Détente au lac
15 avril 2021Cécile, 30 ans part en randonnée avec ses amis, elle se retrouve avec Ryan, qui l’agace.. et qui l’excite.
Je m’appelle Cécile, j’ai 30 ans, voici mon histoire de sexe.
Il m’énervait. Non, il m’exaspérait littéralement. Ryan pagayait dans le mauvais sens, convaincu que si nous n’avancions pas, c’était de ma faute. « Pfff, si seulement c’était Victor qui était monté avec moi… » a-t-il maugréé dans sa barbe. Ma rame a failli venir s’écraser malencontreusement contre son visage, et c’est au prix d’un effort surhumain que je me suis contenue, dans un soupir agacé. Nous étions venus avec un groupe d’amis et avions décidé de passer un week-end ensemble dans une grande maison, en Camargue. Moi, je ne connaissais que Laurine dans le groupe et j’avais découvert le reste de la bande hier soir autour d’un bon barbecue. Je n’avais pas pris le temps de faire plus ample connaissance avec Ryan avec lequel j’avais simplement échangé quelques banalités , mais la promenade en barque dans laquelle nous nous enlisions depuis plusieurs heures m’avait convaincue qu’il ne serait pas plus qu’une simple connaissance.
D’ailleurs, je ne sais même pas pourquoi j’avais fait équipe avec lui. Moi aussi, j’aurais préféré monter avec Victor, il avait l’air beaucoup plus sympathique que ce râleur qui me faisait office de copilote. Mais Victor était monté avec Laurine, et nous avions perdu la trace de nos amis, bien plus rapides que nous, depuis une bonne demi-heure. « Mes bras sont trop lourds », me suis-je exclamée, exténuée. « On fait une pause ! » Le ton de ma voix ne permettait aucune discussion, et Ryan a docilement rapproché le canoë de la berge. Il m’a aidée à monter sur la terre ferme en serrant bien fort mon poignet. « Tu sais, je suis désolé pour mon attitude… », s’est-il excusé à ma grande surprise. « En fait, c’est la première fois que je touche à un canoë et… Je ne voulais pas montrer que je ne savais pas du tout comment m’y prendre ! Je t’ai accusée pour rien et je me sens vraiment nul… »
Ryan baissait la tête, il avait l’air d’être réellement déçu de lui. Quelque part, je trouvais ça courageux – et même un peu touchant – qu’il sache reconnaître ses erreurs. Je me suis accrochée à son bras, joueuse « Ne t’inquiète pas, ce n’est pas si grave ! Oublions tout ça et allons nous promener ! » Je l’ai pris par la main, et nous nous sommes lancés dans de grandes discussions à propos de Victor et de Laurine « Tu penses qu’ils couchent ensemble ? » m’a-t-il demandé au creux de l’oreille. J’ai explosé de rire. « Laurine ? Je ne suis même pas sûre qu’elle connaisse le sens d’ouverture d’une braguette ! Je l’adore cette fille, et elle est très brillante, mais dès qu’il s’agit de passer au lit, elle ne sait plus du tout comment s’y prendre… » Il m’a prise dans ses bras près d’un arbuste et m’a dit à voix basse : « C’est facile de se moquer… Et toi, tu sais comment t’y prendre ? » Bien sûr ! Des mecs, j’en avais connu et j’étais beaucoup plus douée que Laurine en la matière. Et si ce prétentieux de Ryan se demandait si j’en valais le coup, j’allais lui montrer de quel bois je me chauffais !
Je me suis agenouillée devant lui et ai ouvert la ceinture de son jean. Quand j’ai découvert son sexe, j’ai manqué de peu de pousser un cri de surprise. Il avait vraiment un membre impressionnant ! J’en avais connu des petits boudinés, des tordus sur le côté et même des mous tout fripés… Mais c’était la première fois que j’en voyais un aussi long ! J’ai eu un moment de panique. Je ne savais pas si j’étais capable de m’occuper suffisamment bien d’un tel calibre. J’ai essayé de lui faire une fellation, mais sa bite n’arrivait pas à entrer plus qu’à la moitié. Je me suis donc rabattue sur son gros gland violacé. Je le mordillais avec douceur, en passant ma langue sur le pourtour. Ryan m’a saisi par les cheveux en poussant des petits gémissements rapprochés. Il faisait des couinements assez drôles et étonnants. Au moins, il prenait son pied, c’était le principal ! Il m’a ensuite posée sur un tronc d’arbre tout juste tronçonné et a commencé à s’occuper de moi. Il s’est mis à quatre pattes et a lapé mon entrejambe. Je sentais sous mes mains l’herbe fraîche et encore un peu humide du printemps.
