L’anal avant le mariage

La rédaction 11 avril 2021

Futur mariée, Cassandre, 25 ans veut s’essayer au sexe anal avant de faire le grand saut, elle l’appelle son playboy préféré…

Cela faisait longtemps que j’avais envie d’essayer le sexe anal. J’ai 25 ans, je suis une belle plante qui plaît beaucoup aux mecs, plutôt gâtée par la nature, svelte, aux jolis yeux noisette. Bref, je connais les atouts de mes charmes ! Et je m’en suis servie ces derniers temps pour arriver à mes fins dans un objectif très précis : explorer des nouvelles formes d’extase sexuelle. Je suis en temps normal quelqu’un d’assez sage, qui ne déborde pas, qui ne fait pas étalage de sa sexualité. En plus, je suis fiancée ! Mais j’avais envie, avant le grand saut, de m’autoriser une petite escapade sensorielle rien que pour moi… Je vais vous raconter mon histoire de sexe. 

Avec mon fiancé, nous sommes assez pudiques et pas très folklos niveau cul. Du coup, j’avais envie de me faire une sorte de petit enterrement de vie de jeune fille perso, pour m’éclater un peu avant de me caser. C’est vous dire si je suis ambiguë dans mes raisonnements et agissements ! J’ai donc réfléchi à qui pourrait me faire office de playboy pour répondre à mes envies. Et j’ai repensé à un mec que j’avais rencontré en boîte, il y avait des années de cela. C’était un mec hyper sensuel, avec qui on avait dansés de manière super “hot” et avec qui j’étais rentrée pour baiser comme des lapins. J’ai toujours un souvenir ému de cette nuit-là. Il s’appelle Willy. Je lui ai écrit des messages pour lui demander des nouvelles. Il a tout de suite commencé à me charrier : “Alors, t’es en chien ma belle ?” Je ne me suis pas cachée plus longtemps : “Graaave.” “Viens-donc boire un thé à la maison.” Je me suis fait une petite attestation vite fait, ai prétexté des courses à mon promis, mis un string, du parfum et hop, en route vers mon distributeur à orgasmes !

On était super contents de se voir car on avait tous les deux un super souvenir de notre rencontre et de notre alchimie sexuelle. Willy, mec mastoc, avec de beaux pecs et de beaux biscottos, cheveux frisés courts, visage de top modèle, est toujours un fantasme pour moi. Alors, quand je l’ai eu en face de moi chez lui avec son sourire sur sa tronche, j’ai senti ma chatte qui dansait intérieurement et qui frétillait à l’idée de baiser avec lui. Patience, ça ne saurait tarder… “Quoi, tu vas te marier ? Et tu viens ici, petite coquine ?” Il était mort de rire, mais plein de compréhension. “Bah ouais, écoute j’avais envie de m’offrir une petite folie avant le grand saut quoi. Et donc forcément j’ai pensé à toi…” ai-je répondu. Je lui ai dit que j’avais aussi envie d’essayer le sexe anal que mon fiancé était trop coincé pour ça. “Si tu me prends par les sentiments…”

La discussion nous avait mis le feu au cul à tous les deux et quand Willy s’est relevé, j’ai vu sa belle bite déformer son jogging par son érection. Si j’en avais eu une moi aussi, elle aurait été dressée comme un piquet tellement j’étais en chien. “Ma belle, je te fais ce que tu veux, viens par là.” Je me suis avancée, déjà trempée de désir. J’ai traversé le mètre qui nous séparait et j’ai mis mes bras autour de son cou. Ses lèvres épaisses et généreuses se sont collées aux miennes et ses bras puissants se sont refermés sur moi. Je me sentais bien, contenue, et pouvant me laisser aller, abandonner toute entrave à mon plaisir. Il m’a caressée à travers mon jean, il effleurait mes seins, mon sexe, il tapotait dessus, suspendait son geste et, quand je le suppliais de continuer, il s’y remettait, reposant sa main pour frotter plus franchement mes points d’excitation.

Je suintais déjà de désir, une sueur légère était apparue, et ma chatte sécrétait de la mouille et des odeurs témoignant de son enthousiasme. Nous sommes allés dans la chambre. Il s’est couché sur le lit et je me suis penchée sur lui pour délivrer son sexe dur. Le voir aussi turgescent me faisait vraiment kiffer, et j’ai pris toute sa grosseur aussi loin que j’ai pu dans ma bouche. J’ai fait des allées et venues sur cette masse tendue et délicieuse, m’imaginant en train de me la prendre et repensant à notre première nuit, ce qui me faisait gémir par avance tout en le suçant.

Je me suis couchée à mon tour et il m’a déshabillée lentement, prenant soin de me faire attendre, caressant ma peau avec les glissements du tissu sur moi. Mon string a voyagé de mes cuisses à mes chevilles dans une caresse. Il a regardé mon corps nu. Et il s’est attelé à mon plaisir. D’une main, il caressait mon clito, le branlait de plus en plus vite mais sans appuyer trop fort et d’une autre main, il stimulait ma vulve, puis il s’est aventuré dans mon cul pour l’élargir et le réchauffer doucement. L’électricité de sa branlette clitoridienne se répandait dans tout mon bas-ventre et jusqu’à ses caresses internes. Je voyais son regard sur moi, je sentais ses doigts, et je me sentais m’ouvrir, me relâcher, et brûler à la perspective qu’il entre en moi.

Tout mon corps l’appelait. Je lui ai dit quand j’étais prête et, à genoux près de moi, mes jambes relevées, nos regards toujours scellés, il m’a sodomisée tout en me laissant le relayer sur mon clito, que j’ai continué à frictionner. Oublié le fiancé, oubliée toute morale : je n’étais plus que mon corps, que mon cul, et sa bite qui entrait par là me remplissait de félicité. Mon orifice excité et lubrifié par ses soins était désormais habité par lui, et les coulissements de sa queue ici même augmentaient encore la puissance de la brûlure de mon plaisir. Il m’a baisée, avec coeur et attention, et voir son corps si puissant s’agiter au-dessus de moi, les courbes de ses muscles, la perfection de son ventre, et ses yeux noirs plongés dans les miens, me faisait tourner la tête.

J’ai frotté mon clito de plus en plus fort en même temps qu’il me prenait par le cul et j’ai brûlé encore dans l’orgasme qui m’a emportée dans son onde chaude… En me voyant jouir et gueuler au ciel, il a aussi été transporté de ce plaisir qui prenait sa source au cœur de mon cul…

Nous nous sommes roulés l’un contre l’autre sur le lit et j’aurais souhaité ne jamais repartir. Willy restera le fantasme de ma vie que je ne cesserai, mariée ou pas, de chérir dans mon esprit.

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