Chauffeur pour dames

La rédaction 8 octobre 2024

Sabine, 33 ans de Cannes se désespère de n’avoir trouvé d’amant pour la nuit. Bredouille elle décide de rentrer de soirée et rencontre un taxi très chaud. Que la soirée commence !

Je venais de quitter une soirée pas très amusante. Un mec m’avait grave chauffée, mais finalement, il était reparti avec une autre et j’étais dégoûtée. J’étais persuadée que j’allais choper ce soir-là et je m’étais mise sur mon 31, jusque dans le détail d’un string rouge vif sous ma robe de velours noir avec des bas sombres assortis. Il ne savait pas ce qu’il avait raté, celui-là ! J’étais dépitée. Je rêvais d’une histoire de sexe amateur comme je ls régulièrement dans votre magazine. J’ai décidé de rentrer en taxi, que j’ai hélé en sortant de l’appartement où la fête se déroulait.

Premier contact et sacré doigté

Je suis montée à l’arrière d’une belle grosse berline gris foncé. Quand j’ai croisé le regard du chauffeur dans le rétroviseur, je me suis dit que je n’avais peut-être pas perdu ma soirée. C’était un jeune mec aux yeux verts, cheveux bouclés un peu fous, l’air d’un ange et d’un bad boy à la fois. Il m’a tout de suite donné l’eau à la bouche. D’ailleurs, le ton de notre discussion est très vite monté dans le registre de la séduction. On se chauffait gentiment à coups de phrases telles que : « J’aime bien la manière dont vous conduisez » ou « Votre voiture, elle me fait kiffer ». « Si je peux me permettre, moi c’est votre robe qui me fait kiffer », a-t-il osé. J’ai roucoulé de plaisir à l’idée que ce beau mec finirait peut-être par me tringler. À un feu rouge, je suis sortie de l’habitacle pour me mettre à l’avant. La tension est montée d’un cran.

Pendant qu’il conduisait, je lui ai demandé avec une voix de téléphone rose s’il voulait que je l’aide à décompresser de sa dure journée de conducteur. J’ai alors commencé à me livrer à une sorte de strip-tease en me contorsionnant sur mon siège. J’ai soulevé ma robe pour lui dévoiler mon string, puis j’ai écarté ce dernier pour lui montrer ma chatte, tout sourire. Il devait quand même continuer à regarder la route, mais il ne pouvait pas s’empêcher de me mater, avec un sourire en coin. J’ai commencé à me caresser sur le siège passager. Il a saisi son téléphone pour immortaliser la scène. Ça ne me dérangeait pas, ça m’excitait même. Il a ensuite tendu sa main droite vers moi pour me doigter tout en continuant à tenir le volant de sa main gauche. Ses deux doigts ont réveillé mon intimité et m’ont fait lubrifier comme rarement, jusqu’à craindre de ruiner le cuir du siège !

Aventure en voiture

J’ai retiré le string et me suis tortillée pour lever les jambes au-dessus du tableau de bord. Il pouvait ainsi parfaitement voir ma fente, mon cul et mes cuisses. Et se régaler du spectacle. Comme il avait l’air à fond, je me suis enhardie. J’ai passé la main par-dessus la boîte de vitesses pour venir lui tâter le paquet. Son entrejambe me faisait de l’œil. Je voulais voir l’effet que je lui faisais vraiment. Il avait bel et bien une bonne trique, comme je les aime. J’ai commencé à le caresser à travers son jogging. Ça promettait d’être un beau volume. Toujours pendant qu’il conduisait, je l’ai joué façon Sharon Stone dans Basic Instincts et j’ai penché la tête pour le sucer sous le volant. Je ne sais pas comment il a fait, mais il a dégainé son téléphone pour nous prendre en photo. Je ressentais les vibrations de la voiture et le cuir sous mon cul pendant que sa queue coulait entre mes lèvres.

Quand nous avons été en dehors du centre-ville et qu’il y avait moins de monde, le chauffeur a arrêté la voiture. Je piaffais d’impatience à l’idée d’atteindre ce moment fatidique où nous serions à l’arrêt, après avoir fait monter la sauce comme il se devait tout au long de sa course. Il s’est détaché, m’a escaladée sur le siège auto pour m’embrasser, se serrer contre moi et me peloter la poitrine. Je m’étais liquéfiée en une flaque de cyprine et je ne désirais plus qu’une chose, qu’il me prenne sans ménagement. Ce qu’il a fait. Il m’a baisée contre le siège passager, puis je suis montée à califourchon sur lui pour prendre sa queue en moi. L’étroitesse du siège nous poussait à nous coller l’un à l’autre, comme si nous n’étions plus qu’un seul et même corps. Sa bite glissait à merveille entre mes lèvres intimes et humides. J’ai donné de grands coups de collier en me trémoussant sur lui, pas mécontente que mes atours servent à quelque chose finalement, et qu’un homme ait pu admirer mon string rouge. Et ce qu’il y avait en-dessous.

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