Coup de foudre

La rédaction 9 juillet 2019

Cécilia, 22 ans.

Je suis sortie pendant un an avec un garçon de mon âge qui avait tendance à préférer ses potes.

Je me retrouvais souvent toute seule. J’avais un peu le blues, mais je faisais comme si de rien n’était. J’allais en boîte, dans des bars un peu branchés, où je rencontrais des « bouffons » sans personnalité. J’avais envie d’un vrai mec. Un jour, ma voiture était en panne et j’ai pris le bus. Assise dans le fond, en minijupe, j’ai remarqué en face de moi un homme d’environ 40 ans qui regardait mes cuisses. Je suis descendue à mon arrêt. J’en avais encore pour un bon quart d’heure avant d’arriver chez moi. J’ai senti une présence dans mon dos. L’homme du bus m’avait suivie. J’ai pris une petite rue, accéléré le pas. Il me suivait toujours. Je me suis arrêtée dans un petit square et je me suis installée sur un banc. Il s’est assis juste en face de moi. J’avais envie de savoir ce que cet homme avait dans le ventre. Prenant mon courage à deux mains, je lui ai dit : « Je n’arrive pas à régler mon portable. » Il s’est approché, s’est assis à côté de moi, et je lui ai tendu mon téléphone. Il a affirmé que tout était OK. Il s’en est suivi une conversation plutôt banale, au cours de laquelle je me suis amusée à relever encore un peu plus ma minijupe. Je le voyais trembler d’excitation. En regardant son pantalon, j’ai deviné une grosseur qui tendait le tissu. J’avais envie de me le faire… Ses yeux étaient humides, pleins de désir. Il m’a dit son prénom : Antoine. Soudain, il m’a enlacée. J’ai fait mine de résister. Il m’a embrassée cash, avec fougue. Ses mains sont remontées peu à peu le long de mes cuisses. Je me suis levée pour le repousser. Il m’a lancé un regard de déception à faire fondre la banquise et le pingouin avec. Ça m’a trop donné envie. Il s’est levé à son tour et m’a rattrapée, me prenant par la main pour m’entraîner derrière un petit mur. Il a commencé à se frotter contre moi. Je sentais sa bite toute dure contre ma chatte. Il me murmurait des choses très cochonnes à l’oreille. Il m’excitait. Que faire ? « On serait mieux dans un lit, non ? » Ces mots m’ont échappé… En à peine quelques minutes, nous nous sommes retrouvés chez moi. Nous nous sommes déshabillés mutuellement à toute vitesse. Ses jambes étaient très dures, bien musclées. Il m’a allongée sur le lit et a commencé à me bouffer la chatte après avoir enfilé un préservatif. Sa langue était délicieuse, mais j’étais tellement excitée que je le voulais en moi le plus rapidement possible. Â ma demande pressante, il m’a pénétrée en levrette. Sa queue allait et venait en moi, de plus en plus fort, ses cuisses fermes claquaient contre ma peau. Je nous regardais dans la grande glace murale et je mouillais encore plus. Il m’a limée longtemps, j’ai eu deux orgasmes avant que lui ne jouisse enfin. Il s’est relevé, sa capote était bien remplie de foutre. Il est venu s’allonger tendrement à côté de moi. Il m’a enlacée, et on a un peu papoté. Là, j’ai eu envie de le prendre dans ma bouche. Je l’ai sucé longtemps, jusqu’à ce qu’il soit à nouveau bien dur. Nous nous sommes mis en 69... J’avais l’impression que nous nous dévorions l’un l’autre. Puis, il a remis un préservatif et il m’a sodomisée, en douceur, mais très profondément. Je me suis sentie empalée, remplie, à sa merci. Quand il est parti, très curieusement, j’ai presque immédiatement ressenti un manque. Je crois que je l’aimais déjà à ce moment-là.

Cela fait maintenant un an que nous vivons ensemble. Et je me sens plus femme que jamais. Même si dix-huit ans nous séparent, je suis heureuse et épanouie avec lui. J’attends un enfant de lui.

Si vous avez aimé cette histoire, vous aimerez aussi…

Coup de foudre à l’hôpital
«J’ai d’abord sucé ses deux petites boules puis je suis venue laper le long de sa tige» Lydia.

Coup de foudre à Marrakech
«Ma queue a ensuite honoré sa superbe chatte quatre ou cinq fois dans la nuit» Adam.

À retrouver sur notre plateforme VOD

Aujourd’hui notre casteur à sillonné la France. Et son dévolu c’est jeté sur une incendiaire beurette à Marseille, une très belle black à Paris et une non moins splendide quinca au Cap d’Agde. De la photo au porno il n’y a qu’un pas…


Réagir à cet article

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

interstron.ru