Ryan a changé de position et a très vite remplacé ses lèvres par sa bite. Je lui ai fait un petit signe de la main pour le ralentir. Il fallait absolument qu’il me pénètre lentement vu la taille de son engin. Un coup trop précipité aurait certainement pu m’envoyer aux urgences. Ryan avait l’air d’être dans son élément, il a d’abord entré son gland, et a attendu quelques secondes sans bouger à l’entrée de ma chatte. Je sentais mon vagin qui commençait à s’ouvrir doucement et j’avais envie qu’il s’enfonce encore plus. Je l’ai regardé et lui ai fait un petit signe pour lui indiquer de s’engouffrer un peu plus. Il a fait glisser sa bite à une allure qui m’a semblé durer une éternité. Il avançait, centimètre après centimètre, dans mes profondeurs, laissant bien le temps à mon corps de s’adapter au sien. C’était absolument délicieux. J’ai senti qu’à un moment il commençait à appuyer sur un point sensible tout au fond de moi. Les sensations étaient incroyables : j’avais l’impression qu’il remuait tout l’intérieur de mon ventre, et qu’il y déchargeait des salves de plaisir. Mais Ryan ne s’est pas arrêté là, j’ai senti son sexe continuer sa course folle à l’intérieur de moi et creuser très lentement son tunnel. Mes yeux se sont écarquillés.
Je ne savais pas qu’on pouvait me pénétrer aussi profondément. Plus je sentais que Ryan gagnait des centimètres, plus je pouvais précisément dire où son membre se situait. Je le sentais mieux en moi, comme si, quelque part, il faisait partie intégrante de mon corps. Tout d’un coup, il s’est arrêté essoufflé et m’a souri. J’avais compris : ça y était, sa queue était entièrement entrée en moi. J’ai souri à mon tour et lui ai demandé de s’arrêter quelques instants. Nous étions tous les deux immobiles, attentifs. Les seules sensations que percevait mon cerveau à ce moment-là étaient le vent frais sur mon visage et la grosse bite de Ryan, qui appuyait juste sous ma vessie. Je lui ai demandé de se retirer, très doucement, de moi. Peut-être réessayerons-nous une autre pénétration plus tard, mais pour le moment, j’avais vraiment eu ma dose ! Il s’est allongé sur l’herbe, les mains croisées sous sa tête, et a contemplé le ciel. Je me suis couchée à côté de lui et l’ai embrassé, langoureusement. J’ai trouvé la scène très romantique, on aurait dit Adam et Ève, au plein milieu de la Camargue ! Son sexe dardait toujours vers le soleil comme un tournesol en plein mois d’août. Pour l’instant, nous en étions toujours à l’apéritif, mais je sentais bien – au fond de moi – que Ryan en voulait plus. J’ai saisi son sexe d’une main et l’ai enfoncé le plus loin possible dans ma bouche.
Sa queue avait conservé le goût de ma mouille, c’était à la fois acide et un peu salé. J’essayais vraiment de pousser le gland de Ryan le plus loin possible au fond de ma gorge, mais inexorablement je n’arrivais pas à en ingurgiter plus de la moitié. « Tu sais, m’a dit Ryan, si tu veux vraiment aller plus loin, tu dois orienter ta gorge de façon à ce qu’elle soit parfaitement alignée avec le prolongement de mon sexe. » Je me suis redressée au-dessus de lui et ai aspiré sa bite, son gland arrivait maintenant à toucher ma glotte. Je l’ai enfoncé encore plus profondément et, miracle, son sexe est venu glisser dans ma gorge comme dans du beurre. Je l’ai très rapidement expulsé, car j’avais du mal à respirer, mais c’était terriblement excitant. J’ai recommencé et recommencé, un long filet de salive est venu glisser tout le long de sa queue. Il faut dire que je ne pouvais pas m’empêcher de baver et que je laissais tout dégouliner de ma bouche sans m’en soucier. De toute façon nous étions en pleine nature, ce n’est pas comme si je risquais de salir les draps !
