Et ta sueur ?

La rédaction 17 octobre 2020

Amina, 41 ans, va souvent à la salle de sport. Après une dure séance elle va se frotter dans le hammam où se trouve un bel inconnu qui la regarde…

J’ai 41 ans et je suis fière de mon corps, que j’entretiens trois fois par semaine dans une salle de sport haut de gamme du centre-ville de Tours. Là-bas, il y a toutes les machines imaginables, mais aussi un spa pour avoir la peau douce. Je m’y rends à la fin de chaque séance. Un soir de novembre dernier, j’y ai fait une rencontre très chaude qui m’a valu une histoire de sexe… avec un homme dont je ne connais pas le nom !

Appelons-le X. Ce soir-là, j’avais bien sué sur les machines, avant d’enfiler mon maillot dans les vestiaires et de filer au hammam. En entrant dans la pièce sombre et saturée d’humidité, je me suis tout de suite détendue. Ça sentait bon les huiles essentielles et la vapeur d’eau m’a enveloppée comme une couverture. Une veilleuse éclairait faiblement l’entrée de la pièce et j’ai cru que j’étais seule, ne distinguant rien autour de moi. Alors je me suis installée au fond sur un banc en pierre et j’ai profité du silence. J’ai même fini par enlever mon haut de maillot. Puis j’ai pris mon gant de crin pour me décrasser : j’ai bien frotté mes bras, mon gros 95D, mes cuisses. Je sentais que ma peau rougissait sous les frictions… et que quelqu’un me matait.

C’est la respiration de X qui m’a mise la puce à l’oreille. Il était assis dans le coin le plus sombre du hammam et pouvait profiter de la lumière de la veilleuse pour deviner mes courbes. S’il n’avait jusque-là pas bronché, le fait de me voir me tortiller à moitié nue l’avait apparemment excité et il haletait fortement… Je me suis immobilisée. Et, sans savoir pourquoi, j’ai continué à frotter. D’abord le haut de mes cuisses… puis j’ai baissé le bas de mon maillot. Je me suis mise de profil pour offrir à l’inconnu la plus belle vision possible, et j’ai passé le gant sensuellement sur mes fesses. La respiration s’est faite plus présente encore.

BOUTIQUE SEXY

L’atmosphère était lourde, la vapeur dense et la transpiration perlait sur mon décolleté. Le gant est passé entre mes jambes, caressant tout doucement mon clito qui dépassait d’entre mes lèvres. C’est alors que X s’est levé et est venu s’asseoir juste à côté de moi. J’ai distingué sa silhouette : il était grand, assez large, avec un peu de ventre. Impossible de percevoir ses traits, mais il me semble qu’il devait avoir la cinquantaine. Clairement pas un habitué de la salle… Mais qu’importe !

Son grand corps s’est penché sur moi et il est venu m’embrasser la nuque. J’ai poussé un soupir. La langue de l’homme s’est mise à lécher la transpiration dans mon cou, puis plus bas, jusqu’à attendre ma grosse poitrine. Il a avalé les tétons et j’ai basculé contre le mur pour lui permettre de me téter à fond. Sa main était maintenant entre mes cuisses. Un doigt sur mon clito gonflé, qu’il a ensuite entré dans mon abricot. La chair était détendue par la chaleur et l’excitation. J’ai gémi.

X avalait toujours mes seins, bien durs à présent, et accélérait le rythme dans mon sexe. Sentant combien j’étais dilatée, il a entré son majeur en plus de son index et a écarté lentement. Il y a eu un bruit mou et je me suis ouverte comme un fruit mûr… Submergée par l’excitation, j’ai tendu la main et tâtonné jusqu’à trouver sa virilité. J’ai fini par saisir un bâton court mais très large, au gland charnu. Le liquide séminal allié à la vapeur a permis de le branler sans effort : il glissait tout seul entre mes doigts. Les gémissements de X se sont mêlés aux miens.

Quand son annulaire est entré à son tour, portant à trois le nombre de ses doigts en moi, j’ai su que l’orgasme était là. J’étais si ouverte qu’on m’aurait dit préparée pour sa main toute entière ! J’ai couiné, couiné, puis je suis partie dans un grand râle de plaisir. Une seconde plus tard, j’ai senti la verge de X se raidir et le foutre couler entre mes doigts. Je les ai portés à ma bouche et, cherchant son regard, je me suis délectée du nectar. Ses yeux ont brillé dans la pénombre… Puis il s’est levé et a quitté le hammam sans un mot. Je suis restée là de longues minutes, les jambes écartées et la tête vide. Depuis, chaque fois que je retourne à la salle, j’espère que l’inconnu y sera pour me faire jouir dans le noir.

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