Dans le dos de mon mari
24 avril 2020Stella, 32 ans.
Je m’appelle Stella, j’ai 32 ans et j’ai quatre amants ! Oui, quatre. Mon mari voyage tout le temps et pense que je suis très fidèle, enfin, c’est ce que je lui fais croire… Mais moi je m’ennuie à mourir quand il n’est pas là. Je suis professeure de technologie dans un petit lycée et mon travail me laisse pas mal de temps libre pour vivre pleinement et de façon épanouie ma libido. Attention, je connais tout de même des limites, jamais avec des collègues et jamais quand mon mari est à la maison. Mais la dernière fois, je n’ai pas pu honorer un de ces deux principes, mais vraiment, ce n’était pas de ma faute. Je vous explique.
J’avais prévu que Simon, qui habite à plus de 100 km de chez moi, vienne passer une nuit à la maison, sauf que mon mari m’a dit la veille que son week-end à New York avait été annulé et qu’il allait rester à la maison ! Comment vouliez-vous que je m’en sorte ? Simon avait l’air hyper déçu, et comme il est un peu amoureux de moi et qu’il vivait très mal de passer après mon mari, je lui ai proposé ce compromis : il ne dormirait pas à la maison, mais il pourrait faire ce qu’il voulait de mon corps durant deux heures en extérieur. Évidemment, ça l’a rendu fou de joie, surtout qu’il y avait des pratiques sexuelles que je me refusais de faire ! Entre autre l’exhibition et je savais qu’il en était fan.
J’ai prétexté à mon mari le besoin de faire quelques courses, il m’a laissée partir sans l’ombre d’un doute, et quelques minutes à peine après, j’étais cul nu, en train de batifoler dans la nature avec mon Simon qui me courrait après. Si je n’avais pas rencontré mon mari, je pense que j’aurais épousé Simon. Vous savez, c’est rare un homme qui vous aime à ce point, qui apporte autant de folie dans votre vie, autant de fièvre et d’aventure. Et puis il avait un cul et une gueule à tomber !
Bref, il m’a bien évidemment demandée que l’on fasse l’amour près du lac, alors que je l’implorais pour qu’il me prenne dans le bois, cachés derrière les arbres. Il n’y avait pas assez de végétation au bord de l’eau et n’importe quel promeneur pouvait nous surprendre très facilement. « Tu ne m’avais pas dit que j’avais le droit de faire ce que je voulais de ton petit corps ? » m’a-t-il répliqué, sur le ton de la provocation !
Alors évidemment, j’ai dû obéir. J’ai étalé le tapis de sol que j’avais emporté de chez moi (dans le dos de mon mari !) et je l’ai étalé sur les herbes hautes.
« Mets-toi à quatre pattes, le cul bien exposé vers le haut ! » m’a ensuite ordonnée mon Simon, plus pervers que jamais. Je me suis exécutée dans la minute. Une fois qu’il m’eut bien contemplée, il m’a enfoncée son sexe bandant dans la bouche, et m’a demandée de le sucer à fond. Ce que j’ai fait, avec une docilité sans faille. Simon n’en pouvait plus, je voyais son visage se crisper dans des grimaces étonnantes. Il s’est mis à jouir dans l’herbe très rapidement en s’exclamant « Merde, je suis parti trop vite ! C’est que tu m’excites aussi, Stella… »
Je n’étais pas peu fière de mon petit jeu ! Sérieusement, je n’avais aucune envie de nous faire surprendre et j’étais ravie qu’il mette un terme rapidement à notre exhibition. Je suis rentrée au bout de deux heures à la maison, non sans avoir embrassé une dernière fois langoureusement mon Simon. J’avais ramené de quoi manger pour le dîner. Mon mari était content. Et moi, je nageais littéralement dans le bonheur.
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