait une main « distraite » se glisser sur mon sein désormais libre de toute entrave. Marc, assis sur un fauteuil club en face de nous, ne ratait rien du spectacle. Je voyais son érection toujours orgueilleuse distendre son costume et je décidais d’alimenter cette formidable machine de guerre. J’ai discrètement ouvert les cuisses, ma jupe droite était courte, il n’a pas fallu longtemps avant que je sente la fraicheur de l’air venir caresser ma chatte encore humide, signe que Marc ne pouvait pas ne pas la voir. Du reste, lorsque j’ai vu son regard se figer en direction de mon entrejambe, j’ai vite été assurée que mon petit plan marchait à merveille. Deux ou trois autres personnes dont notre serveuse se sont aperçu de notre petit manège. Cette dernière, en nous apportant notre dernier verre, a glissé un mot à côté de mon verre. Son prénom, Samantha avec son 06 et une mention manuscrite « C’est quand tu veux bébé ! ». J’étais éberluée, je ne suis pas du tout branchée nana mais déclencher le désir de l’une d’entre elle, quel plaisir polisson et exquis !

Marc a finalement signé la note avec le numéro de notre chambre et nous sommes monté au cinquième étage. Mes deux cavaliers avaient décidément du goût (et des moyens), nous avions à notre disposition une suite sublime avec un balcon donnant sur l’arrière cours fleurie. J’ai enlevé mes talons et j’ai couru comme une folle dans le dédale de cette chambre hors normes. Je riais et je criais comme une folle en découvrant l’immensité de la salle de bain, pardon, des salles de bain ! Il y en avait deux, du salon et enfin de la chambre en elle-même. Un lit kingsize « plus plus » au moelleux fantastique, un bouquet de fleur à mon attention, un sceau à champagne garni, des chocolats … Il n’y a pas à dire, les palaces savent y faire pour faire plaisir à leurs clients !

Cédric a réduit les lumières et a lancé une playlist entre groove, jazz et rythmes caraïbéens. Je me suis vite retrouvée entre lui et Marc, danse chaloupée, collés-serrés. Malgré la climatisation légère la chaleur gagnait mes joues, mon ventre, mon sexe. J’ai commencé à onduler des hanches et à sentir les queues de mes deux amants. Je me suis dégagée lascivement de leur étreinte et leur ai offert un strip-tease qui, bien qu’écourté par le fait que je portais plus que ma jupe et mon chemisier, les a enchanté. J’ai déboutonné lentement mon top et leur ai tourné le dos comme j’avais vu dans plusieurs shows de pro, laissant juste voir mes épaules puis me retournant et faisant mine d’enfin laisser choir le tissu protecteur sans en rien faire in fine. Mon petit effeuillage a eu pour effet que les deux ont tombé la veste puis le pantalon pour finir tous les deux à poil, assis dans le canapé, chacun caressant sa queue ou se branlant nonchalamment. Voir un mec se toucher m’a toujours troublée et excitée mais alors deux ! Ma libido était en mode turbo pour le coup ! J’ai fini pas lâcher et le chemisier et la jupe, me trémoussant nue comme un ver devant Marc et Cédric qui, je venais de m’en apercevoir continuait de se caresser mais qui effleurait chacun le chibre de l’autre.

Je me suis alors approchée d’eux, j’étais fascinée par ce que j’étais en train de regarder. Les abdos de Cédric se contractait à mesure que Marc enserrait un peu plus fort sa queue que je découvrais en réel pour la première fois. Les photos n’étaient pas à la hauteur, elle était splendide. Longue et courbe, large aux arabesques parfaites.

A partir de cet instant tout s’est enchaîné et j’ai de nouveau perdu pied. Marc m’a regardé et d’un ton lubrique qui m’a retourné le ventre m’a lancé un « On va te baiser comme tu le mérites petite salope, viens me sucer ! » Et sur ces mots il s’est penché sur la queue de Cédric et l’a engloutie presque à moitié dans sa bouche.

Je me suis jetée aux pieds de Marc et j’ai enfourné son pieu gigantesque tout en ne quittant pas des yeux cette fellation homosexuelle qui me vrillait le bas-ventre. La pièce s’est emplie du bruit des succions humides et des gémissements des hommes. Un moment magique, une osmose rare.

J’ai fini par rompre le charme, si je puis dire. Moi aussi je voulais mon compte de jouissance et désirais que ces deux beaux spécimens d’homo .. sapiens s’occupent de ma petite personne. Je me suis dirigée vers l’immense océan blanc des draps soyeux, j’ai ouvert le lit et me suis allongée en écartant au maximum les jambes. La tête bien calée par moult oreillers et coussins j’ai commencé à me caresser devant eux. Jamais je ne me serais crue capable de cela, de me laisser aller à me masturber devant un homme, encore moins devant deux !