Ryan m’a relevé la tête gentiment : « Bon, je vois que tu progresses vite, réessayons la pénétration ! » Il s’est allongé derrière moi, en position de la cuillère, et a mouillé trois de ses doigts. Sa main humide est venue caresser tout doucement ma vulve et m’écarter l’intérieur du vagin. « Qu’est ce que c’est bon d’être en toi Cécile, m’a-t-il murmuré à l’oreille, ton sexe est chaud et si étroit. Tu sens mes doigts, là ? » J’ai acquiescé de la tête. « Là, ils touchent un point sensible, tu sens… C’est le point G ! » Les sensations que je ressentais dans mon ventre étaient inimaginables ! J’étais habituée à me caresser le clitoris, et il est vrai que je n’avais jamais vraiment joui lors d’une pénétration. Mais là, mon cerveau s’emballait carrément ! « Je vais très doucement remplacer mes doigts par ma bite, Cécile. Je te sens prête à accueillir ma grosse queue. » En quelques secondes à peine, il s’est empalé en moi, de la façon la plus naturelle du monde. Il a soulevé une de mes jambes pour gagner encore un peu de profondeur et a commencé à jouer avec ses flancs pour me donner quelques à-coups. « ça va ? » m’a-t-il demandé très tendrement. Je me suis mordu les lèvres pour retenir un cri de plaisir et ai secoué la tête de haut en bas très rapidement pour lui signifier que « oui, tout allait vraiment très bien ».
Le sexe de Ryan s’engouffrait en moi sans aucune douleur ni résistance. Je sentais ses petites couilles taper par intermittence contre ma chatte trempée. J’ai fermé les yeux et me suis laissé guider par le plaisir. L’herbe sous moi était encore un peu humide, et la terre restait collée à mon bras. Cela me rappelait les vacances avec Laurine, lorsque nous étions un peu plus jeunes. Nous allions très souvent rendre visite à sa grand-mère, en Provence. Elle avait un grand potager avec des tomates, des carottes, des salades… Et nous avions l’habitude d’aller y faire la cueillette toutes les deux. Nos sorties champêtres se terminaient souvent en bataille échevelée dans le terreau sur le motif d’un vol de fraise ou d’un coup de carotte improvisé. C’est comme ça que nous avions connu nos premiers émois sexuels, nous savions toutes les deux que c’était un prétexte pour commencer à nous toucher l’une l’autre et à découvrir nos formes de femme tout juste naissantes. Laurine et moi avions bien conscience que ce jeu était un peu interdit, mais nous ne nous étions jamais risquées à en parler ensemble, et à le verbaliser explicitement. Les parties de cueillette chez grand-maman sont restées à jamais un secret tacite entre nous deux. Depuis, je me suis toujours orientée vers les hommes. J’aimais sentir les muscles saillants sous mes doigts, j’aimais sentir leur souffle rauque et chaud, et surtout j’aimais leurs mains. Elles étaient plus rugueuses que les nôtres et avaient des veines plus marquées.
J’ai toujours trouvé que les mains de femme étaient trop fines, trop délicates et je préférais être empoignée par deux grosses pinces viriles et anguleuses. Ryan, derrière moi, me secouait toujours comme un prunier. Il allait de plus en plus vite et de plus en plus fort. Il était beaucoup moins délicat qu’au début. Maintenant, il prenait lui aussi son plaisir, en moi. Il a passé quelques doigts pour me caresser le clitoris en même temps. C’était vraiment bon ! C’est la première fois qu’une bite me faisait autant d’effet, me comblait entièrement. J’ai senti mon plaisir monter progressivement, mais c’était une sensation complètement différente de quand je me masturbais seule dans mon lit. Là, le plaisir venait directement de mes tripes, du plus profond de moi. Je ne retenais plus aucun de mes cris, je voulais que Ryan accélère la cadence, qu’il me pilonne complètement, enfin bref, qu’il me donne tout ce qu’il pouvait. « Chut, tu vas alerter les promeneurs… » m’a-t-il dit en souriant. « Défonce-moi ! » lui ai-je répondu, étonnée d’avoir sorti de ma bouche une répartie aussi crue. Ryan a éclaté de rire derrière moi et en a remis une bonne couche. Ça y est, je sentais l’orgasme qui montait doucement. J’entendais le bruit des oiseaux, un vent frais s’est engouffré sous mes seins… Et tout d’un coup, j’ai joui dans un cri sonore et puissant.
