Mon gendre
9 août 2020Maria, 50 ans, se masturbe régulièrement en entendant son gendre baiser. Un jour, il va la surprendre sur son lit et une aventure torride va commencer.
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Je m’appelle Maria, j’ai 50 ans, je suis mariée avec deux enfants dont une fille de 27 ans, mariée à Martin, 32 ans, qui est aussi l’objet de ma lettre. Ma fille et Martin ne vivent pas très loin de chez nous et viennent souvent passer le week-end à la maison, où ma fille a conservé sa chambre et ses meubles. Même si ma chambre, se trouve à l’opposé de la sienne, je peux entendre mon gendre faire couiner ma fille et cela dure… Je me suis souvent fait jouir dans le lit en les entendant, une fois mon mari endormi.
Un dimanche matin, mon mari et ma fille sont partis au marché. Martin était dans la piscine. J’ai voulu un peu nettoyer leur chambre et j’ai vu leur lit défait avec des traces au milieu. Je me suis approchée et j’ai senti. Ça sentait le sperme. J’étais en nuisette, je me suis mise à la relever sur mes hanches et à écarter les cuisses tout en humant cette odeur, puis je me suis branlée en pensant à la queue de Martin. J’allais jouir, quand une main a pris la mienne et l’a posée sur une queue dressée. « Alors Maria, c’est à cela que vous rêvez ? Elle vous plaît ? » il a demandé. Je devais être rouge écarlate. J’ai essayé de retirer ma main, mais Martin l’a maintenue fermement sur sa bite.
Elle était énorme. « Allez, fais-toi plaisir, goûte. Tu vas voir, tu vas te régaler », a dit mon gendre. D’autorité, il a pris ma tête et a mis sa queue dans ma bouche. « Eh bien, je ne me serais pas douté que j’avais une belle-mère aussi salope et si peu farouche dis-moi ! Profite, tu vas bientôt la sentir dans ta chatte, d’ailleurs lève-toi, tourne-toi, enlève cette nuisette, voilà, bien. Dis-donc, joli cul ! Écarte ! » Il s’est accroupi derrière moi et il m’a penchée en avant pour me lécher la chatte et l’anus. « Eh bien, t’es chaude toi ! Ça va rentrer tout seul ! Et là, tu as déjà pris ? » il a encore demandé, un doigt dans ma rosette. J’ai rétorqué que ça me ferait mal. « T’inquiète, on ira doucement. Tu vas t’habituer et tu vas jouir du cul. Après, tu me supplieras de t’enculer », m’a-t-il assurée, avant de s’allonger sur le lit et de m’intimer l’ordre de m’empaler sur lui.
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Une fois à califourchon sur son sexe, je me suis mise à gémir : « C’est trop bon, ça me remplit si bien, j’adore ! » Martin caressait mes seins et mes tétons dressés et me prenait le visage pour m’embrasser à pleine bouche. Très rapidement, j’ai eu un orgasme d’enfer. Il m’a mise à quatre pattes pour me reprendre avec une cadence inouïe. J’ai joui encore une fois. Bien calé dans mon minou, il m’a doigtée avec un doigt, puis deux dans le cul. « C’est vrai que tu es un peu serrée du cul », a-t-il constaté. Puis il m’a demandée d’aller chercher du beurre. En me rendant dans la cuisine, toute nue, j’étais comme sur un nuage, hypnotisée. Il m’a remise en position et m’a tartinée l’abricot. Il s’est mis à détailler ce qui se passait : « Je plante mon gland, là, très bien, détends-toi, tu vois j’ai déjà mis la moitié. Je t’avais dit qu’une bonne salope comme toi adorerait se faire enculer ! »
Au bout de 5 minutes, il était entièrement rentré dans mon cul, je n’en revenais pas. Il m’a incitée à faire des va-et-vient en allant à mon rythme. Ça me chauffait mais qu’est-ce que c’était bon ! C’est à ce moment qu’il m’a saisie les hanches pour me besogner encore quelques minutes et jouir dans mon cul. On est restés un moment collés l’un contre l’autre. Je lui ai avoué que je fantasmais sur lui en utilisant mon gode. Il m’a ordonnée d’aller le chercher. Quand je suis revenue dans la chambre, il était déjà assis, la queue bien bandée entre les mains. Il m’a de nouveau mise à quatre pattes et m’a enfoncée le gode dans la chatte tout en m’enculant. C’était tellement nouveau pour moi, je prenais mon pied. Au bout de 10 minutes de baise, il s’est reculé et s’est mis devant moi avant de m’enfoncer son gland dans la bouche et de juter à l’intérieur. J’ai bu, puis on a juste eu le temps de nous laver et de nous rhabiller, car mon mari et ma fille approchaient.
Depuis, Martin me baise et m’encule régulièrement ; je suis devenue sa chose. Il ne veut plus que je porte ni culotte ni soutien-gorge pour être dispo n’importe où, n’importe quand. Il m’appelle souvent dans la journée pour que je le rejoigne. Je viens en jupe, en tee-shirt ou en chemisier moulant avec les tétons qui pointent. Il me caresse les fesses sous ma jupe et me doigte, si bien que je suis toujours trempée. Il choisit un petit coin tranquille, me prend sauvagement et je jouis fort. En voiture, je dois toujours le sucer en me doigtant. Quand il est prêt de venir, on se gare et il me prend sur le capot ou sur la banquette arrière. Je suis toute à lui. Avec mon mari, on ne baise pratiquement plus et, de toute façon, je ne sens plus sa queue tellement Martin m’a élargie, à mon plus grand bonheur. La prochaine étape, c’est qu’il me baise avec un de ses copains, paraît-il. Pour ne rien vous cacher, je suis tellement excitée en écrivant ces lignes que j’ai mis mon gode dans ma fente puis dans mon cul, toujours en pensant à la queue de Martin et j’ai joui comme la cochonne que je suis.
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