Délices du hammam

Mon histoire de sexe se passe un après-midi froid. Il pleuvait et j’avais envie de chaleur. Je me suis rendu au hammam de ma ville pour me relaxer dans la moiteur des pièces embuées. J’ai choisi un créneau horaire mixte où femmes et hommes peuvent se délasser ensemble. J’aime bien cette ambiance, quand je peux laisser traîner mes yeux sur un corps transpirant de temps à autre.

Dans la salle la plus chaude, je me suis assis en face d’une femme brune dégoulinante, à l’allure torride. Elle portait des boucles d’oreille en forme de cœur et avait de beaux seins contenus dans un maillot push-up dont ils débordaient presque.

Je la regardais en cachette tout en savourant la chaleur humide qui m’enveloppait et stimulait mes sens. Son beau visage se découpait dans les vapeurs d’eucalyptus et je fermais les yeux pour l’imaginer nue contre moi.

A la fin de ma séance, je me suis retrouvé en peignoir dans un petit salon fermé pour prendre un thé. C’est alors que la jolie brune est entrée dans la pièce. Un peu gênée, elle a quand même fermé la porte derrière elle et s’est installée sur la banquette en velours beige pour s’étendre à mes côtés avec sa tasse de thé. Elle avait mis un déshabillé noir par-dessus son maillot et sa chevelure sombre se confondait avec le tissu.

C’était un tout petit salon pour couple aux lumières tamisées dans lequel on nous avait installés, peut-être par erreur. Nous avons discuté. Apparemment, elle m’avait remarqué elle aussi. Elle s’appelait Fadela. Elle m’a dit que le gommage qu’on lui avait fait avait été très énergique et je lui ai proposé sans trop y croire un massage pour qu’elle se délasse. Joueuse, elle a accepté et s’est étendue sur le matelas.

J’ai massé son dos sensuellement. J’avais du mal à croire que ce fût aussi facile de l’approcher. Je l’avais crue farouche, elle était en fait plus entreprenante que moi ! « Descends sur mes fesses. Caresse entre mes cuisses. » Voilà qu’elle me donnait des ordres !

Mes mains baladeuses ont caressé la chair ferme de son cul, ses hanches, l’intérieur de ses cuisses, et comme elle cambrait les reins, j’ai glissé les doigts jusqu’à la fente à travers le maillot de bain pour me mettre à la frotter délicatement. Face contre la banquette, corps détendu, Fadela cambrait de plus en plus les reins, fesses remontées vers moi, pour me laisser lui caresser tout l’entrejambe.

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Je bandais en voyant ses cuisses frissonner du désir qui l’envahissait. La jeune femme s’est alors retournée pour baisser mon propre caleçon et me prendre dans sa bouche pulpeuse. J’avais peur qu’on nous surprenne, mais je m’en suis remis à ses lèvres goulues tant c’était bon… Nos corps étaient détendus et rendus lascifs par la chaleur. Sa pipe l’excitait visiblement autant que moi car elle étouffait des « hum » tout en me pompant avec gourmandise.

Elle m’a jeté un regard de braise, et s’est mise entièrement nue sur la banquette, sa jolie chatte, avec juste un petit amas de poils sur le dessus, toute trempée, jambes écartées. La déesse du hammam m’avait ensorcelé, j’étais à la merci de ses charmes.

Je me suis mis debout contre le matelas où elle était allongée pour approcher ma queue bien droite qui ne demandait qu’à s’introduire en elle. Son corps ouvert, offert, délassé, était un régal. J’ai pénétré dans sa jolie chatte en jouant avec mon sexe, posant le gland contre elle, frottant nos peaux ensemble, comme si je faisais goûter son sexe à ma queue avant qu’il ne la dévore.

Comme elle renversait la tête en poussant des soupirs qui risquaient de nous trahir, je l’ai pénétrée vivement en me rapprochant d’elle. J’ai embrassé et léché son cou pendant que je la prenais vigoureusement. La sensation de son sexe était enchanteresse, il m’avalait, frémissait, se resserrait autour de ma tige, organe vivant plein d’appétit sensuel.

Dans cette position, je pouvais avoir accès à ses seins que je malaxais en même temps que je la pénétrais. J’avais trop peur qu’on ouvre la porte alors je la baisais de plus en plus fort pour finir, porté par l’adrénaline. Je l’ai prise en photo avec mon téléphone car j’aime bien documenter mes conquêtes…

Étendue contre le matelas, happée par le plaisir, elle ne s’en rendait même pas compte. Fadela s’abandonnait tout à fait à moi, son visage alangui, sa chevelure répandue autour d’elle sur le velours oriental. Elle m’a invité à la baiser sans relâche jusqu’à ce qu’elle jouisse en même temps que moi.

Nous étions nus et pantelants, allongés côte à côte comme dans le fantasme que j’avais eu à travers la buée du hammam. Nos thés étaient froids.

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