La fête de la fesse
7 décembre 2020Carole, 26 ans, a un copain qui lui prévoit toujours des parties de baise joyeuses et inventives. Jamais deux fois de la même façon !
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J’ai 26 ans et je ne suis pas une fille compliquée. Voilà : j’aime le sexe et rien d’autre, c’est très simple ! Mon copain, qui le sait bien, me prévoit toujours des parties de baise joyeuses et inventives. Jamais deux fois de la même façon ! Le sexe, c’est toujours pareil, mais jamais pareil. Je me comprends mais je ne sais pas si je suis claire, alors je vais vous raconter…
Vendredi dernier, il m’a donné rendez-vous à la piscine après le travail. Je trouvais ça rigolo, inhabituel. On s’est bien dépensés, puis on a filé à la douche… Inutile de vous dire que nous avons fait douche commune.
Je lui ai taillé une pipe royale sous l’eau chaude, un vrai régal. Sa queue est si réactive, j’aime la voir frétiller quand je la lèche sur toute la longueur, avant de remonter sur son beau gland que je gobe. Je lui ai lascivement caressé les couilles à grand renfort de gel douche. Il a poussé un petit feulement de bête et je me suis bientôt retrouvée avec la gorge remplie de foutre !
Après cette bonne mise en jambes, nous avons filé en catimini… Nous n’avions pas été si discrets que ça, et en partant, nous avons eu de drôles de regards de la part du personnel… Hihi !
Nous sommes allés chez lui, car nous n’habitons pas ensemble, chacun chez soi et tout le monde est plus heureux. Et là, ça a été le festival du bonheur : à peine la porte passée, ii m’a embrassée à pleine bouche, je mouillais déjà comme une fontaine de Versailles. On s’est fait notre petit plan porno. Il avait tout prévu. Le champagne était au frais et l’appareil photo était sur le lit… Il n’y avait plus qu’à se mettre à poil !
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Il m’a tout arraché en un mouvement leste, il faut dire qu’il ne restait plus grand-chose. Nous avons bu une coupe de champ’ et trinqué à l’amour, tous nus. Je suis montée à quatre pattes sur le lit pour bien l’exciter. Je prenais des postures de femelle en chaleur. « Défonce-moi la chatte, Boris. Viens me baiser comme une bête ! » Je voulais l’aguicher à mort.
Il a attrapé mes fesses pour les photographier de plus près et sans me prévenir (le polisson, il sait que j’adore ça), il m’a planté sa grosse queue dans la minette, bien profond et en douceur, que je la sente passer correctement !
Il a tout photographié pendant que je décollais directement pour le septième ciel. Que c’était bon de le sentir coulisser dans ma minette juteuse ! Enfin ! Il m’a pistonnée en allant de plus en plus foin. Une bonne levrette doit toujours être pleine d’émotion et de tendresse, les femmes sentent quand les messieurs sont experts.
Naturellement, mon cul est venu au-devant de ses coups de queue. J’ai fini par le reverser en arrière pour mieux m’empaler sur sa belle tige. Je faisais de mon mieux pour rentrer dans mon rôle de porn star d’un soir. Je lui caressais ses bonnes couilles fermes dessous. Plus je grattouillais, plus il râlait, je savais qu’il allait encore gicler le petit salaud.
J’y suis allée franchement, de tout mon poids. J’étais en transe, une vraie vedette. Bien entendu, il a joui très bientôt… Je sais m’y prendre avec mon bonhomme.
Dans la foulée, nous sommes endormis comme des sacs sur le lit et dès que j’ai émergé, j’ai eu terriblement envie de remettre ça… Je l’ai sucé jusqu’à ce qu’il se réveille. Il a bien apprécié ma surprise et il s’est fini sur mes nichons. Pfiou, quelle partie de cul mes amis !