Une cousine ouverte
12 février 2023Je m’appelle Aymeric, j’ai 39 ans et j’aimerais partager une histoire porno. Je suis fils unique. Un week-end, on a fait des repérages dans le parc du Vexin avec ma cousine Hélène. On voulait organiser un grand barbecue pour les soixante ans de mariage de nos grands-parents.
Ma cousine est bonne !
J’aime bien ma cousine. Elle est un peu hippie, tout le contraire de moi, je suis gardien de la paix. Elle fait des études de sociologie. Ce jour-là elle était particulièrement enjouée. Elle avait mis une robe toute mini qui laissait voir ses fesses à chacun de ses pas. Le tissu de sa robe était tellement léger que je voyais ses gros seins lourds rebondir en cadence. C’est là que, pour la première fois, j’ai compris que ma cousine était bonne.
On a trouvé une grande étendue bien tranquille, j’ai pris des photos pour pouvoir les montrer à nos parents respectifs. Elle m’a proposé de faire une petite pause et a étendu une nappe sur le gazon. Elle s’est assise, je l’ai prise en photo. Je lui ai dit : « Vas-y fais voir tes seins pour rigoler. » Elle m’a jeté un regard en coin et a ôté sa robe.
Elle a commencé à se passer de la crème sur tout le corps, j’avais une demi-molle. Elle ne me regardait pas, elle matait son joli corps harmonieux. Je lui ai demandé si elle voulait que je lui passe de la crème dans le dos, elle a dit oui. Je me suis agenouillé derrière elle et je lui en ai mis. J’en ai profité pour me frotter un peu. J’avais une érection en bonne et due forme. Comme elle ne protestait pas, j’ai continué.
Je me suis mis à la peloter, à la palper, comme si j’effectuais une fouille au corps. Puis j’ai passé la frontière de sa culotte et je suis allé chatouiller son minou. Il était trempé. La garce, elle n’attendait que ça. Elle a un peu protesté quand j’ai enfoncé mes doigts dans sa chatte. « Tu es sûr qu’on devrait… C’est mal, non ? » Mais la garce se laissait faire.
J’ai retiré sa culotte et je l’ai léchée comme il faut. Sa chatte avait bon goût et une odeur de miel. Elle était fraîchement rasée de près comme j’aime. Elle a poussé de petits cris, s’est tendue et a joui.
Une baise de feu
Je lui ai proposé de la ramener chez elle à moto. Évidemment, j’avais envie de passer la journée à la sauter. Arrivé chez elle, je n’ai pas été déçu. Ma cousine était en feu. On s’est désapés. Je lui ai dit : « Branle-moi avec tes seins. » Elle a sorti ses deux énormes globes et les a resserrés très fort autour de ma bite. J’ai immortalisé le moment avec mon téléphone.
Au bout d’un moment, je lui ai fourré le dard dans la bouche. Je l’ai poussé très profond, jusqu’à lui cogner la glotte. Elle salivait beaucoup. Ses yeux étaient rouges et mouillés, elle hoquetait. Sa langue enroulait mon dard. Je lui ai filé des gros coups de boutoir entre les dents.
Je ne voulais pas cracher trop vite. J’ai calmé le jeu. Je lui ai mis des petites tapes sur son petit cul bien gras. Je l’ai fait s’allonger sur le dos. Je lui ai remonté les jambes derrière la nuque et j’ai maintenu ses chevilles d’une main. J’ai bien écarté ses fesses. J’ai craché de la bave sur sa chatte ouverte. Mon dard a forcé l’entrée, c’était chaud et serré.
J’y suis allé doucement au début, puis je l’ai bourrée de toutes mes forces. Elle participait de toute sa croupe, poussant mon dard toujours plus loin. Ma bite était en feu. Je lui ai asséné quelques derniers coups de bite avant de sortir de son minou et de lui arroser le ventre. Je suis retombé sur elle, et on s’est roulé des grosses pelles. On s’est câlinés longtemps, tendrement. Puis on s’y est remis. C’était dingue, je n’aurais jamais cru que ma cousine aimait autant le cul.
On est repartis sur un 69 de fou. Elle s’est assise sur mon visage et je l’ai broutée avec rage. Elle m’a pompé le dard jusqu’à me refaire cracher et a tout avalé. J’étais crevé, mais elle en voulait encore. Après une nouvelle session de caresses, j’ai senti que ses doigts s’approchaient dangereusement de mon trou du cul. En riant, elle m’a enfoncé un doigt, puis deux. De l’autre main, elle m’a branlé énergiquement jusqu’à ce que je jute. Juste quelques gouttes, qu’elle a aspirées, la bouche en cœur.
Je ne sais pas où tout ça nous mènera, mais on se marre bien ensemble. Elle veut que je l’emmène en club libertin… Je dois avouer que l’idée de voir ma gentille cousine se faire prendre par d’autres mecs et en redemander, ça me tente pas mal ! Suite au prochain épisode.
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capre laury
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