Géométrie coquine

La rédaction 11 décembre 2024

Barbara, 27 ans de Nemours raconte son aventure avec sa meilleure amie et son copain. Ce plan à trois improvisé est photographié par son copain. C’est chaud

Avec Élodie, ma meilleure amie, nous adorons le sexe. Pas lesbiennes pour deux sous ni l’une, ni l’autre, nous fantasmions quand même sur des trucs à plusieurs, pas de grosses partouzes, mais des parties carrées ou triangulaires. Lorsqu’on en a parlé à nos copains respectifs, Jules (le mien) n’était pas partant, mais voulait bien filmer et était OK pour que je batifole avec Augustin, le chéri d’Élodie. Je vous raconte tout dans cette histoire de sexe amateur.

fellation à deux bouches

Et puis un week-end on s’est lancé, rien n’avait été prémédité, ça a glissé tout seul, un strip-poker a été improvisé, ce sont les filles qui ont gagné ! Augustin s’est retrouvé à poil en quelques minutes, il nous a avoué avoir fait exprès de perdre le petit vicieux et il bandait déjà comme un âne ! Il n’en a pas fallu plus pour que Jules sorte son portable et, tout en se touchant quand même à travers son pantalon, commence à nous photographier. Je ne sais pas ce qui m’a pris, j’ai embrassé Élodie, c’était naturel et très doux. Nous nous sommes déshabillées mutuellement, en nous effleurant les seins. Les siens étaient chauds, mes tétons, tendus et tout durs. Augustin s’est allongé sur le lit, se paluchant tout en nous regardant, visiblement ravi par le spectacle.

Ma petite culotte blanche s’est enfin envolée et c’est en tenue d’Ève que nous nous sommes rapprochées de notre proie. Honneur à la « régulière », c’est Élodie qui a accueilli la queue de son homme en bouche la première. Elle le suçait avec passion, enfonçant le gland loin au fond de sa gorge. Je me suis agenouillée de l’autre côté et j’ai attrapé les mains d’Augustin, qui hésitait encore, pour les poser sur ma peau, l’invitant à me caresser où il en avait envie. Il a effleuré mes tétons, ses doigts tournant autour de mes aréoles, il était très doux, même lorsqu’il a pincé mes mamelons. Ma chatte s’est humidifiée et j’ai senti mon vagin se resserrer spasmodiquement, l’excitation sexuelle était au rendez-vous, ça n’était rien de le dire !

Élodie a saisi l’une de mes mains et l’a guidée vers la bite nappée de sa salive, me l’abandonnant pour aller rouler des pelles à son homme. Le pénis était différent de celui de mon chéri, plus long, mais moins épais. C’était agréable de faire aller et venir le prépuce sur cette grande tige rigide que je m’efforçais de décalotter le plus à fond possible. Facile à prendre en bouche, c’est vrai qu’elle glissait toute seule loin dans la cavité où ma langue se faufilait jusque sur ses moindres arabesques.

Plan à trois et candaulisme improvisé

Mon amie m’a alors attirée vers elle. Je me suis lovée contre son corps de rêve, sur le dos, jambes écartées au maximum. J’ai laissé Élodie me chevaucher, son cul aux fesses bien rebondies offertes en levrette à Augustin. J’ai vu dans le regard de cette brune si sensuelle l’instant précis où elle a accepté en elle la colonne de chair de notre amant commun. Ses pupilles se sont dilatées, son con aussi, laissant libre cours aux coups de reins très doux et très profonds qui s’enchaînaient derrière elle. Embrassée, pelotée, je n’en étais pas moins frustrée. Ma chatte était vide et j’attendais avec impatience qu’elle soit remplie. Mon vœu fut exaucé quelques minutes plus tard.

La queue d’Augustin, lubrifiée par la mouille d’Élodie, s’est insinuée entre mes nymphes jusqu’à ce que je sente une paire de couilles sur mon petit trou et un pubis épilé contre mon clitoris érigé. Je m’imaginais la vision qu’avait notre baiseur, deux jolis minous superposés et entièrement disponibles surmontant une étoile frétillante et toute la liberté voulue pour fourrer sa belle bite là où il le souhaitait ! Il ne s’en est pas privé et nous a limées aussi longtemps que nous en avons eu envie, propulsant nos êtres et nos esprits dans un univers orgasmique comme dans un jeu de ping-pong céleste. J’ai même goûté à ses talents de lécheurs. Alors que j’étais écrasée par le corps d’Élodie, je me suis échappée de ma souricière et suis venue m’accroupir au-dessus du visage d’Augustin.

Il a dégusté mon abricot tandis que mon amie chevauchait son pieu comme si plus rien n’existait autour d’elle. Nous nous sommes frotté les nichons et embrassées voluptueusement, cela m’a amenée au plaisir pile en même temps qu’elle, moi avec mon cunni un peu forcé, une langue délicieusement enfoncée dans mon con et un doigt dans mon cul, et elle avec la queue qu’elle s’enfilait exactement au rythme qu’elle avait choisi, massant bien son gros bourgeon au passage. Le final a été éruptif et digne de ce triangle sexuel, Augustin s’est branlé au-dessus de nos deux corps lovés l’un contre l’autre et nous a copieusement aspergées de son foutre chaud et sucré !

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