Chauffeur routier en rut

La rédaction 14 juin 2019

Sabine, 41 ans, Theuville.

Chauffeur routier bien membré

L’été dernier, j’ai demandé à mon petit copain Freddy, qui est chauffeur routier, de sillonner avec lui les routes de la région au volant de son 35 tonnes. J’ai donc pris des RTT pour une balade dans le sud.

Il faisait très chaud, j’ai juste enfilé une petite jupe en coton léger sans rien dessous, j’adore être à l’air en cette saison. Depuis la cabine de son camion, je voyais les paysages défiler. On dominait tout. Freddy s’offrait de belles perspectives en contre-plongée sur les cuisses nues des conductrices qui s’étaient permis une minijupe. Il adore mater, et ça a plutôt tendance à me donner très envie de lui. J’ai serré mes cuisses l’une contre l’autre, contracté mes muscles pelviens, et sans que je bouge, une onde de plaisir m’a envahie. Sans m’en rendre compte, ma main était descendue au niveau de ma vulve, et c’est Freddy qui, le remarquant, m’a incitée à me caresser. J’étais toute mouillée quand Freddy a décidé de s’arrêter sur une aire d’autoroute où plusieurs poids lourds stationnaient déjà.

Il a tiré les rideaux de la cabine, toujours assis sur son siège. Je me suis penchée sur lui et j’ai passé ma main sur son membre tout droit et tout raide pour le hisser hors de son short. J’ai pris cette jolie bite dans ma bouche, ma langue a tourné autour de son gland, en le pressant et en le suçant de bas en haut. Je me suis assise sur les genoux de mon copain, et ses doigts ont fourragé ma chatte à nu, ce qui m’a fait décoller très haut. Je levais la cuisse pour qu’il aille aussi profond que possible avec son index et son majeur. Nous étions tous les deux très chauds, mais la CiBi de Freddy a grésillé, et j’ai reconnu la voix de Franck, un petit nouveau dans le métier, qui venait d’un village pas trop loin du nôtre. Freddy m’a regardée, l’air très coquin, et s’est excusé en s’emparant de sa CiBi : « Salut Franck, qu’est-ce que tu veux ? » Franck voulait déjeuner, et il était à à peine cinq kilomètres de l’aire où nous étions.

Stupéfaite, j’ai entendu Freddy l’annoncer à  Franck. Dès qu’il a eu fini sa conversation, je lui ai montré mon mécontentement de nous arrêter là où nous avions si bien commencé. « Arrête de faire la bégueule, tu vas voir, on va se marrer. » Bon, comme j’aime bien le petit Franck, j’ai pris mon mal en patience. Cinq minutes plus tard, nous étions à bord de son camion. J’ai grimpé la première. Les marches sont assez hautes et Fred n’a pas pu se retenir de passer sa main sous ma jupe pour voir si j’étais humide. Humide, je l’étais… Franck nous a accueillis, allongé tout nu sur sa couchette. Il ne se doutait pas de ma venue. Gêné, il s’est recouvert tant bien que mal d’un T-shirt, puis son regard s’est bloqué sur moi, au niveau de mon minou. J’ai baissé les yeux, et je suis devenue toute rouge. Ma minijupe était relevée presque au niveau de mon nombril, laissant mon cul et ma chatte à l’air. Freddy s’est hissé à ce moment-là, et je peux vous assurer que ce qu’il a vu lui a plu : moi à moitié nue, m’exhibant devant son jeune collègue, qui ne pouvait plus cacher son érection sous le T-shirt jeté à la hâte sur son bassin.

J’ai remarqué l’odeur de sexe qui flottait autour de nous, un mélange de transpiration, de sécrétions, d’excitation… Il faisait chaud, j’étais vraiment stimulée par tout ça, j’ai tacitement demandé l’autorisation à Freddy de m’occuper de Franck, et il a accepté. Ma main s’est posée sur le sexe de Franck. Nous avons ri tous les trois, comme pour nous mettre dans une bonne ambiance. Sans réfléchir, je me suis activée sur son pénis vigoureux. Je l’ai caressé, branlé, et il s’est laissé faire. Son gland bien ciselé gonflait, devenait tout rouge. Je n’en pouvais plus de me retenir. Alors, d’un coup d’un seul, je me suis empalée sur lui, mon vagin a mangé son sexe en une bouchée. Franck avait une belle tablette d’abdos, il s’est remué en moi avec force, chaque coup de bite qu’il m’assénait me remuait profondément les organes, à l’intérieur, dans une chaleur sourde. C’était déjà super, et ça l’a été encore plus quand j’ai senti qu’on relevait ma jupe par-derrière.

C’était Freddy qui voulait jouer dans mon petit trou avec ses doigts… Enfin, je le pensais, jusqu’à ce que je me rende compte qu’il me préparait à une sodomie ! Il mettait de la salive sur ma rosette, plaçait ses doigts en ciseaux à l’intérieur de mon trou fripé pour l’élargir le plus possible, j’étais comme dans un rêve qui se réalise enfin. J’allais me faire prendre en sandwich par deux beaux mâles, et ce dans un camion, sur une aire d’autoroute ! Pour me détendre encore un peu plus, je me suis titillé le clitoris, des vagues de plaisir m’ont submergée quand enfin il a passé son gland dans mon cul, suivi du reste de sa longue tige. Franck avait arrêté de bouger pour faciliter la manœuvre. Puis, comme dans un ballet, mes deux hommes se sont mis à danser dans moi, ils m’ont si bien remué les entrailles que j’ai dû me mordre la main quand j’ai joui, afin de ne pas rameuter tous les chauffeurs en pause. Quoiqu’à la réflexion… Jamais je n’avais senti mon corps échapper autant à mon contrôle. Freddy a giclé au fond de mon cul, et Franck m’a arrosé le buste de sperme tiède et doux.

J’étais totalement éblouie. J’ai un peu culpabilisé, mais nous en avons reparlé tous les trois après. ça a été une conversation très détendue. À croire que c’était une petite parenthèse érotique dans nos vies parfois un peu monotones. J’envoie des bisous à mon mensuel préféré, qui me donne toujours de bonnes idées…

(Image à la une : Getty Images)

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