A leur tour ils se sont levés et m’ont rejointe, presque pieusement, respectueusement à genoux au bord du lit, les yeux rivés sur le mouvement lancinant de mes doigts sur les pourtours de mon clitoris. Un moment de grâce où j’ai demandé à mes deux amants de se caresser l’un l’autre, ce qu’ils ont fait de bonne grâce. Le carrousel des caresses s’est doucement lancé, leurs bras se sont croisés pour leur permettre de se branler mutuellement, de leur main libre ils me caressaient les pieds, les jambes, les cuisses et bientôt rejoignaient mes mains sur mon secret.

Le temps s’est suspendu de nouveau mais l’impérieuse nécessité de baisers, de nous décharger de toute cette tension accumulée s’est faite la plus forte. Marc me connaissait désormais sur le bout des doigts comme amante et savait quels ressorts me feraient basculer.

« Fous-toi à quatre pattes maintenant petite pute ! On va te défoncer ma belle salope ! »

Moi qui étais déjà en mode « mouillage total », j’ai senti un flux continu couler de ma fente et inonder mes fesses, mes cuisses et les draps. J’ai obtempéré, j’adore ces paroles crues et directives, je m’imagine putain, grande Salop, mon imaginaire galope.

Marc a saisi la bite de Cédric et en a agité le gland le long de mon sillon, agaçant au passage mon bourgeon, faisant clapoter mon orifice tant il était trempé.

« Allez ! Baise cette petite putain Cédric ! Bourre-là comme elle aime ! Défonce-là » a encouragé Marc en me décochant une claque piquante sur les fesses.

Cédric a balancé un grand coup de rein et m’a perforée totalement. J’ai senti sa queue ouvrir mon vagin, distendre mes nymphes, ça pulsait jusqu’à mon petit trou tellement il me remplissait. Il s’est accroché à mes hanches, ne les lâchant que pour me fesser un coup à droite, un coup à gauche.

Marc s’est installé debout devant moi, chassant les oreillers qui le gênait en shootant dedans et m’a présenté son gros machin turgescent et si beau. Il a regroupé mes cheveux et a tiré ma tête en arrière, me forçant à me cambrer pour mieux m’offrir aux coups de boutoir de Cédric et à ouvrir mes lèvres au maximum pour me baiser la bouche.

Un calibre dans la chatte, un autre entre les lèvres, j’étais au paradis. J’étais secouée dans tous les sens, la sportivité et l’endurance de Cédric ne faisaient désormais plus aucun doute. Il me pistonnait avec la régularité d’un moteur de Formule un, Marc alternait les allers-retours dans ma bouche et des baisers profonds tout en me pinçant les tétons avec une science consommée.

Puis les deux ont échangé leur place, Marc est venu s’allonger sur le dos, m’invitant à m’empaler sur son obélisque, Cédric le suçait lorsque sa queue sortait de mon trou échauffé et lui léchait les couilles tandis que je montais et descendais sur toute la longueur de son pénis bandé à mort. Ils m’ont demandé de me tourner, cul vers la tête de Marc, penchée sur lui, cambrée au maximum, mon clitoris désormais libre. Cédric l’a fait poindre au maximum, le dégageant avec ses doigts fins, j’imprimais juste un mouvement de bassin, la langue de Cédric me léchant, m’aspirant. J’ai joui en hurlant ! J’ai soulevé mon cul et j’ai vu mon jet ! Un jet puissant qui a fusé et qui a éclaboussé tout le visage de Cédric. Ce dernier a réagi immédiatement et a fourré son majeur et son annulaire au fond de mon fourreau, de mouvements précis, saccadés, une pression idéale … mes cuisses ont commencé à trembler, Marc m’a soutenu les fesses pour m’aider à tenir la position et j’ai eu le plus long orgasme de ma vie. Ma chatte ne cessait de gicler encore et encore.

Je me suis écroulée, mon corps entier n’était que spasmes et répliques du séisme qui venait de l’ébranler. Il a fallu un moment encore avant que je ne redescende. Mes deux amours me caressaient avec douceur. Nous avons été nous rafraîchir sous la douche et avons sabré le champagne.

La nuit était à nous, elle a été blanche, blanche comme le sperme qu’ils ont éjaculé sur ma peau caramel. Sur mes seins, sur mes fesses, dans ma bouche pour Marc (nous sommes testés tous deux). J’ai hâte que Cédric en fasse de même, je n’ai jamais vu un mec balancer autant de foutre et avec autant de puissance ! Un véritable geyser ! Il a juté jusque dans mes cheveux en sortant de ma chatte tandis qu’il me prenait dans une énième levrette dantesque !

Je suis sortie de cette nuit de sexe et de folie totalement en vrac, laminée comme si j’avais couru un marathon ou fait un ironman mais heureuse et la tête pleine de souvenirs merveilleux. De quoi alimenter mes fantasmes un bon bout de temps.

Mais c’était sans compter l’imagination et la perversion de mes deux hommes. Mais ça, vous le saurez si vous me le demandez gentiment mes amours.

(Image à la une : Marie, texte et image publiés avec son consentement)

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