Fiançailles, aïe, aïe !

La rédaction 14 novembre 2020

Marie-France, 56 ans, a un péché à confesser : elle a couché avec son gendre alors qu’il allait se marier et était encore vierge…

Je me prénomme Marie-France et j’ai choisi interstron.ru pour me confesser. Mon secret est trop lourd, seules ces pages peuvent le recueillir. Voici mon histoire de sexe.

Il y a 6 mois, j’ai couché avec mon gendre, Benoît. J’ai 59 ans et lui, 26. Ma fille et lui sont fiancés depuis 8 mois et jamais je n’aurais cru que je l’intéressais. Ils ne couchaient pas ensemble – la virginité compte beaucoup dans notre famille – et ils souhaitaient rester purs jusqu’au mariage, prévu en juillet prochain. Benoît a craqué le premier et c’est moi qui en ait fait les frais. Le pire dans cette histoire, c’est que j’ai aimé ça.

Ça s’est passé un dimanche. Mon époux et moi recevions Benoît et ma fille à déjeuner. Tous les quatre, nous avons parlé des fiançailles et de mille petites choses joyeuses. Mais je sentais que mon beau-fils était dans la lune : plusieurs fois, je l’ai surpris en train de me fixer.

J’ai préféré ignorer le sentiment étrange que ça me procurait. Et puis, au moment de passer au café, mon époux s’est installé dans un fauteuil pour somnoler, pendant que ma fille se plongeait dans un magazine. Pensant que Benoît était préoccupé par le mariage à venir, je lui ai proposé de prendre quelques livres divertissants dans notre bibliothèque. Il m’y a accompagnée. C’est là que tout a dérapé.

Pour attraper les ouvrages, je suis montée sur un escabeau. Benoît le tenait fermement en contrebas. En lui tendant un roman, j’ai croisé ses yeux. Ils étaient braqués sous mon tailleur et ma culotte, qu’il devait voir… J’aurais dû mettre un terme immédiat à cette abomination. Mais, troublée par ce regard concupiscent, j’ai attrapé un deuxième livre, puis un troisième.

Quand je suis descendue de l’escabeau, mon gendre et moi étions rouges et haletants. Une seconde plus tard, nous nous embrassions avec passion. Benoît m’a plaquée contre la bibliothèque. Je priais pour que mon époux ne rentre pas dans la pièce, mais sans pouvoir résister aux caresses qui m’étaient prodiguées. Déjà, les doigts de Benoît étaient en moi et je me cambrais sous l’effet du plaisir.

Quand il a fourragé dans son pantalon pour sortir son pénis en érection, j’ai vu de la cyprine sur sa main… La mienne, résultat de mon désir interdit. Cette vision a achevé de me faire perdre la tête.

Il a suffi de trois coups de reins pour que Benoît me possède. Son sexe était large, bien plus que celui de mon mari, et tellement plus dur ! Un véritable gourdin érigé en moi. Je l’ai enlacé tout en plaquant ma main contre ma bouche, afin d’étouffer mes gémissements. Ses coups de reins étaient de plus en plus intenses, les bibelots de la bibliothèque se sont mis à trembler et mon gendre à grogner…

Il fallait que cela cesse, ou on allait être surpris. Alors j’ai plaqué mes mains contre ses fesses pour qu’il accélère… Une vague de désir m’a submergée du pelvis jusqu’aux cheveux – un appétit lubrique que je ne me connaissais pas. Mais quand j’ai entendu Benoît gémir « Oh, belle-maman… », j’ai réalisé que j’étais en train de lui prendre sa virginité, celle-là même qu’il conservait pour ma fille !

Il devait se retirer, enlever ce pieu redoutable de mes entrailles, mais il était si profond en moi que ça me semblait impossible. Pire : l’orgasme montait à présent, et je ne pouvais plus l’arrêter. J’ai mordu l’épaule de mon amant pour ne pas hurler de plaisir et nous avons joui ensemble, tremblants de tout notre être.

Quand enfin, mon beau-fils a extrait son sexe dégoulinant de ma vulve, j’ai senti son liquide chaud couler entre mes lèvres, puis quelques gouttes ont perlé sur le tapis. J’ai serré les jambes et remonté ma culotte à la va-vite.

Après nous être assurés que nos vêtements étaient en ordre, nous sommes retournés au salon, sans doute un peu rouge encore. Mon mari et ma fille n’y ont vu que du feu, et le sourire qu’elle a adressé à son futur époux a été un rappel cuisant de notre faute. Mais le soir, en respirant l’odeur du sperme de mon gendre sur ma culotte, je n’ai pas ressenti une parcelle de remord, allant même jusqu’à la conserver au fond d’un tiroir. C’est là que repose mon secret, caché, je l’espère, à jamais.

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