La fille au pair
26 juin 2024Anita, 19 ans. Une jeune fille au pair qui couche avec le père de sa famille d’accueil en cachette jusqu’à son retour en Australie.
Bonjour, je m’appelle Anita, je suis une étudiante franco australienne de 19 ans. Je vous écris pour vous demander de publier mon récit, en souvenir de l’histoire que j’ai vécue avec Patrick l’année dernière, pendant que j’étais jeune fille au pair dans sa famille en Bretagne. Je sais qu’il vous lit et j’espère qu’il sera heureux de me découvrir dans votre magazine! Voici mon histoire de sexe.
Je suis arrivée chez Patrick en tant que jeune fille au pair au printemps de l’année dernière. Je me suis tout de suite sentie bien dans cette famille. Lui avait 38 ans et sa femme 35. Leurs deux enfants étaient bien élevés et m’ont immédiatement adoptée, comme une sorte de grande soeur. Tout ça pour vous dire que j’étais parfaitement détendue dans ma chambre, au deuxième étage de la maison. Un jour, environ deux semaines après, je me trouvais seule dans la maison. Cela arrivait de temps en temps, lorsque la mère partait avec les deux enfants pour aller au supermarché. J’ai décidé de me reposer un peu. Le petit dernier de la famille m’avait fait tourner en bourrique toute la journée et j’avais besoin d’une pause.
Une caresse solitaire
Comme je n’arrivais pas à m’endormir, j’ai commencé à me caresser doucement en pensant à mon ex en Australie, Teddy. Pour être plus à l’aise, je me suis allongée sur le dos et j’ai enlevé ma jupe. Mais j’ai gardé ma culotte pour mieux imaginer Teddy en train de frotter mon sexe à travers le tissu. Le va-et-vient de mes doigts m’a vite fait mouiller. J’ai enlevé mon T-shirt et mon soutien-gorge pour me malaxer les seins, en me léchant le bout des doigts, comme le faisait Teddy. A chaque fois qu’il me touchait comme ça, je décollais direct pour le paradis !
J’étais en plein dans mes caresses, les jambes écartées sur mon lit quand soudain, j’ai entendu la voix de Patrick, le père de famille ! Il a lancé : « Mais qu’est-ce que je surprends là, Anita ? Dis donc ma coquine, tu ne t’embêtes pas ! »
Mon premier geste a d’abord été de me recroqueviller et de cacher mes seins avec mon T-shirt. J’avais tellement honte ! Mais lorsque Patrick m’a demandé, en s’approchant, avec ses grands yeux verts pleins de malice, s’il pouvait regarder, je ne sais pas ce qui m’a pris. J’ai eu envie de l’exciter comme jamais. Au premier regard, j’avais craqué pour lui quand il était venu me chercher à l’aéroport, mais jamais je n’aurais imaginé qu’il pourrait se passer quelque chose entre nous car sa femme n’était pas mal du tout.
Partager mon moment intime avec Patrick
Voir le désir que j’avais éveillé en lui m’a transformée. Je me suis agenouillée sur le lit et j’ai commencé à me caresser, comme je le faisais avant qu’il n’arrive, mais avec beaucoup plus de conviction. Je lui ai laissé apercevoir ma chatte déjà toute mouillée en soulevant ma culotte sur le côté. Puis, je me suis mise de dos pour qu’il voie mon cul et j’ai commencé à faire glisser très lentement ma culotte sur mes fesses, un peu comme si j’hésitais tout en faisant des mouvements du bassin. Rien que ce petit jeu me faisait mouiller de plus belle. Il poussait des soupirs de satisfaction devant le spectacle que je lui offrais.
Je sentais qu’il s’approchait doucement du lit. Dès que ma culotte a été roulée sur mes cuisses, il s’est emparé fermement de mon cul avec ses deux mains et m’a attirée vers lui. Il s’est assis sur le lit. Après avoir introduit deux doigts dans ma chatte, il a commencé à m’embrasser partout sur la bouche, dans le cou, sur les seins. Il s’est mis à sucer fiévreusement mes tétons tout en me masturbant. J’ai joui à ce moment-là.
Des gémissements de bonheur
Quand il a senti que mes jambes se resserraient, il a baissé son pantalon. J’ai enfin pu découvrir son beau sexe tout droit et gonflé de désir pour moi. D’une main, il me gardait serrée près de lui et de l’autre, il tenait sa bite. Il l’a d’abord promenée sur mes lèvres. J’ai tout de suite réagi en le léchant vigoureusement. Puis, apparemment, il a été submergé par le besoin de me pénétrer, il a reculé et m’a demandé de me retourner. Il m’a donné une tape sur les fesses, a écarté mes cuisses et s’est enfoncé dans moi en maintenant mon bassin.
Quand il m’a pénétrée, j’ai poussé des petits cris. C’était si bon de le sentir aller et venir de cette façon ! Je crois que mes gémissements de bonheur ont redoublé son excitation car il a accéléré la cadence et joui quelques secondes plus tard. Après nos ébats, il m’a promis qu’il ne me laisserait plus faire de sieste cochonne toute seule. C’est ainsi que nous avons continué à baiser toutes les semaines pendant que sa femme partait en course ou en balade avec les enfants.
Vers la fin de mon séjour, Patrick m’a avoué que la fois où il m’avait surprise en train de me masturber, il avait d’abord pensé à me photographier en cachette, mais avait préféré me rejoindre. C’est comme ça que je lui ai dit qu’il pouvait me prendre en photo pour garder un souvenir, s’il voulait.
(Image à la une : Getty Images)
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