Mon ventre, ma bouche, mes jambes, chacune des parties de mon corps convulsait de façon autonome et indépendante, comme un pantin désarticulé. « Wouah, ma belle ! Là, tu as pris ton pied ! » s’est exclamé Ryan avec une pointe de fierté dans sa voix. « Mais je n’en ai pas encore fini avec toi… Prête à remettre le couvert ? » Je me suis redressée sur mes jambes. J’étais… Bien ! Incroyablement bien même, comme si je revenais d’une semaine de vacances sur une île paradisiaque. Mais j’avais encore envie de lui !
Je me suis mise à quatre pattes sur le tronc d’arbre, et Ryan est venu me prendre en levrette tout debout. Mon sexe était hypersensible, chacun de ses mouvements m’arrachait un cri de plaisir. Ryan a continué à me prendre sauvagement par-derrière. Je voyais bien qu’il partait lui aussi vers d’autres cieux. « Tu aimes la cueillette ? » lui ai-je demandé en me retournant. Il m’a regardée, interloqué par l’absurdité de ma question. « On devrait en faire un jour, je suis imbattable au ramassage de carottes ! » ai-je continué mystérieusement. Ryan n’a pas relevé et a pressé une main sur mon épaule pour que je me cambre plus. « Sors ton cul, m’a-t-il dit, je veux que tu me l’offres, je veux que tu te donnes complètement à moi. » J’ai creusé ma chute de rein le plus possible. Ryan a sucé son pouce puis a commencé à masser ma rondelle, doucement. Je n’avais encore jamais fait de l’anal et j’avais peur qu’il veuille me pénétrer. « Ne t’inquiète pas, Cécile, m’a-t-il dit sur un ton réconfortant, je reste juste à l’entrée… Je veux seulement te faire connaître tous les plaisirs que ton corps peut te donner. Je suis peut-être nul en canoë, mais sois sûre que je connais le corps des femmes sur le bout des doigts ! » Il avait vraiment l’air sûr de lui.
En même temps, ce massage anal était vraiment agréable. De son autre main, il a léché un doigt et l’a introduit dans ma bouche. Je l’ai sucé comme si c’était sa queue, orientant bien ma gorge dans l’axe de son doigt pour qu’il entre le plus profondément possible. Ryan jouait toujours de son autre main avec mon cul, il s’amusait maintenant à écarter mon anus de ses deux doigts. « C’est là que je vais éjaculer Cécile, me dit-il entre deux gémissements, là, sur ta raie, sur ton petit trou, je vais mouiller ton adorable petit cul d’une longue trace de sperme. » Cette phrase m’a procuré un effet d’enfer ! Je ne savais pas non plus que je pouvais être autant excitée… Par des mots ! Ryan faisait de grands va-et-vient et se cramponnait fermement à mes hanches. J’ai senti son sexe gonfler en moi. Tout d’un coup, il s’est retiré. « Ne bouge pas ! » m’a-t-il sommé. Je suis restée inerte, plantée sur le tronc d’arbre.
Mes genoux commençaient à me faire mal, et mes mains étaient un peu écorchées par le bois, mais je n’osais me déplacer, même de quelques centimètres. J’entendais le bruit significatif des couilles qui s’entrechoquent et de la main qui coulisse sur la bite en petits « plop, plop, plop » continus. Il était en train de se masturber. Comme il l’avait annoncé, j’ai senti quelques secondes plus tard des gouttes chaudes et visqueuses venir recouvrir mes fesses, toujours aussi cambrées. Ryan est allé chercher les feuilles d’un arbre pour m’essuyer tendrement le cul.
« Que c’était bon Cécile ! » s’est-il exclamé en me prenant dans ses bras. Je n’ai pu empêcher un petit rictus triomphant de venir se graver sur mon visage. « Non, sans rire ! J’en ai connu des nanas et j’ai souvent un sexe qui fait fuir la plupart des filles. Mais toi, tu es allée jusqu’au bout et tu m’as vraiment emmenée jusqu’au septième ciel ! » Je voyais à son petit sourire béat qu’il disait la vérité.
« Bon, on fait quoi maintenant, on rame jusqu’à retrouver Laurine et Victor ? » ai-je demandé. Ryan a simplement haussé les épaules. « En même temps, maintenant qu’on a vu la taille de ta rame Ryan, on pourra peut-être aller un peu plus vite ? » Et nous avons explosé de rire tous les deux ! Heureusement que j’avais proposé de faire une halte pour nous changer les idées…
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